Depeche Mode / Dave Gahan / Topic for the Masses [Topik Unik Devotees] - Page : 90 - Musique - Discussions
Marsh Posté le 13-03-2017 à 23:52:31
avitasse a écrit : Il s'est dit "Waouh" ? |
Pas Waouh enthousiaste mais plutôt un Waouh choqué/surpris du level amha
Marsh Posté le 14-03-2017 à 14:08:22
Je recommande l'interview New York Times - Times Talks, quelques questions cliché habituelles mais assez intéressant et sympa dans l'ensemble : https://www.facebook.com/depechemod [...] 6356100329
Marsh Posté le 14-03-2017 à 19:28:50
did_you_f---_my_wife a écrit : Pas Waouh enthousiaste mais plutôt un Waouh choqué/surpris du level amha |
J'avais compris, mais v'là l'analyse géopolitique
Marsh Posté le 16-03-2017 à 19:00:51
Bon je l'ai reçu en avance
Je l'avais commandé chez la FNAC, qui me laisse précommander sans être premium contrairement à Amazon, et visiblement ils se débrouillent bien sur les livraisons
Ça reprend un peu le style de Delta Machine, mais au niveau des arrangements il y a du changement, les compositions sont plus minimalistes et épurées. Scum ne sonne pas très DM, par exemple, bonne nouvelle !
Je n'entends pas de tube ou de refrain immédiat (à part un peu sur les 2 premières pistes et Scum), mais au moins l'approche change. Ça me fait un peu penser à une sorte de Counterfeit² au niveau du son, mais plus énergique avec une touche de Delta Machine...
Bon, par contre pour les prochains concerts, j'aimerais bien avoir genre 0,5% de surprise. Ça fait 15 ans qu'ils font le même live en boucle, sans varier des versions album .
Marsh Posté le 17-03-2017 à 10:17:53
Alors pour ma part, il aura fallu une bonne dizaine d'écoute pour arriver à apprécier cet album.
Un peu comme SotU au début puis Delta Machine.
Spirit n'est pas la suite des deux précédents albums en terme de "ressemblance".
L'album est cohérent dans son écoute, les morceaux se suivent mais ne se ressemblent pas, mais il y a une continuité dans l'écoute.
Pour ma part je suis conquis, mais mitigé. Il y a 5 morceaux qui sortent du lot :
1. Going backwards
2. Where's the revolution
4. Scum
5. You move
11. No more (this is the last time)
Mention pour la piste 4 Scum. Morceaux très froid, sombre. Il me fait penser bizarrement à Anton Chigurh, le tueur froid et sans âme du film No Country for old man, je sais pas pourquoi mais ça colle bien lol
You move également et la piste 11, No more.
Album déroutant limite déception au début mais comme chaque album de DM, plusieurs écoutes sont nécessaires avant d'en tirer le jus
Marsh Posté le 17-03-2017 à 12:42:37
Depeche Mode, un album majeur pour une époque bouleversée
Le cargo «synth-pop» anglais aura tout connu: triomphes et déchirements. Pour autant, alors que paraît ce vendredi un nouvel album baptisé «Spirit», il tient encore bon. Itinéraire de garçons coiffeurs devenu géants
Dans le clip de «Where’s the Revolution», Dave Gahan se découvre poivre et sel, marqué des rides et cernes de qui a autrefois touché le fond. A ses côtés, Martin L. Gore et Andy Fletcher ne paraissent pas plus frais. Depuis trente-sept ans, les Anglais portent à bout de bras un groupe hier méprisé des puristes rock pour ses claviers et postures étudiées. Aujourd’hui? Tout le contraire! Pour avoir élaboré en toute indépendance une œuvre racée marquée par une somme ahurissante de tubes patrimoniaux, Depeche Mode s’aborde comme un monument pop. Surprise. Il subjugue encore alors que sort un quatorzième album studio.
