français seconde

français seconde - Aide aux devoirs - Emploi & Etudes

Marsh Posté le 14-12-2007 à 20:42:49    

Bonjour à tous, je suis en seconde et j'ai un Dm de français à faire sur cette image :
http://img141.imageshack.us/img141/82/photo001vs9.th.jpg
 
http://img176.imageshack.us/img176/2743/4922ef6.jpg
 
 
Les questions sont sur l'image en noir et blanc.
J'aimerais que vous m'aidiez un peu à quoi dire exactement. Je demande juste les grandes lignes, quelques pistes, surtout pour l'interprétation. Je m'occuperai de développer moi meme. Pour la description, si vous possèdez le vocabulaire des habits portés, ce serait bien de partager. En gros, je voudrais juste un coup de pouce. C'est la 1ere fois que je travaille sur une image. Si vous avez aussi des conseils divers, faites m'en part.
 
Merci d'avance pour votre aide.

Reply

Marsh Posté le 14-12-2007 à 20:42:49   

Reply

Marsh Posté le 15-12-2007 à 05:11:24    

Bon je vais tenter de t'aider un peu mais vraiment, attends de voir l'opinion d'autres personnes parce que je ne suis pas du tout sûre qu'on puisse se fier à moi pour ce type de sujets.
On voit deux personnes sur cette image : l'une issue très certainement d'une société "dite civilisée", et l'autre issue d'un "peuple dit non civilisé", enfin considérée comme tel par la "société civilisée". Donc la femme, représentant la civilisation, a "donné" de beaux vêtements à cet homme qui a l'air sorti d'une peuplade où justement on ne porte pas ce genre de vêtements. Pendant les colonisations, c'est exactement ce que les peuplades civilisées ont fait, "apporter la civilisation", pour "porter secours aux peuplades moins civilisées", ce qui était censé leur convenir à merveille. Enfin ça, c'est plutôt le message officiel exprimé à tout le monde pour que les habitants des pays colonisateurs n'y voient aucun mal, et même plutôt du bien.  
Sauf que là, on a affaire à un document humoristique. Et on le sait bien, un des principaux bénéfices de l'humour est d'éveiller la curiosité pour faire apparaitre la vérité.  
Est ce qu'il a l'air heureux, l'homme sur l'image, de se voir ainsi accoutré ?  
...  

Reply

Marsh Posté le 15-12-2007 à 05:38:21    

Ouais il grimace.Tu devrais faire des recherches pr connaitre les orientations politiques ou idéologiques du journal pr ne pas faire de contre sens on ne sait jms.
Ben si on n'a pas les questions on ne pt pas trop t'aider.
Le dm est ds le cadre de kelle chapitre?

Reply

Marsh Posté le 15-12-2007 à 10:34:56    

En tous cas, ct un journal humoristique et non d'extreme droite comme on pourrait le penser. Ya notamment Toulouse Lautrec qui y a participé.
Ct un journal libéral et satirique, assez avant gardiste.
Je pense donc que c bien une denonciation de la vision colonisaliste des francais de l'époque, le mythe de l'indigène sauvage que l'on va devoir civilisé.

Reply

Marsh Posté le 15-12-2007 à 11:29:15    

Merci de vos commentaires.
 
Les questions sont sur l'image en noir et blanc, en haut :
1- Décrivez l'image
2- interpretez cette page en vous rappelant que nous sommes dans le sous theme "barbares et civilisés" => Quel est le message véhiculé ?
 
Donc, déjà, pour la 1ere question, je pense que ça devrait aller à peu pres. Par contre, je justifie que c'est une page de journal (car mis en page, titre etc).

Reply

Marsh Posté le 15-12-2007 à 17:29:47    

Ouais pt aussi parler de Rudyard KIPLING et du "fardeau de l'homme blanc".
Il est notamment l'auteur du livre de la jungle du poème ["Si..."
Tu seras un homme mon fils.]
Sinon je rejoins les 2 idées précedemment énoncées Sauf que je dirai que l'homme ne se sent mis en valeur par sa soit disante civilisation , il a lair frustré tandis que la femme a l'air satisfaite.  (j'ai un peu extrapolé pr la femme mais bon.)

