Salut à tous !
 
Un de mes amis se trouve dans le cas suivant. Il était inscrit jusqu'alors à la faculté d'Assas (Paris 2) en droit. Il se trouvait sur le point de quadrupler sa première année (en fait il a déjà fait 1 année d'éco-gestion + 2 années de droit), or la fac étudie son dossier pour savoir si elle le reprend et ça prend un temps fou. Il aura la réponse d'ici deux semaines, en sachant qu'il y a 99% de chances qu'elle soit négative (Voir ci-dessous).
 
Dans cette situation, quelle fac et quelle filière l'accepteraient aujourd'hui ? sachant qu'il s'agit à la base d'une erreur de l'administration d'Assas au niveau des inscriptions par Internet, erreur qu'ils refusent de reconnaitre et qui selon eux ne constituent pas une raison valable de le reprendre.
 
Géographiquement parlant il est limité à Paris et très proche banlieue. Il a un BAC ES, il est dans l'année de ses 21 ans. La solution "école privée" parait peu envisageable à cause du prix.
 
Evidemment il cherche à éviter une année sabatique ou bien année "salarié McDo" (même s'il n'y a rien de péjoratif à ça).
 
Je serais gré de toute personne de me faire part sur ce forum de sa propre expérience. Si également quelqu'un a des adresses ou bien connait une fac qui soit plus "flexible" en ce qui concerne les inscriptions (Ex. Malakoff c'est trop tard), je le remercie d'avance pour toute l'aide qu'il pourra lui apporter indirectement.
 
Merci d'avance !

A l'UVSQ (Université Versailles Saint Quentin) les cours n'ont commencé
qu'il y a une semaine, il peut tenter sa chance jusqu'au 15 octobre.

Peut etre aussi paris 12 a créteil, ou paris 13/11 ... Il faut se renseigner, mais c'est sur que ca va etre délicat. Sur paris dauphine, assas et sorbonne c'est mort je pense.

Assas c'est là où il était (et là où je suis), or ils ne veulent pas le reprendre. Quant à Dauphine et Sorbonne, ce sont deux "poids lourds". Ils étaient déjà réticents pour une amie lorsqu'elle s'est présentée en Juin, alors pour lui ça risque d'être
 
Il a contacté pas mal de monde : médiateurs des facultés, CIO, rectorat des universités, etc. Tous l'ont plus ou moins envoyé balader. Il a tenté du porte-à-porte à plusieurs endroits et pour l'instant c'est négatif.
 
La seule réponse positive fut à propos des universités de Toulouse et Montpellier qui acceptent (je cite) "n'importe qui", mais il n'est pas prêt de bouger, d'autant plus qu'il vient d'emménager.
 
Si par hasard quelqu'un connait des écoles privées de droit, qu'il n'hésite pas à en faire la pub ! Merci !

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