Lire aussi: «Spirit», musique puissante et textes engagés
Depeche Mode aurait dû depuis longtemps crever, laissant derrière lui une suite de disques que les quadras d’aujourd’hui, grandis en écoutant ces types, se conteraient avec tendresse. «Some Great Reward» (1984): massif! «Music for the Masses» (1987): énorme! «Violator» (1989): archi-culte! Et pareil pour les glorieuses tournées mondiales qui voyaient des ex-petites frappes du sud-ouest britannique propager la parole synth-pop jusque dans les trous d’Amérique. Cul, foi, rédemption, gueule de bois, cœurs fanés: passé ses airs crâneurs, «DM» disait toute la douleur qu’il y avait à vivre dans un siècle agonisant, ère vulgaire dont il célébrait sur beats lourds et textures industrielles l’effondrement annoncé. Alors voilà, on devrait être une poignée, pas plus, à se souvenir de ce que Gore & Cie ont un jour accompli: traduire le Zeitgeist, contribuer à démocratiser les esthétiques robotiques, et incarner une idée déterminée, malgré le succès, de l’indépendance artistique. Marchant sur les mêmes brisées, laminés par le fric facile, les excès, la paresse conceptuelle, enfin la dépression, d’autres ont coulé net – ou bouclent à cette heure quelques deals opportunistes auprès d’enseignes planétaires pourvu que soit retardée l’heure de la retraite. Pas «DM»! A 50 ans bien tapés, Dave Gahan et ses gars incarnent même toujours et avec une farouche autonomie une promesse parmi les plus précieuses avancées par la pop: offrir une synthèse des avant-gardes acceptable par le plus grand nombre.
«Tocards crêpés»
On l’a un peu oublié. Mais aimer Depeche Mode a parfois pris des airs de chemin de croix. Durant les années 1980, ça va encore. On en a provisoirement fini avec le punk. L’ère est aux «nouveaux romantiques», un mouvement pop lié au glam rock qu’on observe aujourd’hui avec embarras, mais qui sous Thatcher et à coups de synthés cheap traduit toute la détresse qu’il y a à s’inventer un futur dans une Angleterre épuisée. Spandau Ballet ou The Human League tiennent la dragée haute. Délires textiles et capillaires, maquillage et poses outrées de vermine efféminée se succèdent. Là, apparaît Depeche Mode. D’abord, un navire comme un autre, arborant Moog, permanentes et cuir, gueules d’amour et postures d’anges déchus.
Le single «I Just Can’t Get Enough» cartonne. On pense en rester là, alors que leurs pairs connaissent pluies de coke, bientôt hécatombe. Mais «DM» déjoue les pronostics, alignant une suite de disques populaires, ténébreux, sensuels, où le groove verglacé se pique chez Kraftwerk, le venin chez le Heroes de Bowie, les corrosions chez Einstürzende Neubauten. Mais pour les puristes, bourrins déguisés et spécialistes inutiles comme l’on sait, rien à faire! Depeche Mode s’accroche à ses claviers? Il ne peut alors s’agir que de «pédales camées», de «tocards crêpés». Alors que le hip-hop s’épanouit ou que la house music devient la B.O. du Summer of Love anglais, le rock retrouve son mordant avec les Guns et Kurt Cobain. Là, s’obstiner à voir en Gore et Gahan des demi-dieux pop vous attire des quolibets.
Sans remède
On a passé la quarantaine, à présent. On s’amuse de voir les troupeaux qui aimaient autrefois à prendre «DM» comme punching-ball lui tresser des lauriers. Navrant, mais il a fallu cette éternité pour que l’art de ces types soit reconnu pour ce qu’il est: un blues blanc sans peau ni os où s’étalent les souffrances de qui perd un jour foi, confiance, amour, soutien, direction. De qui regarde sa solitude, ses regrets ou sa déchéance dans les yeux. Dans le chant de Dave Gahan, il est ce tourment de qui s’est un jour pour de bon cru perdu. Dans les mélodies de Martin L. Gore, l’angoisse de qui se débat parmi les ruines, mais sans issue. Depeche Mode: du blues, alors. A renfort de rythmiques martiales ou up-tempo, de claviers vintage et de Gretsch double caisse, peut-être. Mais du blues, ce chagrin sans remède où puisent des chansons immenses: «Walking In My Shoes» ou «Never Let Me Down Again».
