Besoin de critique pour mon roman - Arts & Lecture - Discussions
Marsh Posté le 30-12-2004 à 17:22:01
je suis contre.
edit: ouai je sais fo que je mette au travail aussi je sais je sais.
Marsh Posté le 30-12-2004 à 17:35:39
Salut!
Ce n'est pas un texte long, donc je donne mon avis...
Citation : Ton père est là, il attend des explications ! Expliques toi ! |
Je trouve que la répétition "expliquer"/"explique-toi" n'est ps très heureuse. "Explique-toi"
-_"la fameuse Lilian" : dans la narration l'expression "la fameuse" n'est pas très jolie à mon goût.
Citation : Le problème, cétait quelle ne voulait pas parler. Mattews avait presque tout essayé pour faire parler la gamine, mais cétait sans compter sa ténacité. |
Répétition
Citation : Il décida alors dutiliser sa dernière arme, infaillible : le regard séducteur. |
Répétition lourde car les deux phrases pourraient être imbriquées l'une dans l'autre.
_"-Puisquelle ne parles pas" : "parle".
C'est un peu court pour se faire une réelle opinion de l'histoire. Je dirais que le style dans lequel tu écris est assez ordinaire. Tu fais beaucoup de répétitions.
Si c'est une accroche (un prologue de roman) cela manque de substance pour donner envie de continuer. L'âge de Lilian me rebute un peu...
Envoie la suite car vraiment, il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent avec ça.
Marsh Posté le 30-12-2004 à 17:42:39
La mise en place est mal faite : aucune description du lieu, donc aucun indice du temps. On pourrait etre en 1960 comme en 2056.
En fait, tout est trop rapide. Sur un passage aussi court, il est impossible de commenter davantage. Est ce le debut d'un roman a la premiere personne ? Une improvisation de la derniere soiree ?
Tu devrais arranger ton texte de maniere a ce que le lecteur comprenne de quoi il retourne, ou alors nous presenter un peu plus ton texte et le but que tu souhaite atteindre ( une nouvelle, un roman, la decalogie romantico policière du prochain millenaire ? )
Marsh Posté le 30-12-2004 à 19:04:25
Je voulais vous remercier de vos commentaires .mon texte est le début d'un roman qui se déroule de nos jours. Je l'ai organisé de tel manière qu'il soit un récit de l'héroine. Le récit se finit et le roman continue à la 3e personne J'ia commencer dans un style impersonnel, mais je me défoule bien àprès
Ma joie était incommensurable. Javais enfin une vraie chienne, moi qui en rêvais depuis si longtemps ! Toutes mes amies voulurent la toucher, la caresser et mon anniversaire fut dautant plus réussit. Ce jour-la fut lun des plus beaux de ma vie. Mia et moi, à la fête, étions les reines.
Ironiquement, Mia et moi eûmes la même date danniversaire.
Cest à partir de ce jour là quon sest partagé la vedette.
Dès le lendemain mes parents ont eu, hum, lexcellente idée de faire des courses pour ma chienne, que javais prénommée Mia. Nous lui avons acheté des paniers, des nuds et tous pleins dautres accessoires aussi divers et variées. Nous avions lembarras du choix, ici à New York, les boutiques spécialisées ne manquent pas. Mes parents étaient ravis, nous étions ravis, tout était exquis.
Au début de cette situation, Mia dormait avec moi, dans ma chambre. Mes parents se comportaient normalement, me laissant faire presque tout ce que je voulais avec elle. Cétait parfaitement clair pour eux, elle était ma chienne.
Mais la situation sest dégradée...
Nous sommes riches, très riches et jai toujours aimé largent, jai toujours eu plus que ne peux souhaiter un enfant. Mes parents font partie de la bourgeoisie. A lépoque, ils assistaient toujours à plein de soirée super huppées de lUpper East Side, ils avaient plein damis, vivant une vie de bohème pour mieux profiter après des années de dur labeur. Ils partaient très souvent en voyage, dépensant des fortunes et sachetant tout. Ils nétaient pas des parents parfaits, ils ne le sont toujours pas, laissant souvent le sale boulot à ma gouvernante Consuelo. Ils mavaient inscrits à plein dactivités extra-scolaires. Je me suis finalement attachée à léquitation. Cest un sport fabuleux, plus quun loisir, une passion. Je me sentais sereine quand jen faisais. Javais trouvé là un exutoire à mon ennui perpétuel. Mes parents maccompagnaient chaque fois que jallais au centre équestre, et cétait lune des rares fois ou je pouvais profiter un peu deux.
