Il doit connaitre celle-ci pourtant  
( même si elle a vieilli )  
 
http://reho.st/thumb/http://www1.p [...] SL1Rsx.jpg

Excuse moi mais tu peux m'expliquer ta façon de "goûter" !? Normalement on goûte d'abord avec la langue... qui t'aurait fait recracher tout de suite.
 

       
 
 
Daphnée, il n'y en a qu'une :  
 
http://reho.st/http://www.polyvore [...] id=9042589
 
 
     
 
 

Fiotte

 
Fiotte

"je trie"

Mais pourquoi ça arrive toujours aux autres ça

Franchement c'est pas trop le genre de situation qui me fait bander. Après je sais pas pour toi.

Ca se jete les mouchoirs enfin -_-

C'est ici le rassemblement des soupeurs ?

soupeur ...ce truc que hfr m'a permis de connaître et qui m'a fait définitivement perdre tout espoir en l'humanité  

soupeur ...ce truc que hfr m'a permis de connaître et qui m'a fait définitivement perdre tout espoir en l'humanité  

Je viens de repenser à une jolie petite honte arrivée à un ancien collègue, ça égayera peut-être votre lundi... Il y a quelques années je travaillais dans les bureaux d'une boîte auxquels était accolé un atelier où bossaient les ouvriers, un peu bourrins, mais avec lesquels je m'entendais bien. Une après-midi, alors que j'y traînais justement en discutant avec deux d'entre eux, un troisième, connu pour être le petit déconneur de la troupe, se pointa. Ce con était arrivé vers nous d'un pas pressé et on compris assez rapidement pourquoi : sans parler, il se posa face à nous, plia légèrement les genoux, nous fit un sourire façon Huitième jour, et lâcha un énorme pet    
Sauf quand une fraction de seconde, il passa de à
 
Évidemment on a vite compris le problème quand il s'est foutu la main au cul... mais alors qu'on se marrait déjà comme des baleines, l'apothéose fut atteinte quand, alors qu'il se dirigeait en tortillant du fion en direction des toilettes, une petite boulette de merde s'échappa du bas de son large bleu de travail, et roula quelques centimètres avant de s'arrêter au milieu de l'allée.  
Ce petit vestige fécal du moment de détresse infinie que venait de vivre notre collègue, bordel quand j'y repense, le putain de fou rire incontrôlable que ça a engendré  
Bon, d'un commun accord tacite, aucun de nous ne reparla jamais de ce moment magique au collègue en question.
Et absence de slip ou caleçon parachute, jamais nous ne le sûmes
 

Je viens de repenser à une jolie petite honte arrivée à un ancien collègue, ça égayera peut-être votre lundi... Il y a quelques années je travaillais dans les bureaux d'une boîte auxquels était accolé un atelier où bossaient les ouvriers, un peu bourrins, mais avec lesquels je m'entendais bien. Une après-midi, alors que j'y traînais justement en discutant avec deux d'entre eux, un troisième, connu pour être le petit déconneur de la troupe, se pointa. Ce con était arrivé vers nous d'un pas pressé et on compris assez rapidement pourquoi : sans parler, il se posa face à nous, plia légèrement les genoux, nous fit un sourire façon Huitième jour, et lâcha un énorme pet    
Sauf quand une fraction de seconde, il passa de à
 
Évidemment on a vite compris le problème quand il s'est foutu la main au cul... mais alors qu'on se marrait déjà comme des baleines, l'apothéose fut atteinte quand, alors qu'il se dirigeait en tortillant du fion en direction des toilettes, une petite boulette de merde s'échappa du bas de son large bleu de travail, et roula quelques centimètres avant de s'arrêter au milieu de l'allée.
Ce petit vestige fécal du moment de détresse infinie que venait de vivre notre collègue, bordel quand j'y repense, le putain de fou rire incontrôlable que ça a engendré  
Bon, d'un commun accord tacite, aucun de nous ne reparla jamais de ce moment magique au collègue en question.
Et absence de slip ou caleçon parachute, jamais nous ne le sûmes
 

Je viens de repenser à une jolie petite honte arrivée à un ancien collègue, ça égayera peut-être votre lundi... Il y a quelques années je travaillais dans les bureaux d'une boîte auxquels était accolé un atelier où bossaient les ouvriers, un peu bourrins, mais avec lesquels je m'entendais bien. Une après-midi, alors que j'y traînais justement en discutant avec deux d'entre eux, un troisième, connu pour être le petit déconneur de la troupe, se pointa. Ce con était arrivé vers nous d'un pas pressé et on compris assez rapidement pourquoi : sans parler, il se posa face à nous, plia légèrement les genoux, nous fit un sourire façon Huitième jour, et lâcha un énorme pet  

Spoil peut-être non ?
 
Sinon, jamais vu quelqu'un avec autant de *ouilles

Je viens de repenser à une jolie petite honte arrivée à un ancien collègue, ça égayera peut-être votre lundi... Il y a quelques années je travaillais dans les bureaux d'une boîte auxquels était accolé un atelier où bossaient les ouvriers, un peu bourrins, mais avec lesquels je m'entendais bien. Une après-midi, alors que j'y traînais justement en discutant avec deux d'entre eux, un troisième, connu pour être le petit déconneur de la troupe, se pointa. Ce con était arrivé vers nous d'un pas pressé et on compris assez rapidement pourquoi : sans parler, il se posa face à nous, plia légèrement les genoux, nous fit un sourire façon Huitième jour, et lâcha un énorme pet    
Sauf quand une fraction de seconde, il passa de à
 
Évidemment on a vite compris le problème quand il s'est foutu la main au cul... mais alors qu'on se marrait déjà comme des baleines, l'apothéose fut atteinte quand, alors qu'il se dirigeait en tortillant du fion en direction des toilettes, une petite boulette de merde s'échappa du bas de son large bleu de travail, et roula quelques centimètres avant de s'arrêter au milieu de l'allée.  
Ce petit vestige fécal du moment de détresse infinie que venait de vivre notre collègue, bordel quand j'y repense, le putain de fou rire incontrôlable que ça a engendré  
Bon, d'un commun accord tacite, aucun de nous ne reparla jamais de ce moment magique au collègue en question.
Et absence de slip ou caleçon parachute, jamais nous ne le sûmes
 

Une petite pensée  
 
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