Revenu de tout, Depeche Mode bouge ainsi encore. Et on se reconnaît encore en eux, comme trois décennies plus tôt. Vieilli, c’est vrai. Le déhanché moins souple, la gueule marquée par les coups, et le mode survie pour Table de Loi. Mais toujours là. Pour le symbole qu’ils incarnent dans nos années traversées, et la place souveraine qu’ils occupent dans la mémoire collective désormais, ces garçons se saluent sans réserve, avec admiration. Peut-être dévotion…
https://www.letemps.ch/culture/2017 [...] ouleversee
A lire également: Depeche Mode célèbre vingt ans de pop existentielle art. 1998
Marsh Posté le 17-03-2017 à 12:52:21
RTL2 vous invite en VIP au concert de Depeche Mode au Stade de France
http://www.rtl2.fr/actu/rtl2-vous- [...] 7787683602
Inscrivez-vous pour participer au tirage au sort et gagner vos invitations pour assister au Concert Très Très Privé de Depeche Mode le 21 mars à Paris.
http://www.rtl2.fr/pages-jeux/depe [...] l2-a-paris
Marsh Posté le 17-03-2017 à 16:18:56
Avis à tous les fans de DM, je vais pouvoir assister au concert très très privé de Depeche Mode ce 21 Mars (RTL2 - Emission Le Quotidien TMC)
Stay tunned !
Marsh Posté le 17-03-2017 à 18:37:14
Pas mieux !!!
Je t'ai refilé le topic.. Tu pourrais me prendre avec toi
Il y a un stream du concert de berlin sur classic21 (excellente radio belge) ce soir à 20h00
Marsh Posté le 17-03-2017 à 18:51:46
Classic Twenty One ! Ma radio fétiche avec Studio Brussel.
Surtout le dimanche soir avec la partie Metal :-)
Edit : Arras ok :-)
Marsh Posté le 17-03-2017 à 20:30:45
https://twitter.com/i/live/839261822683226112
En live sur twitwi
Marsh Posté le 17-03-2017 à 23:20:51
L'album est plutôt bon sans être non plus transcendant.
Des titres ressortent comme Scum, Poison Heart, No More (This is the Last Time) ou Where's the Revolution.
Par contre, j'ai bien fait de ne pas écouter en avance les titres dispos sur youtube depuis plusieurs jours: le son est vraiment très mauvais, parfois même en mono, rien à voir avec le son que l'on peut écouter aujourd'hui.
Bref je plains les gens qui se sont basés sur ça pour donner leur avis définitif.
Marsh Posté le 18-03-2017 à 03:57:51
Je l'avais dit ! C'est bien un ovni comme décrit par la critique.
Marsh Posté le 18-03-2017 à 21:01:34
pablo el picaso a écrit : Pas mieux !!! |
Si cela avait été possible je n'aurai pas hésité.
Mais je n'ai pas gagné... j'ai été mis sur liste d'attente et j'ai bénéficié d'un désistement.
On m'a appelé pour dire que c'était ok.
Marsh Posté le 18-03-2017 à 21:48:04
Mon dieu "Going backwards", "No more", "Fail" . Des tueries
J'ai du mal avec le reste de l'album . Les Remix sont pas mal. J'aurais préféré des vrais bonus, c'est à dire de vrais morceaux additionnels. Plusieurs écoutes seront peut être vraiment nécessaire avant de kiffer le reste l'album.
Marsh Posté le 19-03-2017 à 10:12:31
ReplyMarsh Posté le 19-03-2017 à 11:17:32
freduche a écrit : Pareil pour moi. Je bloque encore sur 2-3 morceaux. |
Pour ceux de Gore, je n'y arriverai jamais
Marsh Posté le 20-03-2017 à 18:38:57
Bon, comme prévu, et après plusieurs écoutes, je le trouve finalement bien cet album. Assez subtile en fait. La lenteur générale au premier abord qui était assez déroutante disparaît au final. Le seul morceau qui me gave encore est "Eternal", du Martin pur jus, bien qu'à la base j'adore ses solo.
Par contre, pour avoir maté le live de lancement de vendredi dernier sur FB, je reste dubitatif sur le rendu live de cet album. En effet, le live est assez dépouillé de tous les arrangements studio post-prod et je dois dire que les sonorités sont très très basiques, voir parfois pourraves. Pas rassuré pour la tournée à venir...
Marsh Posté le 21-03-2017 à 14:54:27
ReplyMarsh Posté le 21-03-2017 à 20:22:03
la maintenant
Marsh Posté le 22-03-2017 à 10:38:18
Hello à tous !
C'était merveilleux, intense, devant une salle chauffée à blanc. Arrivé sur site à 16h45. Déjà, une petite quinzaine de personnes sur place. La foule grossi rapidement, il fait un peu froid. Peu de temps avant, je suis passé acheter l'album aux Halles en 5 min (merci les caisses automatiques). Nous sommes finalement une petite centaine à rentrer vers 17h30 / 17h45. Distribution de papiers "droit à l'image" dont la lecture laissa présager qu'il vaudrait mieux se conformer aux consignes de sécurité. Ne pas faire les c***, ne pas faire de signe distinctifs sous peine d'évacuation et de blacklistage etc. L'équipe de sécurité très pro était bien sur les dents. Remise des ID cards à l'entrée.
