correction d'un texte français traduit en anglais(thème)

correction d'un texte français traduit en anglais(thème) - Aide aux devoirs - Emploi & Etudes

Marsh Posté le 24-11-2005 à 22:01:13    

Bonjour, est-ce que quelqu'un pourrait m'aider et corriger les fautes, s'il vous plaît? Ce texte doit encore être retravaillé mais il y a des mots et phrases assez compliqués à rendre. Merci d'avance pour votre aide.
 
La maison était au croisement de 2 voies. Celle sur laquelle donnait la façade descendait, d’après le plan, vers le lac. L’autre, perpendiculaire, partait droite entre des parcs et des jardins, où l’on distinguait, assez espacées, des demeures du début du siècle, vastes, et pour certaines fort belles. Le ciel était rougeâtre et violacé, comme éclairé d’incendies lointains. Des congères partout, et le chemin vierge. Mais la neige devant la grille avait été déblayée, pour moi, sans doute.
Le notaire se tortilla sur son siège et dit :
-Voilà ; votre rue s’appelle « Allée des Noisetiers » ; elle est privée, avec une barrière à chaque bout.
Il sortit de sa serviette un trousseau de clefs :
-Eh bien, dit-il encore.
La grille n’était pas fermée, il la poussa. Je regardai la maison. C’est une demeure de 1930, à un étage. Au-dessus de la fenêtre centrale, le toit pentu s’interrompt, formant un fronton. Les fenêtres sont à arc surbaissé, avec des persiennes de bois. Je fis quelques pas et vis que de l’autre côté des mansardes révélaient un autre niveau. En façade, un auvent sur quatre colonnes ménage une terrasse entourée d’une balustrade basse. La surélévation, pour faible qu’elle fût, avait un peu préservé de la neige, qui s’était accumulée autour. Maître Blanc essayait les clefs. Lorsqu’il ouvrit, une odeur vint vers moi, surprenante dans l’air glacé : de feu éteint, de poussière, de bois.
Maître Blanc dit :
-Attendez. Je vais trouver le compteur.
J’aurais préféré, je le pensai plus tard, qu’il laissât l’obscurité, prévoyant que la vue allait anéantir ces premières impressions crées par l’odeur et le silence. Mais je me tus et le suivis.
 
TRADUCTION
 
>>The house was situated where the 2 roads cross. The one on which the frontage faced slope down towards the lake, according to the plan. The other, perpendicular, running across squares and gardens, where we perceived quite separate residences dating back to the beginning of the century and which were vast, and for some of them, quite beautiful. The sky was reddish and purplish, as if lit by distant fires. Snowdrifts were everywhere and the path was deserted. But the snow in front of the gate had been cleared, probably for me.
The lawyer squirmed (/wriggled) in his seat and said:
“Right; your street’s called “Allée des Noisetiers”; it’s private, with a fence in each side.”
He took a bunch of keys out of his briefcase:
“Well”, he added.
The gate was not closed, he pushed it open. I was looking at the house. It is a one-storyed residence dating from 1930. Above the central window, the sloping roof stopped and formed a pediment. The windows are ‘surbased arches-shaped) with wooden shutters. I make several steps and see that, on the other side, a canopy was supported by four columns (pillars) unfurled on a terrace surrounded with a low balustrade. The heightening, as low as it is, had a little protected from snow, which had accumulated all around. Mr Blanc tried the keys. When he opened, a smell came to me, surprising in the icy air: a smell of extinguished fire, dust and wood.
Mr Blanc said:
“Wait a second. I’m going to find the electricity meter.”
I would prefer, I thought later, that he (let) darkness, expecting that what I will  see (the sight) was going to destroy these first impressions created by the smell and silence. But I did not say a word and followed him.

Reply

Marsh Posté le 24-11-2005 à 22:01:13   

Reply

Sujets relatifs:

Leave a Replay

Make sure you enter the(*)required information where indicate.HTML code is not allowed