Je nai quasiment pas de famille en dehors de mes parents. Jai une grand-mère que je nai malheureusement pas souvent vue. Ma vie se résumait alors à : Papa, Maman, Mia, le cheval, Consuelo et notre appartement.
Avec ma chienne, jai enfin pu combler le vide qui me manquait. Jai mené une vie à peu près idéale pendant quelques temps.
Fallait-il quils sennuient vraiment ? Quils soient aussi cyniques et machiavéliques ? Quils sennuyasse autant de la routine ? Je nen aie aucune idée. Et dailleurs, personne, je dis bien personne ne peut expliquer tous les comportements humains. Lun deux a sûrement entraîner lautre dans sa folie et aucun deux na pu réagir. Quoi quil en soit, mes parents ont changé petit à petit.
Ils se sont octroyés du temps avec ma chienne, bientôt profitant autant delle que moi. Ils sont devenus plus casaniers, ne maccordant plus beaucoup dattention. Je les sentais distants, fuyants, moins attentionnés.
Et puis paf, comme ça, dun coup, tout sest transformé :
Mes parents ont arrêté de travailler, soccupant exclusivement de Mia. Elle nétait plus ma chienne, elle était leur chienne
Rapidement, elle eut à leurs yeux la même valeur que moi.
Ils dépensèrent des fortunes à lui acheter des bêtises dont elle navait pas besoin, des barrettes, des assiettes (désormais, elle mangeait à table, avec nous), des sacs, des livres, et même un baladeur !
Elle avait sa masseuse, son coach, son entraîneuse, sa prof de Yoga, sa nourrice et sa propre cuisinière ! Elle allait dans un centre ultra cher à Central Park, pour le fitness, et elle allait souvent dans une garderie, pour « se faire de nouveaux amis »
Comment expliquer à une petite fille de 6 ans que ses parents préfèrent sa chienne à elle ? Jétais désemparée, nayant aucun moyen darranger la situation. Jessayais de leur faire signe, pour quils comprennent... Alors jai essayé la discussion. La discussion : remède idiot pour arranger une situation. Enfin, pour moi ça na pas marché.
Nous étions à table, la chienne à mes côtés. Je leur aie demandé :
« Pourquoi est-ce que Mia mange avec nous ? Pourquoi ne mange t-elle pas dans une écuelle, dans son panier ? Chez mes amies, les chiens ne mangent pas à table ?
Mes parents étaient estomaqués. Les yeux exorbités, ils mont regardée comme si jétais la plus grande des imbéciles. Mon père a respiré un grand coup, et ma dit :
-Tu voulais une sur, non ? Tu as une chienne, Mia. Mais Mia est maintenant plus quun simple animal de compagnie, elle est très intelligente, et gentille. Elle est maintenant de la famille, nous laimons tous et nous ne voulons que son bien. Et bien son bien, cest dêtre des nôtre. Je ne vois pas de quoi tu te plains, ta mère et moi sommes toujours gentils avec moi et tu as toujours tous les cadeaux que tu veux, non ? Il faudra ty faire, Mia est ta sur maintenant. »
Je nai rien trouvé à redire. Mes parents avaient pris leur décision, rien ne servait de contester. Je nai plus jamais essayé den reparler avec eux. Toute ma peine, je lai enfouie. Jai reporté tout mon amour sur Consuelo, ma nourrice. Je nai pas tout de suite compris que je vivais une situation anormale. Jen parlais un peu à mes amies, à lécole.
Ce sont elles les 1 ères qui ont tiré la sonnette dalarme, mencourageant à en reparler avec mes parents, me répétant que « cétait bizarre tout de même ». Mais je me refusais à faire évoluer la situation, et elles abandonnèrent presque toutes, sauf Sandra.
A cette époque là, je ne détestais pas encore Mia. Mais après ce qui cest passé chez Sandra, rien na plus jamais été pareil.
Oui, jaimais bien Mia, je ne la pensais pas responsable de ce qui marrivait...
