correction texte anglais>français - Aide aux devoirs - Emploi & Etudes
Marsh Posté le 30-09-2005 à 12:40:33
melissandre a écrit : Bonjour, pouvez-vous corriger les fautes, s'il vous plaît? Merci d'avance. |
Marsh Posté le 30-09-2005 à 13:00:07
Désolée car je n'ai pas été très claire, j'ai traduit ce texte anglais en français. Merci.
Marsh Posté le 30-09-2005 à 14:02:42
Autant pour moi
Je n'ai rien à dire, mis à part le passage :
Je dis, « le métro est plus rapide. »
« Je sais, mais je ne voulais pas me dépêcher. »
que je transformerais en :
Je dis, « le métro est plus rapide. »
« Je sais, mais je ne voulais pas l'être. »
Pour faire ressortir la figure de style en VO.
Et peut-être aussi :
"Quest-ce que nous avons tous à attendre qui nous permet dêtre si marqué par la déception" ->
"Quest-ce que nous avons tous à attendre qui nous autorise à être si marqué par la déception"
Marsh Posté le 09-10-2011 à 11:54:50
Pourriez vous corrigez les fautes du textes svp je vous en remercie d'avance :
" Margaret Tobin was born the 18th July of1867 in Hannibal, Missouri. The parents of Margaret Tobin were poor Irish immigrants. In 1885, she found a new job in a department store in Leadville, Colorado and she meets James Brown, a mining engineer who was born in 1854 and who died in 1922. The 1st Seeptember of 1886, she marrieed James Joseph Brown. Margaret Brown and James Brown became a millionaire in 1893 whne gold, silver and copper were found in Leadville mine. In 1894, she moved to Colorado? She learns languages and travels all over the world. The 15th April of 1912, Margaret Brown survives Titanic disaster that made 1500 victims. Her nickname became " Unsinkable Mrs. Brown" She dies the 26th October of 1932 at age 65. "
Marsh Posté le 30-09-2005 à 11:45:29
Bonjour, pouvez-vous corriger les fautes, s'il vous plaît? Merci d'avance.
I laid the newspaper flat on the table and read the same page over and over again because i wouldn't look at the doorway. People were continually coming in, and I wouldn't be one of those who by moving their heads up and down betray a foolish expectation.What have we all got to expect that we allow ourselves to be so lined with disappointment? There was the usual murder in the evening paper and a Parliamentary squabble about sweet-rationing, and she was now five minutes late. It was my bad luck that she caught me looking at my watch. I heard her voice say, "I'm sorry. I came by bus and the traffic was bad."
I said, "the tube's quicker."
"I know but I didn't want to be quick."
She had often disconcerted me by the truth. In the days when we were in love, I would try to get her to say more than the truth - that our love affair would never end, that one day we should marry. I wouldn't have believed her, but I would have liked to hear the words on her tongue, perhaps only to give me the satisfaction of rejecting them myself. But she never played that game of make-believe, and suddenly, unexpectedly, she would shatter my reserve with a statement of such sweetness and amplitude... I remember once, when I was miserable at her calm assumption that one day our relations would be over, hearing with incredulous happiness, "I have never, never loved a man as I love you, and I never shall again. "Well, she hadn't known it, I thought, but she too played the same game of make-believe.
She sat down beside me and asked for a glass of lager. "I've booked a table at Rules", I said.
"Can't we stay here?"
"It's where we always used to go."
"Yes."
Je posai le journal à plat sur la table et relus la même page encore et encore parce que je ne voulais pas regarder la porte. Les gens narrêtaient pas dentrer, et je ne voulais pas être un de ceux dont le fait de lever et baisser la tête trahirait une attente idiote. Quest-ce que nous avons tous à attendre qui nous permet dêtre si marqué par la déception. Il y avait le meurtre habituel dans le journal du soir et une querelle parlementaire à propos du rationnement des bonbons, et elle avait maintenant cinq minutes de retard. Jeus la malchance quelle me surprît à regarder ma montre. Je lentendis dire, « Je suis désolée. Jai pris le bus et la circulation était mauvaise. »
Je dis, « le métro est plus rapide. »
« Je sais, mais je ne voulais pas me dépêcher. »
Elle mavait souvent déconcerté par sa franchise. Du temps où nous nous aimions, jessayais de lui faire dire plus que la vérité que notre liaison amoureuse ne sarrêterait jamais, quun jour nous nous marierions. Je ne laurais pas cru, mais jaurais aimé entendre ces mots de sa bouche, peut-être seulement pour me donner la satisfaction de les rejeter moi-même. Mais elle ne jouait jamais ce jeu du faire-semblant, et soudainement, alors que je ne my attendais pas, elle brisait ma réserve avec une assertion dune telle douceur et ampleur Je me souviens autrefois, quand jétais triste de lentendre supposer tranquillement quun jour notre relation se terminerait, en entendant avec un bonheur incrédule : « Je nai jamais, jamais aimé un homme comme je taime, et ça narrivera plus jamais. » Bien, elle ne le savait pas, pensais-je, mais elle jouait elle aussi le même jeu du faire-semblant.
Elle sassit à côté de moi et commanda un verre de bière blonde. « Jai réservé une table chez Rules », lui dis-je.
« Ne pouvons-nous pas rester ici ? »
«On allait toujours là-bas. »
« Oui. »