Aide à la dissetation (lecture)

Aide à la dissetation (lecture) - Aide aux devoirs - Emploi & Etudes

Marsh Posté le 27-09-2010 à 16:35:13    

Bonjour,
 
Je suis un étudiant suisse qui va bientôt passer ses examens de maturité en tant que candidat autodidacte. J'ai quitté les études à l'âge de 14 ans pour persévérer dans le sport. J'avais 2 ans d'avance, et maintenant, 5 ans plus tard, je me retrouve à un moment où je ne me sens pas vraiment à l'aise envers le fait de perdre 3 ans au gymnase. Raison pour laquelle je fais les choses seul. L'examen se déroule en deux parties, et j'ai passé ma première partie avec succès après un peu moins que 2 mois d'étude... Ce qui montre qu'il est absurde de perdre 3 ans à apprendre cela à l'école. Je vais à présent commencer à étudier pour la seconde partie qui se déroulera dans un peu plus de 3 mois, et dans cette partie se trouve le français...   :non:  
J'ouvre donc ce sujet afin d'avoir tout de même certaines personnes prêtes à lire mes dissertations et me donner leurs opinions afin que je puisse m'améliorer au mieux. J'en fait une affaire personnelle que de faire la meilleure note possible, car je suis las des commentaires incessants de personnes encrés dans leurs piètres convictions qui tentent à chaque fois de me dire que je n'arriverai à rien si je ne suis pas le système. S'il vous plait, aidez-moi à leur rabattre le caquet et leur montrer qu'il ne leur suffit pas de suivre aveuglement un système étalé devant leurs yeux pour faire d'eux des personnes accomplies  :ange:  . Ces personnes ont pour moi cessée de réfléchir et laissent d'autres qu'eux même leur montrer la voie. Ceci est leur choix, mais je ne pense pas qu'il leur donne le droit de juger des capacités d'autrui.    :o  
 
Merci à l'avance pour vos lectures et vos commentaires ! S'il vous plait, soyez francs, et vous pouvez, quel que soit votre niveau, me faire part de vos critiques. Chaque personne est selon moi différente, et il me semble important de savoir ce que comprennent certaines personnes lorsqu'ils lisent ce que j'écris.
 
 
Voici une première dissertations sur la phrase suivante :
 
« La construction de prisons pour mineurs est-elle justifiée ? »
 
 
Introduction
 
Nous vivons au jour d’aujourd’hui dans une époque où la délinquance ne cesse de croître. Il est clair que de nombreuses valeurs ne sont plus respectées, et ceci, tout simplement par le fait qu’elles ne sont plus enseignées. La communauté se voit donc dans l’obligation pour le bien-être général de prendre des mesures. L’une de ces mesures est la prison, mais est-ce la chose à faire ? Les jeunes abêtis par la société pourront-ils y apprendre quelque chose ? Est-ce vraiment une manière de gérer le problème, ou plutôt la voie de la négligence ? Pourquoi certains mineurs arrivent-ils à ces extrêmes ?
 
Je vais tenter de répondre à ces questions en 3 points
 
Tout d'abord j’analyserai les problèmes que peuvent poser des mineurs délinquants dans la société et les raisons de leur délinquance.
Puis je tenterai de comprendre et de prendre parti pour la création de dites prisons.
Finalement je poserai des contres arguments au point précédent.
 
