texte philosophie - Aide aux devoirs - Emploi & Etudes
MarshPosté le 03-01-2008 à 14:12:47
bonjour tout le monde ,
j'ai un texte de DAVID HUME "enquêtes sur les principes de la mrale" mais 'ai des difficulter de compréheinsion de ce texte
"s'il y avait, mélées aux hommes, des créatures d'une autre espéce, qui, bien que raisonnables, seraint douées d'une force inférier, tant d'esprit que de corps, de telle sorte qu'elle seraint incapable d'aucune résistance et qu'elle ne pourraient jamais, meme devant la plus haute provocation, nous faire sentir les effets de leur ressentiment, il en résulterait nécessairement je pense, que nous serions tenus par les lois de l'humanité à user de douceur avec ces créature , mais, à proprement parler, nous ne serions tenus par aucune contrainte de justice à leur égard et ells ne pourraient posséder aucun droit ni aucune propriété, qui les défendraient contre l'arbitraire de leurs seigneurs. nos relations avec elles ne pourraient pas s'appeller société, car celle-ci suppose un certain degrés d'égalité;mais ce serait, d'un côté, commandemant absolu et , de l'autre, obéissance servile.Tout ce que nous convoiterions, elles devraient l'abandonner sur le champs.Notre consentement serait le seul droit d'ou elles tiendraient leurs possessions; notre compassion et de notre tendresse les seuls freins qui leur permettaient de contenir notre volonté sans voir aussi fermement établi dans la nature, les obligations de la justic et de la propriété, qui seraient totalement inutiles, n'auraient jamais de place dans une association aussi inégale."
est ce que vous voulez bien m'aider à le comprendre merci beaucoup
Marsh Posté le 03-01-2008 à 14:12:47
bonjour tout le monde ,
j'ai un texte de DAVID HUME "enquêtes sur les principes de la mrale" mais 'ai des difficulter de compréheinsion de ce texte
"s'il y avait, mélées aux hommes, des créatures d'une autre espéce, qui, bien que raisonnables, seraint douées d'une force inférier, tant d'esprit que de corps, de telle sorte qu'elle seraint incapable d'aucune résistance et qu'elle ne pourraient jamais, meme devant la plus haute provocation, nous faire sentir les effets de leur ressentiment, il en résulterait nécessairement je pense, que nous serions tenus par les lois de l'humanité à user de douceur avec ces créature , mais, à proprement parler, nous ne serions tenus par aucune contrainte de justice à leur égard et ells ne pourraient posséder aucun droit ni aucune propriété, qui les défendraient contre l'arbitraire de leurs seigneurs. nos relations avec elles ne pourraient pas s'appeller société, car celle-ci suppose un certain degrés d'égalité;mais ce serait, d'un côté, commandemant absolu et , de l'autre, obéissance servile.Tout ce que nous convoiterions, elles devraient l'abandonner sur le champs.Notre consentement serait le seul droit d'ou elles tiendraient leurs possessions; notre compassion et de notre tendresse les seuls freins qui leur permettaient de contenir notre volonté sans voir aussi fermement établi dans la nature, les obligations de la justic et de la propriété, qui seraient totalement inutiles, n'auraient jamais de place dans une association aussi inégale."
est ce que vous voulez bien m'aider à le comprendre
merci beaucoup