Passage obligatoire ensuite au vestiaire où consigne nous fut donnée de remettre, clés, téléphones portables & appareils photos. Donc non pas de photos.
Ensuite nous avons eu droit au portique de sécurité pour un screening détaillé de la moindre poche qui bippe.
Longue attente pour rentrer au studio. On en a profité pour se délester de la bouteille d'eau, interdite en studio.
Placement selon la tête et l'accoutrement vestimentaire du client.
Votre humble serviteur portant une très rock veste militaire d'officier de marine anglais et un t-shirt delta décroche le graal de la réal avec un excellent placement cf. les replays de l'émission.
(mais moins bon pour rejoindre ensuite la scène)...
Le chauffeur de salle n'a pas eu besoin de faire son boulot tout le monde était déjà à fond. Que des fans de DM, moyenne d'âge 40. Tout au plus nous a-t-il demandé d'où nous venions : dans le public des gens venu même du sud de la France, de Belgique, un anglais venu de Londres exprès.
Quelques cris se sont faits entendre lorsqu'on vit passer Martin L. Gore a proximité du plateau. J'espère que les micros de Barthès étaient bien réglés et bien directionnels car toutes ses annonces DM étaient couvertes par le bruit des fans en transe. En studio nous n'entendions rien de ce qu'il disait dès que nous étions à fond.
Place ensuite à un grand moment de calme et de sérieux où nous mimes nos applaus en veilleuse, forcément. Partie 1 de l'émission Le Quotidien... Pédophilie dans l'église. Suivi d'une P2 consacrée à la politique forcément plus propice au rire (on n'en avait rien à faire des chroniqueurs et ceux ci le savaient). Avant l'arrivée de DM en P3 devant une foule de fans en délire complètement déchainée. Ils ont interprété leur titre "Where's the Revolution". La puissance du live donne toute son ampleur au morceau c'est puissant précis, irrésistible, une véritable lame de fond. Standing ovation.
Tout le monde à ensuite repris sa place pour l'interview, longue et avec des magnétos bien vus et ne manquant pas d'humour sur les débuts du groupe. Idéalement placé pour la partie télé... derrière les interviewés en hauteur (d'où j'ai pu contempler le costard et les superbes boots/santiag rouge métal de Dave) mon placement avait le défaut de ne pas pouvoir donner accès à la scène de concert facilement puisque celle-ci était situé à l'opposé du plateau. J'ai quand même réussi à être au vers le 5ème rang dans la foule par la suite. Une foule d'environ 90 personnes a rejoint le public déjà présent pour le live et le concert + qq personnes qui avaient fait le pied de grue devant l'entrée du studio, j'ai su par l'un des nouveaux venus que 10 cartes d'identité ont été tirées au sort parmi ceux qui n'avaient pas de place et attendaient.
Nous attendons le groupe, dans une ambiance de clapping et recueillement avec le chauffeur de salle - qui nous rappelle de ne pas faire les cons (ce serait une très mauvaise idée...) en tentant de sortir le moindre portable resté éventuellement en poche/éteint. Le chauffeur de salle passe ensuite le micro aux fans qui le demandent pour reprendre tous en coeur a capella quelques couplets et refrains de leurs plus grands titres. Un quart d'heure après... c'est donc devant une salle incandescente que Dave, Fletch & Martin sont remontés sur scène pour le concert live. Ambiance rougeoyante et intimiste. Groupe à fleur de peau, à portée de main. J'ai du mal à mesurer ma chance sur le moment (car à la Cigale, juste après mon opération en feeling miraculé après être passé à deux doigts de la faucheuse j'étais complètement à fleur de peau).
