Commentaire de philosophie - Aide aux devoirs - Emploi & Etudes
MarshPosté le 01-11-2011 à 09:17:48
Bonjour,
J'ai un commentaire à faire en philosophie pour demain, non pas que je m'y prend au dernier moment pour vous l'envoyer, mais j'ai essayé de chercher par moi-même pendant toute les vacances, en vain. J'aimerai recevoir votre aide car je n'y arrive vraiment pas. Je ne veux pas avoir le commentaire direct et que je n'ai qu'à recopier, mais disons que l'introduction au complet ainsi que le plan seraient les bienvenue pour que je puisse faire mon commentaire. Merci de votre compréhension.
Voici le texte:
"Quand un jeune enfant apprend qu'une séquence de sons émise par les cordes vocales de ses parents est son nom, il commence à assimiler le mot - devenu une pensée dans son esprit- à ce qu'il est. A ce stade, certains enfant parlent d'eux-mêmes à la troisième personne : "Jean a faim" Pas longtemps après, les enfants apprennent le mot magique "je" et l'assimilent à leur nom, qu'ils ont déjà assimilés à ce qu'ils sont. Puis arrivent d'autres pensées qui fusionnent avec la pensée "je" originale. Au stade suivant, ce sont les pensées "moi" et "mien", qui désignent des choses et font en quelque sorte partie du "je". Il s'agit que d'une identification aux objets n attribue aux objets (en fait aux pensées qui représentent ces objets) un certain sens de soi et on en tire une impression d'identité. Alors, lorsque "mon jouet" se casse ou qu'on me le prend, il en résulte une grande souffrance. Non pas en raison de la valeur intrinsèque du jouet, mais à cause de la pensée "mon". Le jouet fait partie du sens du moi, du je, que l'enfant développe. Il faut préciser ici que l'enfant perdra rapidement intérêt pour le jouet en question, qu'il remplacera par d'autres.
Ainsi, à mesure que l'enfant grandit, la pensée d'origine "je" attire d'autres pensées, elle s'identifie à un genre, à des possessions, à un corps, à une nationalité, une race, une religion, une profession. Le "je" s'identifie à d'autres choses, entres autres, à des rôles (celui de mère, de père, de mari, de femme, etc. ) à des connaissance ou des opinions et à tout ce qui est arrivé au moi par le passé, ces souvenirs étant des pensées qui définissent encore plus le sens du moi avec le concept "moi"et mon histoire"". Ceci n'est qu'un aperçu des choses à partir desquelles les gens tirent le sens de leur identité. Il ne s'agit en fin de compte de rien d'autre que des pensées maintenues ensemble de façon précaire par le fait qu'on leur attribue une partie de notre identité. Cette construction mentale est ce à quoi vous faites normalement référence quand vous dites ou pensez "je".
Eckhart Tolle, Nouvelle Terre, p. 24-25. Ariane, Outremont, 2005.
Comme vous pouvez le constater c'est vraiment urgent...
Marsh Posté le 01-11-2011 à 09:17:48
Bonjour,
J'ai un commentaire à faire en philosophie pour demain, non
pas que je m'y prend au dernier moment pour vous l'envoyer,
mais j'ai essayé de chercher par moi-même pendant toute les
vacances, en vain.
J'aimerai recevoir votre aide car je n'y arrive vraiment
pas.
Je ne veux pas avoir le commentaire direct et que je n'ai
qu'à recopier, mais disons que l'introduction au complet
ainsi que le plan seraient les bienvenue pour que je puisse
faire mon commentaire.
Merci de votre compréhension.
Voici le texte:
"Quand un jeune enfant apprend qu'une séquence de sons
émise par les cordes vocales de ses parents est son nom, il
commence à assimiler le mot - devenu une pensée dans son
esprit- à ce qu'il est. A ce stade, certains enfant parlent
d'eux-mêmes à la troisième personne : "Jean a faim" Pas
longtemps après, les enfants apprennent le mot magique "je"
et l'assimilent à leur nom, qu'ils ont déjà assimilés à ce
qu'ils sont. Puis arrivent d'autres pensées qui fusionnent
avec la pensée "je" originale. Au stade suivant, ce sont les
pensées "moi" et "mien", qui désignent des choses et font en
quelque sorte partie du "je". Il s'agit que d'une
identification aux objets n attribue aux objets (en fait
aux pensées qui représentent ces objets) un certain sens de
soi et on en tire une impression d'identité. Alors, lorsque
"mon jouet" se casse ou qu'on me le prend, il en résulte une
grande souffrance. Non pas en raison de la valeur
intrinsèque du jouet, mais à cause de la pensée "mon". Le
jouet fait partie du sens du moi, du je, que l'enfant
développe. Il faut préciser ici que l'enfant perdra
rapidement intérêt pour le jouet en question, qu'il
remplacera par d'autres.
Ainsi, à mesure que l'enfant grandit, la pensée
d'origine "je" attire d'autres pensées, elle s'identifie à
un genre, à des possessions, à un corps, à une nationalité,
une race, une religion, une profession. Le "je" s'identifie
à d'autres choses, entres autres, à des rôles (celui de
mère, de père, de mari, de femme, etc. ) à des connaissance
ou des opinions et à tout ce qui est arrivé au moi par le
passé, ces souvenirs étant des pensées qui définissent
encore plus le sens du moi avec le concept "moi"et mon
histoire"". Ceci n'est qu'un aperçu des choses à partir
desquelles les gens tirent le sens de leur identité. Il ne
s'agit en fin de compte de rien d'autre que des pensées
maintenues ensemble de façon précaire par le fait qu'on leur
attribue une partie de notre identité. Cette construction
mentale est ce à quoi vous faites normalement référence
quand vous dites ou pensez "je".
Eckhart Tolle, Nouvelle Terre, p. 24-25. Ariane, Outremont,
2005.
Comme vous pouvez le constater c'est vraiment urgent...
En espérant recevoir votre aide,
Bonne journée à tout le monde