Aide philo : avons nous des raison de croire - Aide aux devoirs - Emploi & Etudes
Marsh Posté le 17-10-2009 à 19:48:00
Je te conseille de jeter un coup d'oeil aux remarques qu'antichrist et moi avons fait à un élève sur un sujet sur le travail concernant la méthodologie:
http://forum.hardware.fr/hfr/Emplo [...] 3029_1.htm
Même si le sujet est différent, je pense que le point méthodologique que j'ai fait pourra t'aider.
Sinon, je dirais que tu as de l'idée mais que tu es une feignasse, pardonne-moi l'expression
Ton préambule est très bien et montre que tu as saisi l'enjeux du sujet.
Mais tu ne définis pas les termes du sujet or c'est important pour soulever les ambiguïtés. Néanmoins, tu as soulevé un des problèmes fondamentaux du sujet, le cercle herméneutique même sio à première vue, tu ne sais sans doute pas ce que c'est. C'est tout simple, c'est à dire qu'il faut croire pour raisonner comme tu l'as souligné à juste titre:
Citation : La clé de l'avenir c'est la croyance des hommes c'est a dire que celui si doit croire en certaine chose pour avancé car cela pousse l'homme a raisonné. |
.
1. Définis les termes, ici les concepts centraux sont la croyance et la raison. Mais n'oublie pas le verbe renoncer.
Pourquoi n'a-ton pas employer un autre verbe comme abandonner par exemple?
2. Ta problématique doit comporter quatre questions et surtout tu dois reformuler le sujet. L'intitulé repose sur un préjugé que tu te dois de démonter. Ici la doxa ou l'opinion commune est assez explicite, elle repose sur le postulat scientiste qui oppose la croyance et la raison.
Je te conseille très fortement de lire la loi des trois états d'Auguste Comte dans son cours de philosophie positive. Je pense que ce texte te sera d'une grande aide: http://www.hansen-love.com/article-4914413.html .
Ce travail est facilité puisque tu as vu que la croyance était à la base du cercle herméneutique.
La philosophie en est un très bon exemple, le préjugé sert de base à la réflexion. Le philosophe est l'homme du paradoxe, qui va contredire l'opinion commune pour réfléchir sur le sujet. S'il n'y a pas de préjugé ou de croyance, le philosophe n'a plus de matière pour réfléchor. On pense alors à l'allégorie de la caverne, La république, VII, Platon.
Tu remarqueras que l'allégorie de la caverne peut servir en thèse et en antithèse.
En accroche, je te conseille de commencer par l'apparente incompatibilité entre croyance et raison puis de soulever la contradiction (le paradoxe) en enchainant sur ton accroche initiale.
Pour revenir à la problématique, comme je te l'ai dit plus haut tu dois trouver quatre questions.
Une générale à laquelle tu vas répondre puis une par partie. Tu dois reformuler la question du sujet pour obtenir quatre questions qui interagissent entre elles, chaque question découlant l'une de l'autre. N'oublie pas que la dissertation obéit à un processus dialectique.
3. Le plan obéit lui aussi à ce mouvement dialectique en répondant aux questions de la problématique.
Hegel définit le mouvement dialectique de la façon suivante: thèse-antithèse-synthèse.
Une position est édictée (la thèse), puis vient ensuite sa contradiction (l'antithèse), et enfin la synthèse qui va surpasser les oppositions pour aboutir à une réponse au sujet. Il ne s'agit nullement d'un plan eau chaude/eau froide/eau tiède.
Le mouvement dialectique ne se contredit pas, l'antithèse va montrer les limites et les contradictions de la thèse et la synthèse n'est pas un compromis mou, elle aboutit à une nouvelle position.
Le sujet comporte un danger de HS assez grand:
1. évite de trop t'étendre sur le préjugé, traite-le dans les limites du concept de la croyance et dans la mesure où tu le confronte à la raison.
2. Idem, pour la science, ne le traite que dans le cadre de la confrontation raison/croyance, c'est à dire dans le cadre du sujet.
Tu es sur la bonne voie, il te manque un peu de méthode mais ça va venir.
Je te conseille d'acheter la philosophie de A à Z qui est un dictionnaire de philosophie, il te sera très utile pour ton année scolaire.
Marsh Posté le 17-10-2009 à 20:06:22
merci pour cette réponse . Je vais pouvoir continuer mon travail
Marsh Posté le 17-10-2009 à 21:20:56
Je suppose que tu as aussi lu []le monde de Sophie[/i]
jaybee77, je pense que pour ton plan, tu as compris qu'il fallait faire en gros:
I] La raison supplante la croyance ...