 
Première partie
 
Mais qui sont donc ces mineurs pour lesquels nous sommes en train de débattre l’incarcération ? À quel extrême faut-il arriver pour mériter la prison ? Les pires bien entendu.
Il me semble que le monde rajeunit de plus en plus. Il est de plus en plus cynique également. Des sujets de conversation qui paraissent aujourd’hui banales choqueraient sûrement les oreilles de nos grands-pères. Le contacte avec tout les pêchés communs viennent si tôt que l’on se trouve souvent à douter si les novices qu’ils ont touchés ont réellement compris leur sens. Violence, sexe, drogues et j’en passe sont des notions que beaucoup se targuent de connaître avant même la puberté. Et un esprit jeune, même atteint de sottise, reste un esprit jeune, c'est-à-dire que ces jeunes sont, comme le veut l’évolution d’un cerveau qui apprend, curieux et désireux de nouvelles expériences fraiches et uniques. Et aucun être qui se respecte ne cherche à accomplir des choses moindres que celles qu’il a déjà effectuées, ce qui nous amène tout tristement, mais tout logiquement, à l’échéance connue.
Vient également la part de responsabilité de la société, cette société dans laquelle le moindre cri peut être à présent considéré comme une agression envers le mineur. Mais est-ce qu’un enfant comprend le sens des paroles qu’il entend ? Je ne crois pas. Il comprend leur signification, mais pas leur application dans la réalité. Comme il serait inconcevable de demander à une personne qui apprend une nouvelle langue de comprendre sa poésie, il est peu probable qu’un enfant comprenne le goût amer qu’a un fruit pulpeux avant d’y avoir gouté. Tout ceci pour dire que cet enfant va sans arrêt pousser plus loin les limites du tolérable et voyant que dans certains cas il n’est pas réprimandé il poussera encore plus loin sa chance. Arrivera le moment où le manque d’intérêt que l’on aura porté à ses actions conduira au fait que cet enfant pensera à tort que tout lui est permis. Il est évident qu’à partir d’un certain âge il sait que sa future action n’est pas tolérée, mais il le sait d’un point de vue théorique et vu le nombre d’actions possiblement réprimandable qu’il a commis par le passé et qui se sont révélée être un succès, pourquoi ne pas se lancer sur cette nouvelle quête afin de gouter à un nouveau frisson, se dit-il. Pourquoi ne pas essayer ? Ça ne fera de mal à personne pourtant… Il faut également savoir que personne, grand ou petit, ne commet d’exactions en pensant être totalement du côté des méchants. Tous se justifient et pensent être dans leur droit.
Tout cela rend les choses bien difficiles pour la communauté. Comment gérer un mineur qui a commis des atrocités ? Faut-il le traiter comme un adulte ? Peut-être pas, car peut-être que le pauvre enfant n’a tout simplement pas réalisé les conséquences des ses actes… Faut-il punir les parents alors pour n’avoir pas su éduquer leur successeur dans la société ? Peut être est-ce là une bonne option, mais en quoi favorise-t-elle le jeune délinquant et qu’allons-nous faire de lui après avoir pris ces mesures, peut être l’enfermer ?
 
 
Deuxième partie
 
Une prison pour mineur, voilà qui est une solution radicale. Mais la société à bien assez problèmes sur les bras pour commencer à se préoccuper de l’éducation des jeunes. Alors lorsque le problème devient trop important il faut immédiatement prendre une mesure protectrice envers la communauté.
D’un point de vue théorique cette initiative se tient. On peut dans une prison exclusive aux jeunes les rapprocher de leurs difficultés, les rendre plus sensibles aux problèmes qu’ils ont fait encourir à leur famille et à eux mêmes. Peut-être même leur enseigner les bonnes manières. Peut-être ces galopins n’en attendaient pas moins lorsqu’ils commettaient leurs crimes, avoir finalement l’attention de leurs Pères.
Bien entendu certaines de ces fripouilles ont leurs années et leur cerveau ainsi formé ne comprend plus très bien la raison du châtiment qui vient si tard dans leur vie, mais enfermés ils finiront peut-être par comprendre qu’ils ne sont pas là pour une mauvaise action commise, mais pour une succession de petits méfaits qui ont conduit leurs esprits puérils à l’ultime sottise. Peut-être qu’affronté à eux même ils trouveront la force de laisser s’épanouir leur vraie vocation. Ils recevront alors l’aide nécessaire. Une personne pour les guider, une personne pour les trouver lorsqu’ils s’égarent, une personne pour les amener tous et à la société les lier.
Puis, reconnaissants pour l’aide qu’on leur à apporté ils se lanceront peut-être sur la voie de la rédemption, cherchant par les moyens à leur disposition d’aider cette communauté qu’ils ont meurtrit.
Voilà qui justifierait bien la création de dites prisons.
 