2ème chapitre : Ce que Mia a détruit
Sandra, elle, était fermement décidée à ne pas abandonner. Elle venait souvent, chez moi, inspectant notre mode de vie. Elle me conseillait fortement de demander un autre animal de compagnie ou de dire à mes parents quil fallait que cette situation cesse.
Comme je lai dit plus tôt, les parents de Sandra et les miens étaient amis. Le fait de se consacrer entièrement à ma chienne avait rendu mes parents casaniers. Ils ne sortaient plus, ne voyaient plus leurs amis, ni ce qui reste de notre famille. Les Milis étaient tombés dans loubli.
Mr et Mme Jones, les parents de Sandra, pensaient que lengouement soudain de mes parents pour la chienne serait temporaire. Mais les saisons passèrent et Mia devenait chaque jour de plus en plus présente, devenant bientôt, lunique attrait de la maison.
Ce ne fut plus Sandra elle seule, mais la famille Jones toute entière (Y compris son petit frère, Rani) qui décidèrent de mettre les Milis dans le droit chemin.
Ils organisèrent une petite soirée, chez eux, pour tout nous réunir et mettre les choses au point.
Le dîner se déroula agréablement. Maman et Papa se comportaient bien, le ton était joyeux. Ensuite, nous fûmes invités dans le petit salon tandis que Sandra et Rani montaient se coucher.
Mr Jones se leva.
-Est-ce que tout va bien dans votre vie ? Vous êtes heureux ? Vous vous sentez bien ?
-Mais oui, bien sur, répondit, étonnée, mon père. Il y a eu un moment ou on avait quelques problèmes au travail, à la maison aussi, mais ça va mieux maintenant. Nous avons une vie superbe avec 2 magnifiques filles !
-2 magnifiques filles ? Je ne savais pas que tu étais enceinte, Bettina ! Félicitations !
-Euh, non, bafouilla-t-elle, je ne suis pas enceinte. Quand Ponre parle de 2 filles, il veut dire Lilian et Mia.
-Mais qui est Mia ? Interrogea Mme Jones.
-Mia, cest notre seconde fille. Cest vrai, cela fait longtemps que lon ne sest pas vu, alors tu ne sais pas... On a offert une chienne à Lili pour son anniversaire. Mais cette chienne, si tu la voyais, elle est si intelligente ! Dailleurs, cest une humaine comme nous ! Alors nous lavons tous adopté, elle est notre nouvelle fille !
Un ange passa. Mme Jones avait lair estomaquée. Elle regardait ma mère, se demandant si celle-ci lui faisait une bonne blague. Mon père attendait. Pour lui, les Jones étaient les 1ers à évangéliser. Normal quils réagissent si vite au début. Ca leur passerait. Le père de Sandra me lançant un regard attristé.
Dès ce soir, je compris que mes parents vivaient dans leur monde à eux. On dit la même chose des fous, je crois.
-Quest-ce que cest que ces idioties ? Etes-vous malades ? Mia est une chienne, rien dautre ! affirma Mme Jones. Vous êtes pires que des évangélistes ! Vous faites partis dune secte ou quoi ?
-Et qui te dit que toi, tu es dans le bon chemin, cria Papa. Les chiens sont intelligents, très intelligents. Qui te dit quils ne le sont pas plus que les humains ? Qui te dit que tu nes pas plus bête que ton chien ?
-Ma faculté de penser, ma faculté de réfléchir ! Mais on dirait que toi, tu ne ten ais jamais servi !
-Taisez vous ! Vous ne voyez pas que cela concerne aussi Lilian et quelle na pas encore parlé ? Vas-y Lilian, minvita Mr Jones.
Je me serais bien gardé de le faire mais la parole dun enfant ne compte pas beaucoup pour un adulte.
-Et bien, je crois que Papa et Maman devrait un peu arrêter ça. Ce, ce nest ni normal, ni courant ce quils font. Il a été unanimement reconnu que les animaux sont les plus intelligents en ce bas-monde. Vous nêtes plus autant avec moi quavant... Mia était ma chienne. A moi. Pourquoi avez-vous changé ainsi ? Que cest-il passé ?