II] mais ne l'efface pas pour autant
III] Croyance et raison s'articulent autour du cercle herméneutique
Petite astuce pour remplir ta partie III, tu synthétises tes positions du I et du II en III.A et III.B pour aboutir à ta nouvelle position en III.C.
Mais sinon, tu es sur la bonne voie.
Si tu bosses bien ta philo,tu peux avoir une bonne note.
quel bac fais-tu?
Marsh Posté le 17-10-2009 à 22:30:07
ReplyMarsh Posté le 18-10-2009 à 12:57:26
Avant tout et comme déjà dit, il faut être capable de problématiser le sujet. Pour cela, il convient d’énoncer dans le §. 1 de l’introduction, après analyse conceptuelle au brouillon des termes du libellé (si vous ne maîtrisez pas votre cours ou si votre culture philosophique est réduite à néant, point d’espoir !), un premier point de vue sur le sujet, celui qui, sans être ni faux, ni stupide ou absurde, recèle néanmoins en lui une difficulté, manifeste très vite un problème si on l’adopte sans discussion (ce que fait justement la doxa), si la raison ne le discute pas, ne l’interroge pas, n’approfondit pas ses présupposés, ses impensés ou ses infondés. La difficulté d’un tel exercice, surtout pour les débutants, réside dans le fait que ce point de vue est commandé par ce qui sera à vos yeux la solution du problème (développée dans la troisième partie et suggérée sous la forme d’une question dans le §. 3 de l’introduction). Par où commencer, demande souvent l'apprenti philosophe ? En fait, tout dépend du terme de votre réflexion ! Vous ne serez pas tant jugé sur le fond (du moins en classe de terminale, à moins de commettre des contresens sur les thèses d’auteurs ou d’ignorer manifestement le sens conceptuel des termes en présence), mais sur la logique de votre progression dans l’élucidation du problème. Il y a un enjeu dans toute dissertation philosophique et c'est lui qui détermine l'ordre de l'argumentation (le choix du point de départ). Or l'enjeu philosophique d'une bonne dissertation est de dépasser la critique plate et formelle (unilatérale), l'opposition "d'entendement" dirait Hegel (objet de la seconde partie), qui néglige la valeur de ce qui était au départ et qui demeure à l'arrivée sous une forme plus aboutie, "positive" (troisième partie) : ici la "croyance" comme certitude rationnelle ou, mieux, la "croyance" comme conviction non rationnelle, comme "foi" n'ayant pas la vérité comme modèle (cf. Nietzsche, on voit bien qu'il est possible, et même recommandé, de contester la formulation même du sujet, de remettre en question son fondement impensé qui est lui-même un préjugé, c'est-à-dire l'idée que la vérité est rationnelle, que l'irrationnel est le contraire de la raison et que la vérité est une conquête permanente contre ce qui s'oppose à la raison), comme principe indéterminé (raison déterminante plutôt que raison déterminée, cf. Kant et le problème de la métaphysique), comme principe régulateur, comme Idée ou idéal...