 
Troisième partie
 
Mais voilà, si le monde était comme il devrait théoriquement être nous vivrions dans une Arcadie. La réalité est bien éloignée de tout ceci. Certes, l’emprisonnement aide lorsque nous ne savons pas quoi faire avec un être humain turbulent, mais le souci devrait être minimisé à sa base.
Certains de ces mineurs en viendront peut-être à se rendre compte de leurs erreurs et auront l’intelligence de changer leur manière de voir le monde, mais d’autres ne verront en cela que la confirmation de leurs sombres pensées envers une société qui se contrefiche de leur bien-être et qui rit grassement de leur malheur dans leur dos. Entourés de personnes avec le même état d’esprit qu’eux-mêmes, ils autoalimenteront le dédain qu’ils ressentent envers les autres. Ils se justifieront l’un à l’autre leur présence dans ce lieu, car d’accord, ils ont peut-être fait quelques bêtises, mais est-ce que ce n’est pas humain ? Et l’état alors, et les adultes, n’en commettent-ils pas ? C’est seulement les enfants, les pauvres, les faibles, les autres comme nous qui ramassons tout, diront-ils ! On nous écarte comme des chiens galeux !
Et que pourra donc faire une simple voix qui tentera de les persuader du contraire alors qu’ils savent tous, car la majorité a raison, qu’ils sont dans le vrai. Comment pourraient toutes ces personnes qui ressentent la même chose avoir tord. Penseraient-ils que parce qu’ils sont jeunes ils sont également stupides ?
Alors non, en voyant les choses ainsi l’emprisonnement n’est pas la solution. La découverte du monde pourrait en être une. Pourquoi ne pas, au lieu de les emprisonner, les épanouir et leur montrer le monde. Peut être les amener et les utiliser pour soutenir un pays en détresse, ou encore les emmener en pèlerinage dans un lieu ouvert, mais isolé, et les occuper à d’autres choses que ruminer leurs sombres pensées dans un endroit clos. Mais ce ne sont là que des suppositions, et des suppositions qui se révèlent surement couteuses ou administrativement compliquées… Mais peut-être seraient-elles bénéfiques à la longue.
 
 
Conclusions
 
Nous avons donc ici tenté un peu d’envisager les raisons et les possibles résultats d’un emprisonnement pour des mineurs. J’ai essayé d’envisager d’une manière intime le résultat d’une décision prise par une personne externe à la vie de ce mineur. Nous pouvons donc en conclure qu’il n’y a malheureusement pas de bonne ou de mauvaise solution. Certaines pouvant paraître plus élégantes peuvent pourtant paraître utopiques. Il semble par contre utile, en attendant une meilleure organisation ou la mise en œuvre d’une autre manière de procéder, de construire une prison pour accueillir les mineurs qui posent un problème à la communauté.
Mais tout cela bien sûr en gardant en tête qu’il faudra peut-être envisager dans le futur d’utiliser d’autres procédés et que la création de dite prison va de pair avec une campagne de sensibilisation envers l’éducation apportée aux jeunes.
 
 
 
Merci à tous,
 
lamanaiklion
 

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Marsh Posté le 27-09-2010 à 16:35:13   

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Marsh Posté le 27-09-2010 à 16:52:34    

Plusieurs points à corriger : gros problemes : tu as 5/6 problématiques...il faut seulement une / 2 question au ma. Pour la problématique sinon ça part dans tout les sens .
Et la conclusion est également à revoir : tu m'apportes pas vraiment de reponses au sujet .

 

Le fond pourrait aussi être amélioré


Message édité par Profil supprimé le 27-09-2010 à 16:53:26
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Marsh Posté le 27-09-2010 à 17:08:31    

Merci bien. En effet, il me semble que j'ai quelques fois trop tendance à parler de plusieurs choses. Est-ce mauvais pour autant que de laisser quelques questions sans vraies réponses ? Car au sinon le tout pourrait être allongé à une centaine de pages...  
Je me permets de mettre ci-dessous une deuxième dissert pour que vous puissiez avoir un aspect plus global de la manière dont j'écris.
Merci encore pour vos lectures.
 