"Going backwards" par sa profonde pulsation installe le décor. Le morceau rend très bien. C'est le creuset du concert. Tout le monde s'y fond... On sent le groupe heureux d'être là. Même Fletch fait qq signes. Gore a le sourire de temps à autre tout en étant très concentré. Dave complètement habité. "So Much love" est un délice. "Corrupt" ensuite. Mais c'est "A Pain that I'm Used to" qui met vraiment le feu aux poudres. On devient complètement mad. La batterie et la rythmique achèvent de laminer et de transformer le public en une entité unie et tendue vers un seul but DM. Pour mieux nous emporter sur "Cover Me" un petit bijoux de délicatesse où la gestuelle de Dave fait des merveilles. A certains moment il rappellerait presque un danseur de ballet. C'est si fluide, si aérien, si facile... puis revient "Where's The Revolution". Déjà devenu un classique. Puis on enchaine sur ma préférée : "Try walking in my shoes".... je suis au nirvana. Dave se déchaîne et nous emporte dans sa folie tel un véritable gourou sur Personnal Jesus.... "Reach out and touch faith". Toujours aussi bon, un concert sans fioritures scénique dans une grande ferveur et communion. La voix de Dave magique, on le sent affuté vocalement, reposé, en pleine forme, à l'attaque avant cette nouvelle tournée.
Dommage qu'il ait manqué qq titres par rapport à Berlin mais ici le format était plus intimiste. Pas de rappel. Le groupe s'éclipse. Pas de dédicace as usual pourrait-on dire mais tout le monde est heureux, notamment les deux ou trois chanceux/ses qui ont pu serrer la main de Dave assez longuement pendant le concert. C'était beau, c'était grand, tout en étant intimiste et sans grande débauche de moyens. Je pourrais dire que j'y étais. Même si j'ai encore du mal à réaliser comme je le disais.
Le concert terminé, les sourires et la joie se lisent sur les visages. Ces 5h30, on ne les a pas vu passer. On récupère nos affaires, on plane tous. Certains restent encore un peu devant le bâtiment... mais je pense qu'ils attendront en pure perte, le groupe préférant s’éclipser discrètement. Il est 23h et des poussières. Quelques-uns se prennent en photo devant le stage truck. Tandis qu'ayant déjà remis mon sombre trench par dessus mon military jacket et mon feutre noir, je m'éclipse dans la nuit parisienne au fil des rames et des correspondances.
Arrivé at home j'ai pu revoir le concert sur TMC, passé avec 1h de retard (les ****) sur la programmation annoncée. Dommage que la réalisation soit trop rapide en télé. Les plans sont trop rapides à mon goût. On ne sait pas trop où donner de la tête. A la différence des concerts où la façon de filmer est plus posée. Et bien sur, le son n'est pas celui d'un vécu en live forcément.
Je me suis endormi, DM plein la tête vers 2h30 dans un sentiment de plénitude et de devoir accompli.
Marsh Posté le 22-03-2017 à 14:50:20
Pour les fans intéressés je dispose des enregistrements de l'émission d'hier ainsi que du Live du concert en format MP4 1280x720 / 25 i/s / AAC LC 48 kHz
MP avec email pour que je vous envoie cela par WeTransfer
Marsh Posté le 22-03-2017 à 15:05:20
THX
MP envoyé
Marsh Posté le 22-03-2017 à 15:05:53
did_you_f---_my_wife a écrit : Pour les fans intéressés je dispose des enregistrements de l'émission d'hier ainsi que du Live du concert en format MP4 1280x720 / 25 i/s / AAC LC 48 kHz MP avec email pour que je vous envoie cela par WeTransfer |
C'est celui 720p de frenchviolation ?
Jolie histoire et jolie soirée en tout cas
J'ai regardé le replay. Gahan est vraiment survolté
Marsh Posté le 22-03-2017 à 15:36:52
did_you_f---_my_wife a écrit : Pour les fans intéressés je dispose des enregistrements de l'émission d'hier ainsi que du Live du concert en format MP4 1280x720 / 25 i/s / AAC LC 48 kHz |
Merci pour ce CR
Pour le replay, c'est dispo via Captvty, pas besoin de t'embêter à faire des wetransferts.
Y-a celui de Berlin aussi qui est dispo via Youtube/Captvty.
Marsh Posté le 22-03-2017 à 16:29:56
pablo el picaso a écrit : |
L'enregistrement dont je dispose c'est la captation en intégralité de toute l'émission au moyen de Captvty (edit : justement)
3 fichiers
- quotidien première partie : normalement pas de DM ici (à part dans l'annonce du sujet)
- quotidien deuxième partie : politique + interview DM + where's the revolution live
- concert DM TMC RTL2 : en intégralité
idéalement si je trouve un logiciel de montage, il faudrait que je mette tout à la suite dans un fichier unique mais là, je n'ai pas le temps tout de suite.
