quel boitier choisir pour du silence

quel boitier choisir pour du silence - Boitier - Hardware

Marsh Posté le 27-04-2006 à 17:04:46    

salut , j ai un doute sur 2 boitier si vous pouvez m aidez dans mon choix :
le 1 er c l antec sonata 2  
le 2nd c est Arctic Cooling -Silentium T2  
voila , je ne sais pas car les 2 me plaise et son discret mais je recherche le silence .merci pour toute info .

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Marsh Posté le 27-04-2006 à 17:04:46   

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Marsh Posté le 27-04-2006 à 17:40:14    

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Marsh Posté le 27-04-2006 à 18:27:52    

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Marsh Posté le 27-04-2006 à 23:52:07    

Je vais te faire une réponse qui ne va peu etre pas trop t'avancer ....
Mais c'est plus les ventilos et autres matos que tu mets dedans que le boitier en lui meme qui fera du bruit ou non ......
 
Un conseil, trouve toi un boitier équipé en ventilo 12cm, et une alim silencieuse ....... ensuite, plein de modèle suffiront

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Marsh Posté le 28-04-2006 à 13:04:46    

ok , bon je vais prendre la sonata car il y a un 12 cm tandis que l autre c plein de ventilo

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Marsh Posté le 28-04-2006 à 13:30:49    

Voici un lien avec un test du boitier d'Artic cooling :
 
http://www.pcinpact.com/articles/a/149/1.htm
 
 
Il a l'air chouette... Les ventilo sont "suspendu", donc les vibrations sont atténuées. En plus il a un système pour atténuer le bruit du disque dur. Cela dit, il ne faut pas avoir une config qui tire trop de jus. Son gros avantage est le prix. On peut faire mieux au niveau silence, mais pour beaucoup plus cher (acheter séparement boîtier + alim + ventilo + boîtier pour enfermer le disque dur).

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Marsh Posté le 06-05-2006 à 00:36:37    

Salut. Je te conseille le nouveau boîtier de de Gigabyte: le Triton, petit frère du Poseidon. Le fabriquant ayant souhaité jouer la carte de la sobriété avec ces deux modèles, l’adoption du noir semble être la plus judicieuse, bien que cette teinte soit plus sensible aux traces de doigts. Mais le choix reste à chacun.
  Première impression, la réalisation semble sérieuse ; sa façade toute aluminium brossé, même les caches de baies, y est pour beaucoup. Le reste du chassis est - on s’en doutait - composé de tôles. Le gris des boutons d’alimentation et reset ainsi que de la plaque portant la marque font le juste contraste avec le noir mât. Seules les prises casque et micro apporte un peu de couleur. Les intégrer derrière un petit cache n’aurait pas été une mauvaise idée, tout comme les deux prises USB et celle du Firewire. La présence mais surtout la taille de la grille à mailles fines nous renseigne sur l’intention de refroidir. En effet, derrière se cache un ventilateur de 120 mm vissé sur la tôle, identique à celui que l’on retrouve derrière pour l’extraction, sauf que ce dernier est monté sur silentblocs. Branchés en série, ils partagent un unique connecteur d’alimentation trois fils. Bien qu’utile pour les relier à un contrôleur de ventilateur ou directement à un fan de la carte-mère si équipée, une petite modification de la connectique s’avérera nécessaire dans le cas où un contrôle indépendant est préféré ; un détail certes. Par contre il est vrai qu’au niveau pollution sonore, ils ne s’en sortent pas mal du tout. Ils deviendront quasiment inaudibles en baissant légèrement la tension via par exemple un potentiomètre Zalman « Fan Mate 2 » (plage 5-11 V) vendu moins de quatre euros, ou fourni avec un ventilateur CPU de la même marque. A l’arrière, deux trous sont prévus pour le passage des tuyaux de watercooling. L’un d’eux pourra servir à ramener le potentiomètre derrière pour un contrôle extérieur des ventilateurs. Sur le panneau de gauche est greffé la buse servant à apporter l’air frais au microprocesseur. Celle-ci est télescopique sur trois centimètres, afin de se rapprocher comme on le souhaite du ventilateur. Une fois déposé, le panneau cloque un peu à cause de la déformation de la tôle qui a été bombée au niveau de la grille. Remonté, le phénomène se ressent moins. En dessous, une deuxième grille pour la carte graphique.
  Pour revenir au Firewire en façade, il est utile de préciser que le fabriquant livre un adaptateur proposant pas moins des trois connections possibles en 1394, en fonction de vôtre carte-mère. Aucune obligation donc de démonter le connecteur pour relier un à un chacun des neufs fils sur le connecteur de la carte, avec les risques que cela implique.
  Pour le montage des périphériques (cinq baies), il est contraint de déposer panneau latéral de droite ainsi que la façade, mais ce de façon très simple et sans outils. De plus, les boutons, les prises, tout reste sur le boîtier. Le maintien des accessoires est assuré par un système de glissières de verrouillage en plastique sans vis: c’est certain que c’est pratique, ça tient, sans pour autant équivaloir les bonnes vieilles vis. Le boîtier est doté de trois emplacements latéraux pour les disques durs à insérer par l’intermédiaire de rails plastique. Cette architecture permet un éventuel démontage plus rapide, quoique, mais individuel. Cependant les disques ont un petit jeu sur le cadre, défaut en partie corrigeable en tordant légèrement la tôle, améliorant ainsi sensiblement la pression. Note : un quatrième disque peut être logé dans l’emplacement au format disquette du bas. Pour les cartes d’extensions, verrouillage également sans vis. Dans le cas d’une carte graphique alourdie par un ventilateur adaptable, une vis sera quand même conseillée.
  Pour conclure, le Triton est un magnifique boîtier d’un rapport qualité/prix très correct, dont la fabrication semble avoir été sous-traitée par Cooler Master (même finitions que le Cavalier T-03). Proposé à seulement 73.90 € (et 69€ en silver) par le magasin Selexium à Toulouse. J’espère que ce commentaire vous aura éclairé et même aidé dans votre choix. Livré sans alimentation !!

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