Le sujet suivant est sur cette phrase :
 
«Le rêve est une seconde vie » Nerval
 
Introduction
 
Le rêve est un thème qui s’accapare depuis longtemps l’esprit humain. Les plus grands savants du monde ont tenté de déchiffrer les mystères de ces images dont nous ne nous souvenons plus pour la plupart. Certains voient en eux des signes à ne pas rater. D’autres les interprètent comme étant des résidus de nos pensées. Le fait est que le doute est toujours présent.  
Nous voici maintenant confrontés à une nouvelle opinion, celle d’un écrivain. Et à travers son esprit poète, cet écrivain nous dit ceci : « le rêve est une seconde vie ».
Que faut-il interpréter dans cette phrase ? Faut-il le voir comme une « seconde chance » ? Une échappatoire au « réel » ?
Voyons comment se présente un monde idéaliste où tout est possible, car la réalité des rêves ne peut ni être prouvée ni réfutée.
 
Lors d’une première partie, je vais parler du rêve en tant qu’image de la nuit. C’est à dire tout simplement en tant que succession d’images pouvant être partiellement mémorisées. Et voir son implication dans la vie courante et en quoi il pourrait être interprété comme une « seconde vie ».
Puis, dans une deuxième partie, je parlerai du rêve d’une manière plus imaginative, plus donc comme une représentation d’un idéal ou d’un objectif irréalisable.
Finalement je tenterai de réfuter certaines des affirmations précédentes. Si cela est possible…
 
 
 
 
 
 
 
Tout le monde rêve. Certaines personnes le font plus que d’autres, certaines s’en souviennent mieux, mais tout le monde est confronté au phénomène du rêve.  
Mais quelle importance peuvent-ils bien avoir si la plupart du temps on ne se souvient même pas de leur contenu ?  
Ces images nous transportent pourtant, et avant que les griffes du monde palpable ne nous attirent vers les contraintes et les responsabilités, notre esprit vagabonde entre deux mondes et les rêves semblent à ce moment-là bien réels. Encore plus impressionnant est le fait qu’à cet intervalle de conscience, dans cette inégalité sensorielle, on a encore l’impression de comprendre profondément les règles qui régissent cet inconscient. Ce n’est que lorsque la partie cérébrale qui nous guide lors de notre éveil reprend le dessus que nous perdons tout contacte avec les liens dont nous sentions encore une seconde auparavant la douce caresse quelque part en nous. Et chaque seconde qui passe pèse comme une enclume sur notre esprit, nous encrant toujours plus au monde où nous sommes restreints à nos piètres capacités physiques. Puis arrive le moment où nous cessons même d’avoir la volonté de comprendre l’incompréhensible, de retrouver des sensations dont nous n’avons même plus le souvenir, de rêver…
Mais ce moment fut bien là ! Il fut un moment ou nous avons pu entrapercevoir avec notre conscient l’inconscient. Alors comment se présente cet inconscient sur la longue période qui lui est donnée ? Car sur une journée, n’en passons-nous pas presque la moitié à naviguer sur les eaux de notre inconscient ? Il serait donc correct de dire que nous vivons bien une seconde vie, inconsciente et protégée de tout préjugé, exempt de tout sarcasme et de toute malice, bien à elle et pur. En conclusion, bien plus réel que tout ce qui est donné de voir en sein d’une société à notre conscient.
Il est clair que nous ne pouvons pas savoir en quoi consistent les forces qui nous guident à travers les flots de notre esprit, toujours est-il que ces flots sont bien présents, et cela, personne ne peut le nier. Cette seconde vie nous est inconnue, et peut-être l’existence que nous connaissons est inconnue à celle que nous menons intérieurement. Peut-être sommes-nous le rêve pour elle et peut-être tentons-nous autant de nous comprendre consciemment que nous le tentons inconsciemment.
 