Marsh Posté le 23-03-2017 à 02:05:58
En mode Depeche Mode ! Podcast / Redif 21 mars 2017
A l’occasion de la sortie du 14e album du groupe culte de la New Wave, Boomerang se met en mode Depeche mode ! Dave Gahan est l’invité d’Augustin Trapenard.
Une longue interview à écouter ici
https://www.franceinter.fr/emission [...] -mars-2017
Marsh Posté le 23-03-2017 à 17:03:52
Tain.. Je me disais bien que j'avais déjà entendu Corrupt en live.
C'était une bare version en fait
https://youtu.be/erCm7Ibw1cA
Jolie photo pour la first page au passage.
Scum est LA chanson que je veux en live.. Si c'est comme à chaque fois, on ne l'aura pas
Marsh Posté le 23-03-2017 à 23:49:00
Nouvelle mise à jour de la Front Page !
Marsh Posté le 24-03-2017 à 08:27:19
Impec, la FP.
Par contre, le p'tit plus qui pourrait être sympa, c'est d'inclure les versions Deluxe. En effet, ces dernières intègrent des inédits sortis en faceB ou Maxi 45 à l'époque.
Et pi, voir pour les pochettes.
Et comme tu parles des dvd. On pourrait p'tet incorporer les Dvd/BluRay selon les éditions. (ça m’énerve toujours de voir que le concert de Barcelone est plus complet en dvd qu'en BluRay...)
Mais c'est cool.
Bravo
Marsh Posté le 24-03-2017 à 12:30:28
grosfelix a écrit : Impec, la FP. |
Au départ c'est surtout l'oeuvre de Pablo, rendons à César ce qui est à César, j'ai pris le relais et j'enrichis et vais continuer à le faire petit à petit
Marsh Posté le 24-03-2017 à 13:01:40
César est bon
Il n’empêche. Effectivement, si on peut agrémenter...
Marsh Posté le 24-03-2017 à 22:52:40
grosfelix a écrit : Impec, la FP. |
J'ai enlevé les photos des pochettes en fait. Elles étaient hébergées sur mon serveur et donnaient mon vrai nom..
J'ai arrêté les commentaires sur les albums en 2006. Je n'avais pas assez de recul à l'époque. Et je n'ai plus eu le temps pour y retourner.
Pour les versions delux et autres, il y a eu tellement de ré éditions et de versions différentes disponibles que j'ai lâché l'affaire. Il y a un site qui reprend tout. Je chercherai demain pour te donner un coup de main did you
Edit: www.depmod.com
Marsh Posté le 25-03-2017 à 15:28:58
Je suis tombé sur ça tout à l'heure
https://www.depechemode-live.com
Pas mal de truc sympa
Marsh Posté le 26-03-2017 à 14:38:53
Bientôt sur vos écrans :
Ghost in The Shell, film de Rupert Sanders adapté du Manga Culte éponyme de Masamune Shirow.
Avec dans le rôle du Major Kusanagi, Scarlett Johansson.
Pourquoi en parler ici?
1. Parce que c'est un film tiré d'une oeuvre véritablement culte qui interroge la conciensce, l'identité et l'inner life à la manière d'une partie de l'oeuvre DM
2. Parce que ce film contient une très belle surprise : un remix du morceau de Depeche Mode, Enjoy the Silence par The Ki Project que vous pouvez écouter ici :
La musique : https://www.youtube.com/watch?v=E_1-oylPHjs
Le trailer officiel du film ici : https://www.youtube.com/watch?v=G4VmJcZR0Yg
Une réalisation très originale et éloignée de l'esprit lisse de morceau originale, qui mêle sonorités instrumentales propres, en écho à la culture nippone accompagnée d'une voix éthérée (les passages que je préfère) et des sections rythmiques électroniques efficaces jusqu'à la saturation qui cadrent bien avec l'univers post-moderne du manga tout comme avec la palette de DM.
Par contre aucune idée quant au fait de savoir si le remix présent dans le trailer sera intégré à la B.O. du film.
Marsh Posté le 27-03-2017 à 11:20:19
https://youtu.be/DkIlXeehzV4
Glasgow 26 mars.
Enjoy est vraiment toujours aussi puissante en live
Marsh Posté le 13-03-2017 à 23:18:21
Reprise du message précédent :
Il s'est dit "Waouh" ?
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Un Wrangler sur mon petit cul