Reply

Marsh Posté le 15-12-2007 à 18:29:35    

J'ai bien lu ce que vous avez marqué. Je ne l'avais pas du tout compris comme vous. Pour moi, il y a une opposition entre l'etre civilisé et le barbare, qui, au final, s'habille pratiquement pareil. D'ailleurs, sous le "barbare" homme, il y a marqué : "des plumes, des verroteries, une etoffe a fleur" (habits de civilise on peut dire) et sous la femme : "des peaux de betes, une etoffe a fleurs barbares" (habits de barbare en gros).C'est pour ça que je pense a une opposition : on a une barbare habillé normalement, et une femme civilisée de meme. On pourrait penser que ce sont les habits types des barbares et des civilisés. Mais au final, on se rend compte, avec l'insistance des petites phrases, qu'ils s'habillent pareil, sans que ce soit a cause l'influence de l'autre, et on peut vraiment se demander qui est le barbare (ce qui est marqué dessous appuie encore plus cette hypothèse).
Alors que vous, si je résume, vous pensez que ce sont des habits de civilisé donnés aux barbares. Vous faites remarquer la grimace de l'homme, mais n'est ce pas un moyen pour montrer qui est le barbare ?
 
Je pencherais plus pour ma solution au final, mais merci quand meme de votre aide.


Message édité par Fitzal le 15-12-2007 à 18:32:38
Reply

Marsh Posté le 15-12-2007 à 19:38:02    

Je vois ce ke tu vx dire. Mais le barbare on le reconnait. D'une part parce qu'il est noir et d'autre part parce que en plus il correspond a la caricature que l'on fait des hommes noirs : bouche rose, gros nez.
 
Ils st habillés de la même façon , pourtant l'interprétation des vêtement est différente. Les même habits ft barbares sur l'un mais civilisé sur l'autre.
Peut etre pr montrer ke "barbarie et civilisation " ne st que des notions interprétatives non??  
Et puis depuis quand les  hommes occidentaux mettent des jupes? et depuis quand sur un autre homme cela fait civilisé???????

Reply

Marsh Posté le 15-12-2007 à 21:10:05    

J'ai l'impression que vous avez pas bien compris le sens de cette gravure.
 
Premièrement Fitzal, remet cette image dans son contexte. On doit être fin 19ème. Qu'est ce qui se passe en Afrique à ce moment-là? Connais-tu les missionnaires, les zoos humains?
Cette gravure est clairement ironique. A cette époque les livres scientifiques expliquaient que la peau noire et l'inclinaison faciale était la marque de sous-développement de cette race... Ce que dénonce l'auteur de cette gravure de manière implicite c'est l'inhumanité de ceux qui se prétendent civilisés. Pour cela il met en parallèle les deux personnages que la société française considère comme "civilisé" et "barbare" afin de rendre interchangeable ces deux personnages. Qui est le barbare de l'autre???
 
D'ailleurs l'encadré "civilisation!" nous pose deux question:
- qui est la personne civilisée?
- peut-on dire que nous sommes civilisés par de tels actes?
 
Petite note sur l'origine du mot barbare: ce mot désignait du temps de la grèce antique tous ceux qui ne parlaient pas la langue grecque (qui était elle la marque de l'homme civilisé). On tenait à l'écart de la Cité tout ces barbares qui représentaient l'animalité de l'homme et cristalisaient les haines afin de  renforçer l'union et la cohésion de la Cité.
Pour te traduire au cas où tu ne l'aurais pas compris, toute civilisation a besoin de ces barbares (cf. Amerique et Axe du mal)
 
En espérant que ça t'aide


---------------
Il est souvent nécessaire d'entreprendre pour espérer et de persévérer pour réussir.
Reply

Marsh Posté le 16-12-2007 à 04:59:09    

C 'est ce ke j'ai dit en moins de lignes :o

Reply

Marsh Posté le 16-12-2007 à 04:59:09   

Reply

Marsh Posté le 16-12-2007 à 06:47:36    

Berg1910 a écrit :

J'ai l'impression que vous avez pas bien compris le sens de cette gravure.
 
Premièrement Fitzal, remet cette image dans son contexte. On doit être fin 19ème. Qu'est ce qui se passe en Afrique à ce moment-là? Connais-tu les missionnaires, les zoos humains?
Cette gravure est clairement ironique. A cette époque les livres scientifiques expliquaient que la peau noire et l'inclinaison faciale était la marque de sous-développement de cette race... Ce que dénonce l'auteur de cette gravure de manière implicite c'est l'inhumanité de ceux qui se prétendent civilisés. Pour cela il met en parallèle les deux personnages que la société française considère comme "civilisé" et "barbare" afin de rendre interchangeable ces deux personnages. Qui est le barbare de l'autre???
 