-Il sest passé que nous avons beaucoup apprécié Mia. Elle est mieux que la plupart des personnes que je connais, expliqua Papa, un sourire sarcastique aux lèvres. Ta mère aussi était septique. Jai réussi à la convaincre. Lilian, si tu ne tes pas encore fourré dans le crâne que Mia est ta sur, je ne peux rien pour toi. Quand à vous, restez dans votre crasse. A compter daujourdhui, je ne vous connais plus. Bettina, prends ta fille. On part.
Ma mère, obéissante, me tira par la main. Je jetai un regard aux Jones, totalement désemparés. Je ne voulais pas quelle me touche, avec ses sales mains. Je me dégageai brusquement et courus vers la chambre de Sandra.
Elle ne dormait pas. Elle était sagement assise sur son lit, la tête entre ses mains.
-Sandra ?...
-Je suis désolée. Ca na pas marché. Tes parents sont incurables. Je te plains sincèrement. Ce nest pas une vie, ça. Jespère...que tu ne souffriras pas trop. Au revoir Lili.
Trop choquée pour répondre, je restai là, sans voix. Jentendis des pas qui montaient lescalier et quelquun me prit. Cétait Mr Jones. Il descendit lescalier, ouvrit la grande porte dentrée et me déposa sur le perron.
-Tes parents attendent. Au revoir, Lilian.
La voiture démarra en trombe, tandis que séloignait limmense maison de style colonial, avec son jardin extraordinaire, dans laquelle javais passé de si bons moments.
Ils navaient eu quune seule phrase « Au revoir Lilian ». Pensaient-ils ne plus jamais me revoir ? Ou étais-je condamnée à tellement dhorrible souffrance quil valait mieux se séparer tout de suite ?
Il y a une solution à tous les problèmes, il faut juste chercher. Dans la voiture, je nétais pas encore abattue. Jétais résignée.
Nous néchangeâmes pas un mot jusquà notre arrivée à lappartement. Ils se précipitèrent dans la chambre de Mia tandis que jétais perdue, au salon.
Mon 1er réflexe fut dappeler Consuelo.
Elle arriva ici dans les 5 minutes qui suivirent. Elle me prépara un chocolat chaud, me prit dans ses bras, me promit de revenir demain.
A nouveau, je me retrouvai seule.
-Lilian, vient ici.
Cétait mon père, qui venait de sortir de la chambre.
-Je ne veux plus jamais un scandale comme celui daujourdhui. Il a taché lhonneur de la famille. Je ne veux pas que tu salisses notre famille. Milis est encore un nom respecté ici, dans ce monde de vipère. Tu fais ce que tu veux de ta vie mais tu le fais en privé. Quoi que tu puisses penser de notre manière de vivre, tu le gardes pour toi. Discrétion et respect. Et puis, ta mère et moi, nous taimons beaucoup.
Il me caressa la joue.
Comment pouvait-il être aussi aveugle ? Aveugles !
Cest à compter de ce jour quest née ma haine tenace, irrationnelle, immense, viscérale contre Mia.
Cest à compter de ce jour que les vrais problèmes sont arrivés.
VOILA!
Marsh Posté le 30-12-2004 à 22:23:03
Moi j'ai trouvé amusant de lire le prmier et le deuxième chapitre, c'est vrai qu'il y a des lourdeurs, des répétitions mais t'as du talent donc persévère dans l'écriture!
Marsh Posté le 30-12-2004 à 22:24:45
Au fait, est-ce que tu as terminé ton livre????? Ou est-ce que tu écris toujours???? as-tu 13 ans?? si c''est le cas, chapeau pour ce ke tu as deja fait !
Marsh Posté le 01-01-2005 à 23:38:34
oui , j'ai 13 ans, oui j'ai finis le livre mais vu les critiques je vais le réécrire. Merci de m'avoir répondu, je me rends compte à présent de la médiocrité de mon roman
et merci pour le compliment alex le grand, ça fait plaisir et ça remotive pour le réécrire!
Marsh Posté le 02-01-2005 à 11:32:05
lucynne a écrit : oui , j'ai 13 ans, oui j'ai finis le livre mais vu les critiques je vais le réécrire. Merci de m'avoir répondu, je me rends compte à présent de la médiocrité de mon roman |
Peux tu me dire la fin de l'histoire ( en résumé), car vu que j'ai déjà commencé le début, alors je voudrais le terminer. et je voulais te demander quel genre de livre est-ce?
