correction d'un texte anglais traduit en français - Aide aux devoirs - Emploi & Etudes
Marsh Posté le 28-10-2005 à 16:53:48
Je précise que le texte à corriger est bien celui en français. Merci.
Marsh Posté le 29-10-2005 à 00:53:10
melissandre a écrit : Bonjour, pouvez-vous corriger les fautes, s'il vous plaît. Je ne suis pas sure du temps qu'il faut employer. Merci d'avance. |
autour d'un flipper. Je mettrais du passé composé, le texte est écrit dans un langage assez courant, qui reflète l'âge du narrateur au moment des faits.
Citation : Javais dix-sept ans and jétais prêt pour lamour. Nous ne parlions que depuis quelques minutes lorsquelle dit : |
nous n'avions discuté que quelques minutes (had been talking ; on pourrait te reprocher de mal rendre le temps, même si ce n'est pas la formulation la plus naturelle, mieux vaut jouer la sécurité) lorsqu'elle me lança (rend mieux le côté impulsif de la chose)
Citation : « Est-ce que tu veux venir en vacances avec moi ? |
dictionnaire
tu ne peux pas utiliser étourdi ici, car cela prend une toute autre signification (= tête en l'air) alors que dizzy signifie qu'ils sont dans les nuages, ivres de leur jeunesse, un grain de folie.
avant même de nous en rendre compte, jeunes romantiques un peu fous, (en français normalement on n'utilise pas les --, il faut les remplacer par des virgules)
Citation : nous nous envolâmes pour Rhodes. [
] |
nous étions en vol pour Rhodes (rend mieux l'idée de mouvement)
Citation : Mais ce fut quand nous atterrîmes quelle commençât à dévoiler son vrai visage. |
même chose que plus haut, j'utiliserais plus volontiers du passé composé.
(et commencer au passé simple 3ème personne s'écrit commença)
Citation : Nous décidâmes daller faire un tour tard dans la nuit |
de faire une balade nocturne (ne rend peut-être pas le late, mais ce dernier est un peu redondant, risque prenable à mon sens)
Citation : et nous finîmes dans un bar anglais qui sappelait « Le Nazi Gigantesque » ou quelque chose dans le genre, et où la clientèle nous regarda avec méfiance parce que je navais pas de cicatrices visibles. |
me lança des regards suspicieux car je n'avais pas de cicatrices visibles
Citation : Miranda était dans son élément, flirtant avec les hommes les plus effrayants présents dans le bar. [
] |
peut-être sur la plage, plutôt qu'à la plage
consentir signifierait qu'on leur a demandé leur avis ou leur autorisation ; ce n'est pas le cas
squaddies : ce sont de jeunes recrues ; tu peux aussi utiliser deuxième classe tout court. Bidasse, même si c'est peut-être le plus proche du sens est un peu trop familier.
Citation : Sur le chemin, Miranda se tourna et membrassa, et les officiers de deuxième classe regardèrent, irrités. |
ils ne regardent pas, ils semblent. irrités est peut-être un peu faible pour peeved, qui veut carrément dire pissed off.
Citation : Cétait une belle nuit. Je me souviens dune brise chaude, des premiers rayons du soleil, de ce frisson juvénile dêtre resté debout toute la nuit |
t'as dû sauter une phrase en copiant le texte anglais. tu surtraduis, je pense que le texte est plus simple que cela
Citation : dans un lieu qui était un continent autre que celui où se trouvait le lycée de Cardiff. |
en voulant garder continent, tu es obligée de faire une périphrase qui te fait perdre la dynamique de la phrase d'origine ; du coup je traduirais par une expression française équivalente, à mille lieux du lycée de Cardiff.
Citation : Il y avait une merveilleuse église abandonnée construite sur la plage et je la contemplai, pensant : « Ce pourrait être parfait. » |
run-down signifie délabrée.
"This could be perfect" => sous-entendu pour baiser avec Miranda, this désignant l'église en tant qu'endroit. en français tu dois être plus explicite, donc "ce serait l'endroit parfait/rêvé"
Citation : Et ce fut à ce moment que Miranda dit : |
enfoncer ou défoncer
Citation : Jétais perplexe. Je savais que cette discussion serait vaine |
at a loss est plus fort que perplexe ; décontenancé, peut-être
sachant que toute discussion serait vaine/futile/inutile
Citation : alors je restai simplement debout et regardai pendant que mes compagnons ramassaient des feuilles et des brindilles. |
collectaient feuilles et brindilles
Citation : Et, bientôt, léglise était en feu. Miranda et les officiers de deuxième classe se tenaient debout et contemplaient le feu, paralysés, et je descendis vers la mer et regardai les vagues. |
un enfer
la suite demain
Marsh Posté le 29-10-2005 à 13:43:30
Merci beaucoup pour vos corrections, c'est très sympa d'avoir pris le temps de me corriger.
Marsh Posté le 26-10-2005 à 20:43:33
Bonjour, pouvez-vous corriger les fautes, s'il vous plaît. Je ne suis pas sure du temps qu'il faut employer. Merci d'avance.