D'ailleurs l'encadré "civilisation!" nous pose deux question:
- qui est la personne civilisée?
- peut-on dire que nous sommes civilisés par de tels actes?
 
Petite note sur l'origine du mot barbare: ce mot désignait du temps de la grèce antique tous ceux qui ne parlaient pas la langue grecque (qui était elle la marque de l'homme civilisé). On tenait à l'écart de la Cité tout ces barbares qui représentaient l'animalité de l'homme et cristalisaient les haines afin de  renforçer l'union et la cohésion de la Cité.
Pour te traduire au cas où tu ne l'aurais pas compris, toute civilisation a besoin de ces barbares (cf. Amerique et Axe du mal)
 
En espérant que ça t'aide


 
C'est con mais sur ce genre de choses le lycée me manque, on apprenait pas mal de choses en fin de compte :/

Reply

Marsh Posté le 16-12-2007 à 19:48:29    

Perso, ça me souâle pas mal, et à par répéter sans cesse des vérités grosses comme le monde, je ne trouve pas ça intéressant. D'ailleurs, j'apprécie encore moins la manière générale de raisonnement que demande ces travaux. Peut être parce que les choses à dire ne sont pas fantastiques... Je n'y vois pas d'interet, c'est un formatage forcé de la maniere d'appréhender les textes, et ça n'a d'effet que de me dégouter de lire. Heureusement que l'étude se porte presque exclusivement sur le classique et le 17e,18e et 19e siecle, sinon, adieu pour moi le gout de la lecture. Ce qui me plait le moins, c'est d'aller chercher des choses où il n'y a rien, et de développer des évidences.
Enfin bref, là n'est pas le sujet.

 

J'ai commencé à y réfléchir sérieusement, et j'aimerais bien trouver et definir clairement le message véhiculé. Je pense qu'il porte sur la différence, ou peut etre le fait de se demander qui est vraiment le barbare, et sur quoi on se permet de juger (ici peut etre bien la couleur de peau et les tatouages)... Si vous avez une idée précise, facilement résumable et claire, je suis pour que vous me la présentiez.
Sinon, je voudrais parler plus méthodique maintenant. Dois je décrire les personnage VRAIMENT à part, ou commencer par énoncer les points communs des deux, puis seulement rentrer dans le détail de chacun.
Pareil pour la 2eme question : quel plan ? De maniere générale(opposition des 2 personnages, un civilisé et un barbare par exemple) ? Puis entrer dans les détails qui rapprochent et différencient ?

 

D'ailleurs, quels sont concrètement les points vraiment important à retenir ? Habits assez similaires, opposion d'un barbare face à un civilisé, indécision pour savoir qui est le barbare, mais seulement on reconnait bien à cause de l'apparence physique et aussi des idées toutes faites et reçues(barbare = noirs, sauvage, peinturluré, repoussant) etc.


Message édité par Fitzal le 16-12-2007 à 19:49:31
Reply

Marsh Posté le 23-12-2009 à 11:31:25    

Bonjour a tous , je doit faire un commentaire composée sur ce texte ci , pouvez vous m'aider SVP car je blocque , je ne suis pas trés douée car c'est la premiere fois que j'en fait , svp aidez moi ... Pour l'amour des étude :D
 
