Arrêt inopiné du ventilateur d'une 8800GTS - Carte graphique - Hardware
MarshPosté le 27-02-2008 à 12:09:34
Bonjour,
Hier soir, A la sortie de mise en veille prolongée de mon ordi, je surfe un peu puis je lance un log avec Everest des températures de mon système. Quelques minutes plus tard, j'entends un ventilo qui se met à tourner brusquement au maximum pendant quelques secondes, puis retour "à la normale"
En face de la ligne "gpu" (Asus 8800 gts 640) affichée par Everest, je lis 95°C pour le GPU (je précise que la carte n'est pas overclockée
J'ouvre le boitier (pas fermé) et effectivement, la carte est brûlante, le ventilateur ne tourne pas, il ne se réveille que pour mettre un grand coup d'accélérateur et s'arrête. J'ai arrêté l'ordi, puis redémarré juste après, POUR QUE LE VENTILO REFROIDISSE LA CARTE, il est reparti normalement !
Bref, un gros coup de speed, mais j'aurais aimé profiter de vos lumières ou de votre expérience si vous avez déjà rencontré le cas...
Merci !
--------------- L'intelligence, c'est comme le parachute. Quand on n'en a pas, on s'écrase (P.Desproges)
Marsh Posté le 27-02-2008 à 12:09:34
Bonjour,
Hier soir,
A la sortie de mise en veille prolongée de mon ordi, je surfe un peu puis je lance un log avec Everest des températures de mon système.
Quelques minutes plus tard, j'entends un ventilo qui se met à tourner brusquement au maximum pendant quelques secondes, puis retour "à la normale"
En face de la ligne "gpu" (Asus 8800 gts 640) affichée par Everest, je lis 95°C pour le GPU
(je précise que la carte n'est pas overclockée
J'ouvre le boitier (pas fermé) et effectivement, la carte est brûlante, le ventilateur ne tourne pas, il ne se réveille que pour mettre un grand coup d'accélérateur et s'arrête. J'ai arrêté l'ordi, puis redémarré juste après, POUR QUE LE VENTILO REFROIDISSE LA CARTE, il est reparti normalement !
Bref, un gros coup de speed, mais j'aurais aimé profiter de vos lumières ou de votre expérience si vous avez déjà rencontré le cas...
Merci !
---------------
L'intelligence, c'est comme le parachute. Quand on n'en a pas, on s'écrase (P.Desproges)