A burning passion
It was July. She was called Miranda. We met by a pinball table in Cardiff. I was seventeen and ready for love. Wed only been talking for minutes before she said:
Do you want to come on holiday with me?
When? I said.
Tomorrow, she replied.
And before we knew it _ young, dizzy romantics _ we were flying to Rhodes. [...]
But it was when we landed that she began to unveil her true colours. We decided to go for a late night stroll and ended up in an English bar called The Huge Nazi, or something, where the clientele eyed me suspiciously because I had no visible scars. Miranda was in her element, flirting with the scariest men there.[...]
The bar closed at 4am and she announced: Lets go to the beach.
Yeah, I said.
Yeah, agreed eleven immense squaddies from Swansea. And we all headed off. On the way, Miranda turned and kissed me, and the squaddies looked peeved.
It was a beautiful night in a place that was a continent away from Cardiff High School. There was a wonderful run-down church built on the beach and I gazed at it, thinking: This could be perfect.
And it was at this point that Miranda said, Lets fire to the church.
Yeah! hollered the squaddies and they proceeded to break down the door. I was at a loss. I knew that debate would be futile, so I just stood and watched while my companions gathered up leaves and twigs.
And, before long, the church was burning. Miranda and the squaddies stood and gazed transfixed at the fire, and I walked down to the sea and watched the waves. As I threw pebbles into the ocean, what began as a small, manageable fire began to turn into an inferno. Then the police arrived. Scores of Greek policemen running up the beach towards us. I looked at Miranda and she was running in the opposite direction.
I made a snap decision: I put on my jacket and walked purposefully towards the oncoming policemen. It was a wise move. They totally ignored me, just ran past. I turned around to witness Miranda being grabbed by two policemen. Then I turned back and walked three miles to the hotel. Miranda was released a day later without charge (she blamed the squaddies, who were deported).
We spent the rest of the holiday in silence.
>>Une passion brûlante.
Cétait le mois de juillet. Elle sappelait Miranda. Nous nous rencontrâmes vers un flipper à Cardiff. Javais dix-sept ans and jétais prêt pour lamour. Nous ne parlions que depuis quelques minutes lorsquelle dit :
« Est-ce que tu veux venir en vacances avec moi ?
_Quand ? dis-je.
_Demain », répondit-elle.
Et avant même de nous en rendre compte tels des jeunes, romantiques étourdis nous nous envolâmes pour Rhodes. [ ]
Mais ce fut quand nous atterrîmes quelle commençât à dévoiler son vrai visage. Nous décidâmes daller faire un tour tard dans la nuit et nous finîmes dans un bar anglais qui sappelait « Le Nazi Gigantesque » ou quelque chose dans le genre, et où la clientèle nous regarda avec méfiance parce que je navais pas de cicatrices visibles.
Miranda était dans son élément, flirtant avec les hommes les plus effrayants présents dans le bar. [ ]
Le bar ferma à quatre heures du matin et elle annonça :
« Allons à la plage.
_ Ouais, fis-je.
_ Ouais », consentit un groupe de onze immenses officiers de deuxième classe qui venaient de Swansea et nous partîmes tous.
Sur le chemin, Miranda se tourna et membrassa, et les officiers de deuxième classe regardèrent, irrités.
Cétait une belle nuit. Je me souviens dune brise chaude, des premiers rayons du soleil, de ce frisson juvénile dêtre resté debout toute la nuit dans un lieu qui était un continent autre que celui où se trouvait le lycée de Cardiff. Il y avait une merveilleuse église abandonnée construite sur la plage et je la contemplai, pensant : « Ce pourrait être parfait. »
Et ce fut à ce moment que Miranda dit :
« Mettons le feu à léglise.
_ Ouais ! » braillèrent les officiers de deuxième classe et ils se mirent à casser la porte. Jétais perplexe. Je savais que cette discussion serait vaine, alors je restai simplement debout et regardai pendant que mes compagnons ramassaient des feuilles et des brindilles.
Et, bientôt, léglise était en feu. Miranda et les officiers de deuxième classe se tenaient debout et contemplaient le feu, paralysés, et je descendis vers la mer et regardai les vagues.
Tandis que je jetais des galets dans locéan, ce qui commença comme un petit feu maîtrisable se transforma en un brasier. Puis la police arriva. Une vingtaine de policiers grecs courraient en remontant la plage dans notre direction. Je regardai Miranda qui courrait dans la direction opposée.
Je me décidai tout à coup : jenlevai ma veste et marchai dun air résolu vers les policiers qui approchaient. Cétait un acte judicieux. Ils mignorèrent totalement et passèrent juste devant moi en courant. Je me retournai et vit deux policiers saisissant Miranda. Puis je fis demi-tour et marchai jusquà lhôtel pendant presque cinq km. Miranda fut relâchée un jour plus tard sans inculpation (elle accusa les officiers de deuxième classe qui furent expulsés).
Nous passâmes le reste des vacances silencieux.