 
Pendant que le nouveau venu se chauffait, le dos tourné, le digne aubergiste Jacquin Labarre tira un crayon de sa poche, puis il déchira le coin d'un vieux journal qui traînait sur une petite table près de la fenêtre. Sur la marge blanche il écrivit une ligne ou deux, plia sans cacheter et remit ce chiffon de papier à un enfant qui paraissait lui servir tout à la fois de marmiton et de laquais. L'aubergiste dit un mot à l'oreille du marmiton, et l'enfant partit en courant dans la direction de la mairie.
Le voyageur n'avait rien vu de tout cela.
Il demanda encore une fois: - Dîne-t-on bientôt?
- Tout à l'heure, dit l'hôte.
L'enfant revint. Il rapportait le papier. L'hôte le déplia avec empressement, comme quelqu'un qui attend une réponse. Il parut lire attentivement, puis hocha la tête, et resta un moment pensif. Enfin il fit un pas vers le voyageur qui semblait plongé dans des réflexions peu sereines.
- Monsieur, dit-il, je ne puis vous recevoir.
L'homme se dressa à demi sur son séant.
- Comment! avez-vous peur que je ne paye pas? voulez-vous que je paye d'avance? J'ai de l'argent, vous dis-je.
- Ce n'est pas cela.
- Quoi donc?
- Vous avez de l'argent...
- Oui, dit l'homme.
- Et moi, dit l'hôte, je n'ai pas de chambre.
L'homme reprit tranquillement: - Mettez-moi à l'écurie.
- Je ne puis.
- Pourquoi?
- Les chevaux prennent toute la place.
- Eh bien, repartit l'homme, un coin dans le grenier. Une botte de paille. Nous verrons cela après dîner.
- Je ne puis vous donner à dîner.
Cette déclaration, faite d'un ton mesuré, mais ferme, parut grave à l'étranger. Il se leva.
- Ah bah! mais je meurs de faim, moi. J'ai marché dès le soleil levé. J'ai fait douze lieues. Je paye. Je veux manger.
- Je n'ai rien, dit l'hôte.
L'homme éclata de rire et se tourna vers la cheminée et les fourneaux.
- Rien! et tout cela?
- Tout cela m'est retenu.
- Par qui?
- Par ces messieurs les rouliers.
- Combien sont-ils?
- Douze.
- Il y a là à manger pour vingt.
- Ils ont tout retenu et tout payé d'avance.
L'homme se rassit et dit sans hausser la voix:
- Je suis à l'auberge, j'ai faim, et je reste.
L'hôte alors se pencha à son oreille, et lui dit d'un accent qui le fit tressaillir: - Allez-vous en.
Le voyageur était courbé en cet instant et poussait quelques braises dans le feu avec le bout ferré de son bâton, il se retourna vivement, et, comme il ouvrait la bouche pour répliquer, l'hôte le regarda fixement et ajouta toujours à voix basse: - Tenez, assez de paroles comme cela. Voulez-vous que je vous dise votre nom? Vous vous appelez Jean Valjean. Maintenant voulez-vous que je vous dise qui vous êtes? En vous voyant entrer, je me suis douté de quelque chose, j'ai envoyé à la mairie, et voici ce qu'on m'a répondu. Savez-vous lire?  
Victor Hugo les misérables

Reply

Marsh Posté le 23-12-2009 à 12:55:23    

toupoulou13 a écrit :

Bonjour a tous , je doit faire un commentaire composée sur ce texte ci , pouvez vous m'aider SVP car je blocque , je ne suis pas trés douée car c'est la premiere fois que j'en fait , svp aidez moi ... Pour l'amour des étude :D
 