Marsh Posté le 02-01-2005 à 15:06:49
Lecture des chapitres suivants, voila mes remarques:
J'augmenterais l'age de Lilian. 10 ans me parait un minimum. A 6ans je doute que l'on fasse de l'équitation sérieusement. ( ou alors c sur un poney guidé par un moniteur ). A 6 ans je doute que l'on entreprenne un dialogue pour tenter de résoudre un problème familial. On pleure, on fait des caprices, on s'en moque...
Encore une fois, le rythme de l'histoire va trop vite. La folie des parents de Lilian est trop subite, je pense que ce passage aurait gagné à etre développé.
Enormément de répétitions dans les descriptions. Dans les dialogues, c'est correct de reprendre les mots de son interlocuteurs, mais pas dans les descriptions.
Je pense que tu peut supprimer tout les 'ma chienne' et utiliser son nom, Mia.
On écrit pas 5 minutes mais cinq minutes. Les nombres sont toujours écrit en lettres sauf ceux en chiffres romain ( siècles, les noms des rois ) et ceux présent dans les noms propres ( "Windows 2000"... ) mais on écrit "les quatre mousquetaires" .
Enfin sur un sujet plus complexe: il y a des problèmes dans l'utilisation des temps imparfait, passé simple et passé composé. Par exemple "Ironiquement, Mia et moi eûmes la même date danniversaire." -> non, c'est Mia et moi avions.." car il s'agit d'uné répétition temporelle qui va continuer dans le futur, et non pas d'une action effectuée et révolue.
En général, le passé composé et le passé simple ont la même valeur. On peut écrire indifféremment :
"Nous lui avons acheté des paniers, des nuds .."
et
"Nous lui achetâmes des paniers..."
Je suggère pour un souci de cohérence dans la construction de ton roman, que tu choisisse entre l'un et l'autre. Soit tu emplois le passé composé, soit le passé simple, mais fait-le pour tout ton texte. Meler les deux est un exercice très compliqué que je te conseille d'éviter.
La différence entre les deux est que le passé simple est utilisé dans les textes littéraires alors que le passé composé est utilisé dans le langage courant.
Par exemple on dit: "J'ai acheté un cadeau", mais on écrira "J'achetai un cadeau" dans une description de roman, mais "-J'ai acheté." si tu fais parler ton personnage.
Tu peut aussi utiliser tout le temps le passé composé, si tu choisis de décrire comme tu parle. J'ajoute que les formes passives ou composé sont jugée 'lourdes' dans les descriptions. Si tu choisis le passé composé, arrange tes phrases pour en limiter le nombre. Personnellement, j'utilise le passé simple...
Marsh Posté le 12-01-2005 à 17:25:39
désolée de n'avoir pas répondu si tot.
Encore une fois merci deidril pour ta critique.
Alex, à la fin, mon héroine se débarrasse de la chienne et se reconcilie avec sa mère (entre temps, il lui est arrivé plein de choses) mais se dispute avec son père qui l'accuse de l'avoir frappée. Il y a un procès, elle le gagne et le livre se finit comme ça. S'ensuit un épilogue (en fait une lettre addressée a un de ses amis) dans lequel elle se demande ce qui se serait passé si Mia était humaine...
Un épilogue concu spécialement pour ne pas finir le livre avec une bonne impression!
Marsh Posté le 12-01-2005 à 17:42:26
Médite petite, médite!
L'Art est long et le temps est court.
C.B
Marsh Posté le 12-01-2005 à 20:08:36
Ok merci et je trouve que la fin est chouette. Bonne continuation !!!
Marsh Posté le 14-01-2005 à 15:47:20
bon courage
Marsh Posté le 14-01-2005 à 23:18:40
[citation=4514592,0,3][nom]Sheratan a écrit[/nom]Salut!
Ce n'est pas un texte long, donc je donne mon avis...
Citation : Ton père est là, il attend des explications ! Expliques toi ! |
Je trouve que la répétition "expliquer"/"explique-toi" n'est ps très heureuse. "Explique-toi"
Bien au contraire je trouve
Marsh Posté le 15-01-2005 à 15:59:10
Je suis plutôt d'accord avec Sheratan, mais c'est mon purisme de construction littéraire qui parle
Marsh Posté le 15-01-2005 à 16:19:06
Nos remarques sont là pour t'encourager, par pour te démotiver. Au contraire, continue... c'est très bien!
