Etant d?un naturel plutôt solitaire, je me suis toujours demandé ? sans pour autant trouver de solutions satisfaisantes ? si c?était par choix ou nécessité que les gens, et moi en particulier, choisissions de passer la majeur partie de notre temps seuls. La question est difficile parce qu?elle induit, par le regard d?autrui, un jugement de valeur sur notre capacité à nous intégrer et qu?elle met en exergue les raisons mêmes qui peuvent nous pousser à ne pas nous ouvrir plus. En effet, si je choisissais de satisfaire mon ego, j?aurais tendance à dire que c?est ma personnalité (dans le sens essence, nature profonde), et que ce ne sont donc pas mes travers (au sens déviance, névrose) qui, malgré moi, m?oblignte à subir cette situation. Pourtant une telle réponse, parce qu?elle est simple et facile, n?est finalement pas ou peu intéressante. Dans un soucis d?amélioration de soi, ou tout simplement dans le but de rendre sa vie plus agréable, et je pense qu?il y a de la marge en ce qui nous concerne tous, l?intérêt se situe dans la véritable découverte et l?acceptation de ces raisons : on n?avance pas en fermant les yeux. Pourtant cela voudrait dire que probablement, personne ne fait réellement le choix de la solitude. Pourquoi ? Tout simplement, parce que je pense, et peut-être suis-je le seul, que cet éloignement est souvent du à notre incapacité à nous reconnaître dans « les autres ». Les gens les plus individualistes que je connaisse sont en général vraiment brillant. Pourtant, je pense sincèrement que le « snobisme » dont ils font preuve envers les autres ? pour se protéger -  est une véritable erreur et une incapacité chronique à reconnaître les similitudes qui nous unissent, et à de faire des concessions. Ils choisissent de s?éloigner au lieu de progresser. Ils y perdent d?ailleurs probablement beaucoup, car ils n?ont pas accès à la source réellement enrichissante que représente toute individualité.
 
En ce qui me concerne donc, j?aurais tendance à penser que, par les douleurs ponctuelles qui en découle, ma solitude est une véritable tare même si je fais mon possible pour me soigner. Mais que faire alors quand on ne comprends pas les motivations et la logique de la majorité de ses contacts proches ? Doit on sourire niaisement ou réfléchir activement au pourquoi de ce décalage, afin, pourquoi pas, de le réduire, et donc, de ne pas se sentir si seul, à l?écart ? Pour moi, cette démarche est particulièrement lourde et difficile : on est en général peu objectifs quant à ce qui nous arrive personnellement. La résolution du problème n?en est que plus dure
 
Comment font donc les multiples solitaires de H.FR, qui l?ayant d?ailleurs admis, on fait un grand pas vers l?avant, pour supporter cet état de fait ? Ferment ils les yeux, se mentent ils pour accepter leur situation, ou sont ils abrutis par l?état de souffrance qui découle potentiellement de la solitude. Après tout, la solitude est-elle irrémédiable ?
 
Ps : désolé j?ai été un peu long?

en gros tu es seul mais pas solitair puisque tu as envie d aller vers les autres et que tu ressent un manque,si c est pour se forcer a etre social c est pas la peine faut pas forcer sa nature

 
La question est plutot de savoir s'il existe des gens solitaires qui ne sont jamais tiraillés par le besoin d'être accepté. Et si c'est le cas, sont-ils réellement sains d'esprit (c'est une question pas un réponse) ?
 
edit : Le but etant de rester surtout théorique même si l'utilisation de son cas comme exemple, peut servir. Le but etant d'identifier les causes et les raisons de la solitude.

ont doit pas avoir la meme vision du solitaire,si il a des envie d acceptation et de reconnaissance c est pas un solitair mais un frusté qui essai de se rassurer en se disant et en se croyant solitair,et perso je ne connais pas de vrai solitair juste certaine personnes qui aiment a sa retrouver seul a des moments ou alors j ai pas compris le sens de ta question

là est la question: es-tu solitaire parce que tu le veux ou es-tu solitaire, malgré ta volonté d'aller vers les autres ? C'est à dire ne trouves-tu personne qui partage tes pensées 'pour, à plusieurs, ne plus être solitaire' ?

ben ds le 1er cas t es un solitaire dans le 2em t es seul

attention:
 
la solitude c'est subi
 
solitaire c'est voulu
 
voila grande reflexion à2h17

s'enrichir au contact des autres...c  souhaitable, encore fo til le vouloir
On a  autant à apprendre des gens dans lequels on ne se reconnait pas(voir plus) ke ds ceux ds lesquels on se reconnait ,de prime abord ou apres une relation plus suivie..
 
Jaurais tendance à multiplier les rencontres ...les ames soeurs se reconnaissent vite mais mefiance du 1er jugement ,ki peut etre faux...il fo faire un minimun d'efforts et creuser dans la personne..IL YA TJRS QQCHOSE DE COMMUN
 
Etre solitaire est necessaire pour avoir du recul sur soi et ses actions, mais rien ne vaut le partage des envies et moments communs avec des personnes que TU CHOISIS...  
 
bIZ à ...  

 
Perso je suis ex-solitaire qui l'est un peu moins car l'isolement me rendait dépressif. Tendance naturelle vs Instinct de survie.

Perso je suis pas solitaire par choix. J'ai vraiment un caractere difficile à vivre et ca me pose probleme. Les gens ont rarement envie de venir vers moi alors je suis en théorie obligé d'aller vers eux et ca j'en suis presque incapable.