 
Pendant que le nouveau venu se chauffait, le dos tourné, le digne aubergiste Jacquin Labarre tira un crayon de sa poche, puis il déchira le coin d'un vieux journal qui traînait sur une petite table près de la fenêtre. Sur la marge blanche il écrivit une ligne ou deux, plia sans cacheter et remit ce chiffon de papier à un enfant qui paraissait lui servir tout à la fois de marmiton et de laquais. L'aubergiste dit un mot à l'oreille du marmiton, et l'enfant partit en courant dans la direction de la mairie.
Le voyageur n'avait rien vu de tout cela.
Il demanda encore une fois: - Dîne-t-on bientôt?
- Tout à l'heure, dit l'hôte.
L'enfant revint. Il rapportait le papier. L'hôte le déplia avec empressement, comme quelqu'un qui attend une réponse. Il parut lire attentivement, puis hocha la tête, et resta un moment pensif. Enfin il fit un pas vers le voyageur qui semblait plongé dans des réflexions peu sereines.
- Monsieur, dit-il, je ne puis vous recevoir.
L'homme se dressa à demi sur son séant.
- Comment! avez-vous peur que je ne paye pas? voulez-vous que je paye d'avance? J'ai de l'argent, vous dis-je.
- Ce n'est pas cela.
- Quoi donc?
- Vous avez de l'argent...
- Oui, dit l'homme.
- Et moi, dit l'hôte, je n'ai pas de chambre.
L'homme reprit tranquillement: - Mettez-moi à l'écurie.
- Je ne puis.
- Pourquoi?
- Les chevaux prennent toute la place.
- Eh bien, repartit l'homme, un coin dans le grenier. Une botte de paille. Nous verrons cela après dîner.
- Je ne puis vous donner à dîner.
Cette déclaration, faite d'un ton mesuré, mais ferme, parut grave à l'étranger. Il se leva.
- Ah bah! mais je meurs de faim, moi. J'ai marché dès le soleil levé. J'ai fait douze lieues. Je paye. Je veux manger.
- Je n'ai rien, dit l'hôte.
L'homme éclata de rire et se tourna vers la cheminée et les fourneaux.
- Rien! et tout cela?
- Tout cela m'est retenu.
- Par qui?
- Par ces messieurs les rouliers.
- Combien sont-ils?
- Douze.
- Il y a là à manger pour vingt.
- Ils ont tout retenu et tout payé d'avance.
L'homme se rassit et dit sans hausser la voix:
- Je suis à l'auberge, j'ai faim, et je reste.
L'hôte alors se pencha à son oreille, et lui dit d'un accent qui le fit tressaillir: - Allez-vous en.
Le voyageur était courbé en cet instant et poussait quelques braises dans le feu avec le bout ferré de son bâton, il se retourna vivement, et, comme il ouvrait la bouche pour répliquer, l'hôte le regarda fixement et ajouta toujours à voix basse: - Tenez, assez de paroles comme cela. Voulez-vous que je vous dise votre nom? Vous vous appelez Jean Valjean. Maintenant voulez-vous que je vous dise qui vous êtes? En vous voyant entrer, je me suis douté de quelque chose, j'ai envoyé à la mairie, et voici ce qu'on m'a répondu. Savez-vous lire?  
Victor Hugo les misérables


 
Bonjour,
 
Avant d'écrire, je ne suis pas doué car c'est la 1ère fois que j'en fais, ce qui n'a aucun rapport, soit dit en passant, essaie de montrer ce que tu as fait ou ce que tu essaie de faire. Montre nous ne serait-ce qu'un début de réflexion car, si on fait ton devoir, la prochaine fois sera toujours une 1 première fois et tu risques d'entrer dans un cercle vicieux et puis surtout ça montrera que tu as réussi à lire le titre du topic:"Aide aux devoirs" et non "Faites mes devoirs à ma place pendant que je sirote mon jus devant le super film qui passe à la télé!"


Message édité par TAM136 le 23-12-2009 à 12:56:03
Reply

Marsh Posté le 26-12-2009 à 11:22:35    


 :hello:  
Bonjour , certe je vous ai éoutez , alors j'ai commencé a faire l'introduction et le développement , par contre je coince pour la conclusion
je ne trouve pas quoi dire si a apart répétez ce que j'avais deja écri , je vous montre ce que j'ai fais pour l'instant  :
 
 
Ce texte est un extrait du livre des misérables écrit en 1862 par Victor Hugo , considéré comme le plus important des écrivains de la littérature française . Le XIX siècle a connu plusiseurs mouvement , le réalisme , le naturalisme , et le symbolisme .Mais cet auteur est entre autre le roi du << romantisme >>.Dans cet extrait , Jean Valjean , personnage de la célebre saga , enfin libéré  cherche lieu ou passer la nuit , arrivé a une auberge , il demande a etre ébergé , Jacquin Labarre trouvant toute excuse pour ne pas accepté ,qualifié par moi , un mauvais Hote .
 
 
 
Nous retrouvons dans ceci , comme mouvement littéraire le réalisme , en effet , Victor Hugo s'est inspiré de personnages et de situations réel ,Jean Valjean montre sa rancune envers la ociété qui lui a causé du mal , << il n'aspire qu'a se venger >> Ecrit sous forme de discours narratif , et contenant des passages  descriptifs , et de registre réaliste , l'auteur cherche a reproduire un effet réel . Le point de vue est externe , il est exterieur a l'histoire , le niveau de langue est assez courant .
 
 
c'est tous ce que j'est écri , aidez moi svp a améliorer cette catastrophe   :sweat:  

Reply

Marsh Posté le 28-12-2009 à 07:57:42    

Bonjour,
 
Sans être blessant, effectivement, ce n'est pas loin de la catastrophe.Tu as un problème de forme (orthographe qui laisse à désirer) et sur le fond: tu mets des éléments qui n'apportant pas grand chose, tels que ceux sur les mouvements littéraires ou alors tu n'es pas explicite.
L'intro doit être en rapport avec le texte. Quels sont les éléments qui te permettent d'affirmer dans ce texte qu'ils relèvent de tel ou tel mouvement littéraire?
 
