Commentaire de Phèdre - Aide aux devoirs - Emploi & Etudes
Marsh Posté le 27-01-2014 à 17:13:55
zoubielefou a écrit : Bonjour à tous, j'ai besoin de quelqu'un pour m'aider à analyser 1 par 1 les vers de cette extrais de Phèdre et de trouver pour chaqu vers (quand c'est possible ) une figure de rhétorique ou un fait de langue.. Bref j'ai un commentaire à faire et j'ai juste besoin que vous m'aidiez pour cette premiere partie qui est d'analyser le plus précis possible.. |
Hé ben montre-nous quelles figures de style tu as identifié et où, tiens...
Marsh Posté le 30-01-2014 à 22:20:43
ReplyMarsh Posté le 31-01-2014 à 13:19:30
zoubielefou a écrit : et bien j ai pas beaucoup de chance, je compte vraiment sur vous pour m'aider |
"M'aider" ne signifie pas "faire à ma place".
Comme je l'ai dit dans ton premier message, montre-nous ce que tu as déjà identifié.
Marsh Posté le 27-01-2014 à 16:03:45
Bonjour à tous, j'ai besoin de quelqu'un pour m'aider à analyser 1 par 1 les vers de cette extrais de Phèdre et de trouver pour chaqu vers (quand c'est possible ) une figure de rhétorique ou un fait de langue.. Bref j'ai un commentaire à faire et j'ai juste besoin que vous m'aidiez pour cette premiere partie qui est d'analyser le plus précis possible..
Un dieu qui d’aiguillons pressait leur flanc poudreux.
À travers les rochers la peur les précipite ;
L’essieu crie et se rompt : l’intrépide Hippolyte
Voit voler en éclats tout son char fracassé ;
Dans les rênes lui-même il tombe embarrassé.
Excusez ma douleur : cette image cruelle
Sera pour moi de pleurs une source éternelle.
J’ai vu, seigneur, j’ai vu votre malheureux fils
Traîné par les chevaux que sa main a nourris.
Il veut les rappeler, et sa voix les effraie ;
Ils courent : tout son corps n’est bientôt qu’une plaie.
De nos cris douloureux la plaine retentit.
Leur fougue impétueuse enfin se ralentit :
Ils s’arrêtent non loin de ces tombeaux antiques
Où des rois ses aïeux sont les froides reliques.
J’y cours en soupirant, et sa garde me suit :
De son généreux sang la trace nous conduit ;
Les rochers en sont teints ; les ronces dégouttantes
Portent de ses cheveux les dépouilles sanglantes.
J’arrive, je l’appelle ; et me tendant la main,
Il ouvre un œil mourant qu’il referme soudain :
« Le ciel, dit-il, m’arrache une innocente vie.
« Prends soin après ma mort de la triste Aricie.
« Cher ami, si mon père un jour désabusé
« Plaint le malheur d’un fils faussement accusé,
« Pour apaiser mon sang et mon ombre plaintive,
« Dis-lui qu’avec douceur il traite sa captive ;
« Qu’il lui rende... » À ce mot, ce héros expiré
N’a laissé dans mes bras qu’un corps défiguré :
Triste objet où des dieux triomphe la colère,
Et que méconnaîtrait l’œil même de son père.
Voila merci beaucoup pour celui ou celle qui va m'aider.. ! Je continu de travailler de mon coté en attendant