La première erreur à éviter, face à un tel sujet, celle dans laquelle tombe malheureusement, il me semble, notre ami tebidoor, est de mal lire le sujet et de l'interpréter dans le sens : la croyance s'oppose t-elle à la raison ? Or, ça n'est pas d'abord "la" raison, mais "les" raisons de croire qu'interrogent le sujet. Une fois compris cela, il devient aisé de partir (§. 1 de l’introduction à développer dans la première partie) de la distinction (relative et provisoire : il faudra discuter, progresser dans votre réflexion au cours de la première partie et ceci bien sûr reste valable pour les deux suivantes) entre la "raison" comme faculté et la "raison" comme argument, voire comme "raison d’être" (cf. Leibniz et son principe de raison suffisante) : le point de vue discutable (c'est d'ailleurs celui que vous suggère le sens du libellé : si l'on vous demande s'il existe des raisons de croire, c'est bien que la croyance a une origine psychologique et affective qui se cherche une légitimité, une respectabilité en imitant la raison...) semble être celui qui affirme avec autorité que le sujet est amené à croire, c’est-à-dire à adhérer passivement à certaines idées, parce qu’il ne sait pas, mais sans que cette ignorance (contrairement à ce que préconise Descartes avec son doute, cf. Méditation première) ne puisse faire taire (ou du moins contrôler : douter, c’est justement reconnaître qu’on ne sait pas, la raison après délibération donnant à la volonté des arguments pour suspendre son jugement le temps de la réflexion) son désir psychologique et affectif de trouver des réponses à ses questions. En ce sens, le domaine religieux n'est pas si différent dans son fonctionnement sur toile de fond culturel, c'est-à-dire idéologique, du domaine de la science : dans les deux cas, la recherche de la vérité, les exigences méthodologiques (*), se muent en volonté de pouvoir, elles cherchent irrésistiblement à élargir leur influence, à défendre des intérêts sans rapport avec la liberté et l'ouverture à la nouveauté qui caractérisaient leur intention initiale. Comme pour la religion, où la croyance peut devenir une véritable tyrannie pour l'esprit, la science peut contredire son propre principe d'investigation en glissant du côté sombre de la pratique militante ou "scientisme", défendant alors sans nuance ni mise en garde l'idée de progrès. A partir de ces prémisses, on voit bien qu'il ne faut surtout pas tomber dans le travers bien connu, rejeté en bloc par tous les profs de philo, qui consiste ici à énumérer des exemples de "raisons" de croire, c'est-à-dire en fait à décrire une multitude de croyances sans jamais s'interroger sur la nature et la finalité de la croyance (répondre à la question socratique "qu'est-ce que ?" ). La croyance n’est pas un accident, l’effet malheureux d’une simple erreur de jugement (qui engage la validité de ma pensée, la vérité est d’abord une question de méthode), mais tout au contraire l’acte conscient et volontaire par lequel un sujet vivant, c’est-à-dire dont l’être est d’exister dans le monde (la vie est plus que la pensée), cherche à donner du sens à sa vie, à justifier par des arguments, une position, une valeur à laquelle il est attaché comme à lui-même (elle exprime son identité personnelle bien mieux qu'une vérité objective). La croyance, autrement dit, est illusion. La force de la croyance est celle de l’illusion : elle n’est pas une représentation neutre, comme un tableau accroché au mur, mais représente le contenu d'une préférence. Personne ne revendique l’erreur (à moins que celle-ci ne soit la conséquence d’une illusion justement, c’est-à-dire d’une passion de la vérité qui oublie ou refoule sa propre vérité intérieure, son propre présupposé existentiel cf. Nietzsche et le nihilisme) qui traduit la précipitation, c’est-à-dire un manque de raison, tandis que l’illusion a la force de nous détourner du vrai par la valorisation d'un objet qui correspond à un désir : la croyance entretient l'illusion du vrai qui tient en échec jusqu'aux preuves les plus probantes parce qu’elle dépend elle-même du pouvoir de la raison, repose sur l’usage d’une raison dévoyée, pervertie par le désir devenu passion, c'est-à-dire état indéracinable.
*(ne pas confondre Dieu comme objet de pensée, avec Dieu comme objet de connaissance : on peut certes penser Dieu, concédera Kant, mais non pas le connaître, c’est-à-dire vérifier qu’un objet corresponde à notre pensée. Les prétentions de la métaphysique ne sont pas plus crédibles que les rêveries des visionnaires. Mais si la raison ne peut rien savoir du surnaturel, elle nous demande d’y croire pour donner un sens à la vie morale. L’immortalité de l’âme ou l’existence de Dieu sont pour Kant des postulats nécessaires de la raison pratique. Ce que la connaissance laisse échapper, l’action l’exige. "Que nous est-il permis d’espérer ?" De même pour Kant, la raison théorique ou scientifique use, dans son usage logique ou "régulateur", du principe de "totalité" comme union des lois de la nature, principe nécessaire pour le progrès scientifique. La raison humaine a besoin dans son fonctionnement même de croire à l'unification possible de la totalité des lois de la nature, mais sans pouvoir prétendre connaître quelque chose de déterminé, c’est-à-dire l’objet correspondant à son Idée. La recherche logique de l’unité des diverses connaissances de l’entendement est le seul usage où les Idées conservent une fonction théorique légitime parce qu'elle repose seulement sur un besoin d’identification et d’économie et non sur le désir de dépasser les limites de l'expérience et d'atteindre un inconditionné)