Il y a une chose que tu as vue mais qu'il faut évidemment largement développer, c'est le fait que l'hôtelier repousse toutes les demandes de Valgean.
Par contre, ton commentaire sur le fait que ce soit un mauvais hôte est un jugement moral qui est à proscrire dans un devoir ou il faut la encore que tu revoies la formulation.
Compare le comportement de Valgean et de son hôte.

Reply

Marsh Posté le 25-01-2010 à 22:52:22    

> TAM136 :  Comment ça se fait que tu maîtrises tellement bien le français et la philo? Tu as quoi comme formation pour intervenir sur tous les sujets du forum?

Reply

Marsh Posté le 26-01-2010 à 08:01:21    

Ah bon, je maîtrise bien le français et la philo? C'est une critique ou un compliment?
Si c'est un compliment, je dirais que c'est tout simplement lié à l'âge.L'expérience explique cette situation. Ceci dit, je ne maîtrise pas si bien ces matières.
Si c'est une critique, et bien désolé mais si j'interviens sur tous les forums (tu n'as d'ailleurs pas précisé lesquels), c'est du à (Edit suite à une réflexion de Chuck Norris qui est parti?) mon caractère un spécial.


Message édité par TAM136 le 28-01-2010 à 07:43:22
Reply

Marsh Posté le 29-11-2012 à 20:14:11    

besoin d'aide pour demain, sur une question en Français sur le texte Les Caractère de Jean De La Bruyère
 
voici le texte : L'on parle d'une région où les vieillards sont galants, polis et civils ; les jeunes gens au contraire, durs, féroces, sans mœurs ni politesse : ils se trouvent affranchis de la passion des femmes dans un âge où l'on commence ailleurs à la sentir ; ils leur préfèrent des repas, des viandes, et des amours ridicules. Celui-là chez eux est sobre et modéré, qui ne s'enivre que de vin : l'usage trop fréquent qu'ils en ont fait le leur a rendu insipide ; ils cherchent à réveiller leur goût déjà éteint par des eaux-de-vie, et par toutes les liqueurs les plus violentes ; il ne manque à leur débauche que de boire de l'eau-forte. Les femmes du pays précipitent le déclin de leur beauté par des artifices qu'elles croient servir à les rendre belles : leur coutume est de peindre leurs lèvres, leurs joues, leurs sourcils et leurs épaules, qu'elles étalent avec leur gorge, leurs bras et leurs oreilles, comme si elles craignaient de cacher l'endroit par où elles pourraient plaire, ou de ne pas se montrer assez. Ceux qui habitent cette contrée ont une physionomie qui n'est pas nette, mais confuse, embarrassée dans une épaisseur de cheveux étrangers, qu'ils préfèrent aux naturels et dont ils font un long tissu pour couvrir leur tête : il descend à la moitié du corps, change les traits, et empêche qu'on ne connaisse les hommes à leur visage. Ces peuples d'ailleurs ont leur Dieu et leur roi : les grands de la nation s'assemblent tous les jours, à une certaine heure, dans un temple qu'ils nomment église ; il y a au fond de ce temple un autel consacré à leur Dieu, où un prêtre célèbre des mystères qu'ils appellent saints, sacrés et redoutables ; les grands forment un vaste cercle au pied de cet autel, et paraissent debout, le dos tourné directement au prêtre et aux saints mystères, et les faces élevées vers leur roi, que l'on voit à genoux sur une tribune, et à qui ils semblent avoir tout l'esprit et tout le cœur appliqués. On ne laisse pas de voir dans cet usage une espèce de subordination ; car ce peuple paraît adorer le prince, et le prince adorer Dieu. Les gens du pays le nomment ; il est à quelque quarante-huit degrés d'élévation du pôle, et à plus d'onze cents lieues de mer des Iroquois et des Hurons.
 
 
Question : Pourquoi peut-on dire que le texte évolue de la remarque anecdotique à la critique politique?

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