Rejetter la souffrance... - Société - Discussions
Marsh Posté le 21-05-2003 à 08:15:41
Je n'ai rien compris à ta question...
Peut être parce que les 2 termes sont équivalents et qu'il n'y pas de question...
Marsh Posté le 21-05-2003 à 08:18:12
jvais faire un brassage de cervelle pour réveiller le peu de neurones qui me reste
ma question est donc : lorsqu'une situation nous fait souffrir.. la rejetter (s'en débarasser) est une fuite devant le problème (car le problème n'est pas résolu pour autant) oubien est-ce une attitue normal et instinctive d'auto-protection ?
cé plus clair ou jvé me pendre tt de suite ?
Marsh Posté le 21-05-2003 à 08:19:41
JusteLeblanc a écrit : l'ignorer, aussi, peut éviter de compliquer sa vie. |
tu trouve que c'est une bonne solution ???... et est-tu capable d'ignorer une situation/un problème qui te fais souffrir ?
Marsh Posté le 21-05-2003 à 08:19:51
Violette a écrit : jvais faire un brassage de cervelle pour réveiller le peu de neurones qui me reste |
C'est un réflexe normal de fuite, qui est un moyen d'auto protection!
Marsh Posté le 21-05-2003 à 08:20:43
leg9 a écrit : |
voué.. mais en prenant la fuite ne crois-tu pas que le problème est tjs la et qu'il reviendra t'ennuyer tot ou tard ?
Marsh Posté le 21-05-2003 à 08:22:13
Violette a écrit : |
En général oui.
Et là il faut passer à l'action dite de "crevage d'abcès" .
Un bon truc bien pourri qui a eu le temps de mariner, hummmm...
Marsh Posté le 21-05-2003 à 08:23:00
Violette a écrit : |
ah non non, je ne trouve pas que ce soit une bonne solution, bien au contraire, et j'ai grandit dans une famille où les souffrances morales et mêmes physique étaient tabou...on n'en parlait pas ! ça remettait en cause l'équilibre et même " la réussite " de la famille...
donc je gardais tout pour moi ( super désiquilibre inside ) y'a que depuis que je suis avec mon épouse que j'ai pu m'exprimer mieux ( et même systématiquement, la pauvre )
Marsh Posté le 21-05-2003 à 08:25:36
leg9 a écrit : |
je sais pas... j'ai l'impression que bcp de gens n'ont pas conscience de ce qu'il font et de ce qui les rend triste... et qu'il s'appitoient sur le sort au lieu de faire qq chose... beaucoup se dise : c'est pas ma faute, j'y peux rien, j'ai pas le choix.. etc.. mais n'essaient pas vraiment de changer la situation...
personnellement au niveau des contact humains, j'ai remarqué qu'a chaque fois que qqun me rend triste (ou plutot que mon attachement a lui me cause de la tristesse) je coupe les pont pour ne plus souffrir...
et je sais pas qu'en penser
Marsh Posté le 21-05-2003 à 08:27:45
JusteLeblanc a écrit : |
en parler c'est, a mon avis, le premier pas vers la "guérison"
Marsh Posté le 21-05-2003 à 08:32:40
Violette a écrit : jvais faire un brassage de cervelle pour réveiller le peu de neurones qui me reste |
va te pendre
Marsh Posté le 21-05-2003 à 08:33:12
Violette a écrit : jvais faire un brassage de cervelle pour réveiller le peu de neurones qui me reste |
le suicide nest pas une option ....
Marsh Posté le 21-05-2003 à 08:34:08
ATOS a écrit : |
oohhh toi... va te faire castrer avant de donner des conseil !!!
Marsh Posté le 22-05-2003 à 04:30:58
Violette a écrit : |
juste
on peut faire l'autruche un moment, le temps d'analyser et comprendre ce qui ne vas pas, mais on ne peut que rarement l'oublier en espérant qu'elle nous oublie
ensuite il faut faire face, et le meilleur moyen de désamorcer le danger, ou plus exactement la peur du danger ou de la souffrance, est d'en parler
"les gens" ont souvent une série de priorités qu'ils ne diront jamais qui les empèchent d'adopter une attitude positive pour cerner ou régler tel problème, et la solution est de les faire parler, pour leur faire prendre conscience des anomalies de raisonnement, des incohérances
Marsh Posté le 21-05-2003 à 08:13:35
un moyen d'auto-défense/protection ou une fuite (technique de l'autruche) ???
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La vie est un choix, pas une fatalité.