La passion, en effet, n’est passion que parce qu’elle est un "ressentir", c’est-à-dire la manière qu’a un sujet de se rapporter à ce qui l’affecte. C’est pourquoi, Hume pourra dire (cf. Traité de la nature humaine) que les passions sont toutes des "impressions de réflexion" : alors que ce qu’il nomme les "impressions de sensation" sont l’origine de la subjectivité (comme affection), les "impressions de réflexion" quant à elles qualifient véritablement l’esprit comme "soi" ou "sujet". D’abord simple affection, la passion est reçue par la raison, qui la réfléchit et, à travers elle, peut se connaître, devenir une forme de conscience de soi. C’est un point essentiel pour comprendre la nature des passions ! La réflexion n’est pas une simple représentation ou idée, la passion n’est pas le pur reflet ou la copie de l’impression sensible, de l’affection. Il faut reconnaître à la passion un dynamisme, une énergie par quoi elle se révèle force agissante. C’est ce dynamisme qui confère à la passion sa puissance et son sens, c’est son caractère désirant qui rivalise avec le sens rationnel au point de se confondre avec lui, de se faire passer pour lui. Le désir dans la croyance devenue passion est donc à la fois "une force qui meut et une raison d’agir" (cf. Ricoeur). C’est pourquoi, les actions du croyant passionné sont toujours prisent dans un système de motivations qui, si elles n’appartiennent pas à la raison et s’y oppose souvent, confèrent néanmoins à son action une certaine intelligibilité, son caractère sensé. Cette énergie présente dans la croyance est fondamentalement ce qui fait d’elle une passion : une passion n’est passion que parce qu’elle est la force du désir qui s’épanouit en habitude, qui prend le caractère stable d’une manière d’être et définit un tempérament, qui se stabilise dans le temps et se spécialise en affection de l’âme, au lieu d’en rester au stade de l’activité ponctuelle du désir, bref détermine un "état passionnel".
Dans la croyance, la "raison", c'est-à-dire l'argument, la justification, n'est qu'une excuse car étant devenue ma passion (ce que veut traduire l'expression "état passionnel" ) je suis aveuglé par cette croyance, c'est-à-dire par une représentation dont la valeur à mes yeux est exagérée, imaginée et fantasmée au point que la raison elle-même est mise au service de cette croyance. Le croyant ne vit pas dans la réalité, mais dans un monde à la mesure de sa passion. Les règles de la raison ne sont pas celles du croyant ! Ainsi, l'excuse se trouverait en fait dans notre passivité face au mécanisme d'auto-justification de la croyance : loin que la raison soit en sommeil dans la passion, elle est au contraire l'élément moteur de l'illusion par laquelle nous entretenons notre "passion-de...". Le croyant "raisonne", non pas certes au sens où il examinerait les causes et les conséquences de sa pensée, mais parce qu'il monopolise tous les moyens de la logique pour justifier sa passion. Comme le signalait déjà Spinoza dans l'Ethique, si je désire quelque chose, ce n'est pas parce que je juge la chose que je désire bonne en ce sens qu'elle m'est utile pour être heureux ou en ce sens qu'elle me fait défaut, mais c'est parce que je la désire que je la juge bonne. Dans la croyance, le désir est souverain, c'est lui qui détermine la valeur de son objet : il en accorde à celui qu'il vise et en refuse à celui qu'il dédaigne.
Pour illustrer ce mécanisme, il est intéressant de faire intervenir ici les fameuses preuves de l'existence de Dieu : preuve ontologique, cosmologique ou téléologique (à développer ou préciser...). La foi, qui devrait se suffire à elle-même, a besoin de la raison pour chercher à convaincre les sceptiques. L'usage de la logique, la démonstration rationnelle de la nécesité de l'existence de Dieu a pour but de forcer l'adhésion, elle se veut la "preuve" imparable de son existence. Ce Dieu rationnel est bien le Dieu de la raison ! Illusion suprême que l'attitude rationnelle et démonstrative produite par les hommes. Illusion parce que, pour saisir cette réalité absolue qu’est dieu, il n'est bien sûr pas possible d'employer un moyen relatif. Là où le dieu des philosophes se prouve, le dieu de la foi s’éprouve (cf. Pascal). Saisir dieu par des raisonnements, en suivant un ordre des raisons, c’est ne pas adapter le moyen qu’on utilise à la fin qu’on vise. C’est alors que l’inconséquence apparaît : en voulant saisir par la raison une réalité qui la dépasse toujours-déjà, on entre dans une logique inutile et vaine (cf. Pascal). Ainsi peut-on lire dans La Bible un énoncé commun (certes sous d’autres formes) aux trois grandes religions révélées : "La connaissance gonfle, mais l’amour édifie. Si quelqu’un pense être parvenu à connaître quelque chose, il ne connaît pas encore cela comme il faut le connaître. Mais si quelqu’un aime Dieu, celui-là est connu de lui." (cf. Corinthiens, I, 7 : 23 - 8) Le dieu des religieux réclame donc un au-delà de la philosophie, c’est-à-dire un au-delà de la raison puisque peut être qualifié d’ "heureux" celui qui croit sans voir. Le philosophe, occupé de démonstrations et de raisonnements, n’est donc pas un croyant puisqu’il cherche à connaître là où il n’y a qu’à croire et qu’à accepter. Stricto sensu, le dieu des philosophes n’existe que pour eux. Ce jeu plaisant de l’entendement ne sert à rien puisque d’une part il ne convertit personne (ce qui rend vaine l’entreprise des philosophes) et d’autre part, il empêche l’intuition de se porter vers Dieu... A développer : la critique pascalienne des philosophes...