 
 
 
 
 
 
Le rêve a pour certains une autre signification, il s’agit de l’idéal conscient. De l’objectif impossible fixé lors d’un moment vague de notre journée ou de notre vie. Du refus d’une réalité difficile en faveur d’un idéal.  
Tout le monde, ou presque, cohabite avec ses rêves diurnes. Ces petites choses qui constituent l’utopie ou le moment parfait. Ce sont ces rêves qui mènent certaines personnes vers le succès et d’autres vers la ruine. Ce sont ces rêves qui exhortent certaines personnes à se surpasser, et d’autres à la médiocrité. Ce sont ces rêves-là qui font de nous des êtres humains.
Et ceux-ci encore peuvent passer pour avoir des aires de seconde vie. Combien sont ceux qui vivent dans leur monde sans se soucier quelques fois du soleil qui leur brule la peau ? Tous ont à un moment ou un autre sombré dans un état de conscience éveillée où tout est possible. Et certains se poussent même à cet exercice qu’est la rêverie. Et qui de mieux placé qu’un écrivain pour fermer les yeux et laisser son esprit vagabonder sur les plaines verdoyantes de son second monde. Cette seconde vie où toutes les contraintes et les obligations deviennent claires comme eau de roche à résoudre et expliquer. Ce second monde où des histoires sont nées et sont mortes, sans jamais avoir été souillées par la pollution du réel.
Tout esprit peut se permettre de posséder cet autre espace qui lui offre la possibilité de laisser s’écarter ses ailes et finalement prendre son envol, même si celui-ci est bref et seulement apprécié par son créateur. Tous possèdent en eux la capacité de jouir de cette deuxième existence, seulement, il est plus facile à certains de l’atteindre que d’autres. Certains doivent encore la chercher et la comprendre, mais tous on la capacité de rêver, et c’est ce rêve qui fait d’eux ce qu’ils sont, c’est ce rêve qui permet à un être anodin de devenir unique, car en son rêve, chacun est roi.  
 
 
 
 
 
 
 
Le rêve ? Quelle piètre excuse ! N’est-ce pas là la manière de penser d’un être affaibli psychologiquement ? Comment peuvent certaines personnes penser qu’une chose immatérielle puisse avoir un effet sur la vie de tous les jours ? Le rêve n’est rien d’autre que notre cerveau qui met au hasard en relation certaines images et intentions que nous avons eues durant notre journée ou parmi les évènements récents. Rien n’est plus précieux que le concret.  
L’homme a toujours été attiré par ce qu’il ne pouvait pas comprendre. Il porte plus d’importance à des petits faits inexpliqués qu’aux monumentales découvertes qu’il pourrait faire en consacrant un peu plus de son intellect à la réalité. Parler de seconde vie dans ce cas là revient à admettre que certaines personnes ne sont tout simplement plus capables de suivre une existence réelle, alors ils se cachent derrière de beaux mots et font de leurs rêves des Dieux. Oui, je le dis et le redis ; ces foutaises peuvent être comparées à la religion, les deux étant des créations immatérielles qui présagent le merveilleux, mais qui ne peuvent jamais (même après plusieurs milliers d’années) prouver physiquement un gain quelconque. Ce ne sont que de belles paroles lancées à l’air libre, prêtes à infecter quiconque aurait une résistance psychologique suffisamment faible pour laisser ce virus s’immiscer dans ses pensées. Pourquoi chercher si fortement une alternative à la vie qui leur est proposée ? Pourquoi ne pas, au lieu de chercher des réponses dans l’immatériel, se pencher sur les manières de rendre cette vie, celle où nous ne pouvons pas voler, plus rebondissante ?
Si seulement l’homme pouvait finalement apprécier ce qu’il possède et cesser de chercher une vague solution dans l’immatériel, alors peut-être apprendrait-il finalement à vivre, et ainsi, trouver les réponses à ses questions.
 
 
 
 
 
 
 
Voilà qui nous met au bord du précipice d’une polémique. J’ai tenté de voir le tout sous différents angles. À vous à présent de choisir envers lequel se porte votre cœur. Je ne pouvais bien entendu pas apporter une réponse concrète au rêve, mais à deux contre un, je penche plutôt pour un aspect positif.  
Nous avons bien pu voir que le rêve pouvait en certains cas entrainer l’apparition d’une « seconde vie », mais il est un cas où ce rêve a pour résultat la disparition de la vie principale. Peut-être ne saura-t-on jamais qui a raison, mais pendant ce temps, qu’avons-nous à perdre à en rêver ?
 
 
lamanaiklion

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