Marsh Posté le 15-01-2005 à 23:41:38
merci, je crois que je vais pleurer! Je sens bien que je suis sur la bonne voie pour le finir un jour,ce roman!
Marsh Posté le 22-01-2005 à 22:28:06
Triliock a écrit : Je suis plutôt d'accord avec Sheratan, mais c'est mon purisme de construction littéraire qui parle |
justement " accentuation " des propos
Marsh Posté le 30-12-2004 à 17:21:46
Mon frère (Starket) m'a conseillée de poster la 1ère page de mon roman afin d'avoir des avis objectifs. (Massacrez-moi si c'est néccessaire)
Titre: Ma petite soeur
Page 1
1er chapitre : Le récit de Lilian
« Ecoute Lilian, tu peux me parler, répéta lentement le lieutenant Mattews. Je ne vais pas te manger ! Ce que tu as fait est grave, tu sais. Ton père est là, il attend des explications ! Expliques toi !
-Il ny a rien à expliquer. Les faits sont passés, je nai plus rien à dire.
-Mais tu es sourde ou quoi ? Il faut que tu parles ! On ne va pas rester toute la journée ici !
-Vous navez pas à hurler ainsi sur ma cliente ! intervînt sèchement Me Luna Siliga, lavocate de Lilian »
Le lieutenant Mattews (qui, en loccurrence se trouvait être un policier) était au poste avec la famille Milis au complet.
Les Milis était une des familles les plus riches de New York. Le père, Ponre Milis, un bel homme aux courts cheveux bruns et à la moustache soigneuse coupée avait réussi dans les finances. Il avait épousé Bettina Milis, blonde, la trentaine séduisante et brillante styliste de surcroît. Ils avaient une fille, la fameuse Lilian, rousse aux yeux verts éteints, 12 ans était accusée par son père de violences.
Le problème, cétait quelle ne voulait pas parler. Mattews avait presque tout essayé pour faire parler la gamine, mais cétait sans compter sa ténacité. Il décida alors dutiliser sa dernière arme, infaillible : le regard séducteur.
Cette arme, qui ne marchait que sur les femmes, était radicale. La personne avouait tout tout de suite et restait docile jusquà la fin de linterrogatoire.
-Puisquelle ne parles pas, je nai rien à faire ici, annonça Ponre. Joignant le geste à la parole, il sortit.
Puisque ce policier insistait, Lilian allait parler. Si elle devait se confier, autant quelle le fasse à un inconnu. Et puis maintenant que son père était parti...
-Vous avez gagné, Mr Mattews. Je vais vous dire la vérité, toute la vérité.
-Lilian, vous nêtes pas obligée...commença Me Siliga
-Ce sera mieux pour tout le monde.
Mattews était déçu. Il navait même pas utilisé son arme secrète !
-Lilian, jy vais aussi, je tattends dehors, dit Bettina
Sa fille ne répondit pas.
« Mon histoire, ma vie donc, a réellement commencé peu avant mes 6 ans. Tout ce quil y avait avant nest que pacotille et tout ce quil y a après, cest mon futur. Bon...
Durant ma petite enfance, jétais très heureuse. Javais une nourrice géniale, Consuelo, qui, à elle seule était restée 6 fois plus longtemps que toutes mes autres gouvernantes.
Mes parents étaient gentils avec moi ; javais tout ce que je désirais. Je voulais avoir un frère ou une sur, mais mes parents ne voulaient plus denfants.
Alors je leur ai demandé un chien. Ils nont pas opposé de résistance, malgré que nous habitions un appartement, à condition que je moccupe seule.
Jai reçu ma chienne le jour de mes 6 ans. Javais invité toutes mes amies de lécole dont Sandra Jones, ma meilleure amie à lépoque et dont les parents fréquentaient souvent les miens. Mes parents étaient sortis. La fête avait commencé depuis une heure, tout le monde samusait quand la sonnerie a retentit. Consuelo est partie ouvrir. Ma mère tenait un panier dans lequel se trouvait une petite chienne, un caniche, mon père étaient derrière et tous deux arboraient un large sourire.
voila!