Bonjour à vous Hardware!
 
Je viens à vous aujourd'hui pour un problème qui n'en est pas réellement un.  
 
Je suis sur PC fixe, et j'ai deux écrans, j'utilise une carte graphique GTX 760 sous la version 362 d'nVidia.
 
J'ai beaucoup recherché de solutions à mon problème, et j'essaie de maximiser mes chances de résoudre ça en postant chez vous!
 
Depuis une deux ou maximum 3 semaines (j'ai une très mauvaise gestion du temps!), ma carte graphique (ou en tout cas son power) est utilisée à 50% (pas le gpu usage)... Hors je ne fais rien. Habituellement ma carte graphique tournée autour des 27° en idle, là elle est à 40°. Je sais que la température n'est pas si grande que ça, mais tout de même, je trouve que ça fait beaucoup 40° quand je ne tourne aucun jeu sur la bécane. Elle tournée toujours autour des 11% de Power usage avant. Je ne pense pas avoir installé de logiciel qui pourrait causer ce genre de choses... Pendant un moment, quand je fermais Google Chrome, le power retombait à 11%...  
 

 
Maintenant, même sans google d'ouvert, 50% en continu.  
 
J'ai essayé plusieurs choses mais rien n'a fonctionné.  
 
Je vous mets les screens de ProcessExplorer avec une colonne GPU mais je n'y trouve rien d'étrange, j'ai aussi réalisé plusieurs scans PC sans résultat (à l'aide de MB & d'Avira)...  
 


 
Voici les caractéristiques précises de mon GPU :
 
 

 
J'ai essayé pas mal de trucs. J'ai regardé Afterburner quand j’éteignais mon pc, et si je suis pas trop stupide, quand on éteint son ordinateur les processus sont coupés un par un? Parce que la carte graphique retombe à 11% quand je l'éteint, donc j'imagine qu'un processus s'éteint et arrête de pomper dessu pour rien... Je sais pas trop.  
 
J'ai pas réellement de soucis quand je suis IG sur CSGO ou BDO, mais ça m'inquiète quand même.  
 
Si quelqu'un a une réponse à m'apporter, je lui en serais éternellement reconnaissant.  
 
Merci beaucoup pour le temps que vous avez accordé à lire mon sujet, et si vous avez une quelconque question/remarque, n'hésitez surtout pas.
 
Merci, Tropik