Voilà pour les règles de problématisation ainsi que quelques idées concernant la première partie... j'en oublie...
Marsh Posté le 19-10-2009 à 08:12:00
penelopee a écrit : Il y a tellement de fautes dans ton introduction que j'ai rien compris ... |
Effectivement,on ne peut pas dire que l'introduction soit bonne aussi bien sur la forme que sur le fond.
Introduction: L'histoire montre que l'homme doit raisonné et croire pour avancé dans le futur. La clé de l'avenir c'est la croyance des hommes c'est a dire que celui si doit croire en certaine chose pour avancé car cela pousse l'homme a raisonné. Cependant croire n'est pas la seul chose indispensable pour l'evolution de l'homme , et raisonné fait intervenir l'intéligence. En effet l 'homme croit mais la raison ne peu resoudre certaine croyance , comme la croyance religieuse. Nous allons donc nous posé la question " croire est ce renoncé a la raison?
Commencer par "L'histoire...'est un poncif à éviter dans un devoir de philo d'autant plus qu'il n'y aucun exemple pour étayer cette vérité,puisqu'à l'évidence,tu émets une vérité.Ensuite,écrire que l'homme doit raisonner et croire n'est pas le sujet.Enfin,la tournure est lourde:choisis une autre expression qu'avancer dans le futur.
Il est de même pour la clé de l'avenir.Par contre,je trouve intéressant le fait que croire peut inciter à raisonner mais là encore,il faut argumenter et ne pas écrire une vérité à admettre.Certes,c'est l'intro mais quand même!
Concernant le passage qui explique que la raison ne peut résoudre la croyance,tu ne démontres pas le lien avec le sujet.
Cette introduction est à revoir entièrement.Elle ne peut aboutir au sujet posé.
Marsh Posté le 20-10-2009 à 06:39:33
édit à mon message précédent (à la fin) : les preuves de l'existence de dieu (la raison au service de la croyance = illusion suprême)...
Marsh Posté le 24-10-2009 à 12:32:27
Tam, je ne serais pas aussi dur que toi sur l'introduction dont le but est de dresser une esquisse du sujet.
Je pense que jaybee a compris le sujet même s'il doit faire quelques modifications.
Antichrist, je suppose que tu es un fan inconditionnel de Nietzsche?
Pour ma part, je suis un bigot décomplexé
Marsh Posté le 17-10-2009 à 18:20:41
Donc voila j'aimerai avoir des idée sur ce sujet . Et pouvez vous me donné un plan car je n'arrive vraiment pas a en trouvé un :s .
Voici mon travail
Problématique : Croire est ce renoncé a la raison?
PlAN: thésé /antithese/synthese n'y a t'il pas mieu? (1er disert de philo je galére un peu )
Introduction: L'histoire montre que l'homme doit raisonné et croire pour avancé dans le futur. La clé de l'avenir c'est la croyance des hommes c'est a dire que celui si doit croire en certaine chose pour avancé car cela pousse l'homme a raisonné. Cependant croire n'est pas la seul chose indispensable pour l'evolution de l'homme , et raisonné fait intervenir l'intéligence. En effet l 'homme croit mais la raison ne peu resoudre certaine croyance , comme la croyance religieuse. Nous allons donc nous posé la question " croire est ce renoncé a la raison?
J'ai deja plusieur idée sur le sujet , mais jaimerai en avoir d'avantage . Comment trouvé vous mon introduction? (trop courte pas assez complete etc...)
J'ai bessoin de vous