j'ai reçu ça par mail, vous en pensez quoi ? - Arts & Lecture - Discussions
Marsh Posté le 14-05-2003 à 00:29:22
_Niala_ a écrit : |
Comme d'hab, foutaises.
Sinon, je suis tout à fait d'accord avec le message
Marsh Posté le 14-05-2003 à 00:34:53
abus de dégoulinances, enfin moins que d'habitude pour celui-là, je le reconnais.
A choisir, je préfère un probable proverbe chinois ou japonais tenant en 2 lignes et exprimant la même émotion
Marsh Posté le 14-05-2003 à 00:39:46
c'est joli je trouve
(mais st'un gros fake hoax machin truc tout le bordel )
Marsh Posté le 14-05-2003 à 00:40:58
joli.
En tout cas, c'est un mail qui ne vend rien et qui ne redirige vers aucun site de secte ou autre organisation spirituelle douteuse, c'est devenu rare.
Marsh Posté le 14-05-2003 à 00:42:15
oui c'est sur comme d'habe un fake, c'est juste histoire de le faire envoyer de personnes en personnes, mais bon c'est plutot pour le texte que j'ai poster qui est pas mal.
Marsh Posté le 14-05-2003 à 00:42:17
Juju_zero a écrit : c'est joli je trouve |
La citation de ton pseudo je trouve ça beaucoup plus emotionnel
Puis c'est une histoire vraie au moins
Marsh Posté le 14-05-2003 à 00:43:04
bah c'est une histoire, comme il y en a plein du genre qui tournent
Marsh Posté le 14-05-2003 à 00:48:57
Pingouino a écrit : La citation de ton pseudo je trouve ça beaucoup plus emotionnel |
Je ne sais pas trop si cette citation est "vraiment vraie" ... Peut etre un peu romancée, je n'en sais trop rien ...
Y a aussi l'histoire selon laquelle une voyante avait predit a un de ses proches qu'il ne passerait pas sa 30eme année, et le fait qu'il soit mort lors du dernier GP avant l'anniversaire de ses 30 ans
Marsh Posté le 14-05-2003 à 00:52:09
Juju_zero a écrit : |
Moui... Ou bien c'est peut être tout ça qui travaillait dans sa tête le jour du GP et qu'il n'a pas conduit à son habitude, étant préocupé par tout ça... Enfin bon ça va diverger là
Marsh Posté le 14-05-2003 à 00:53:17
Pingouino a écrit : Moui... Ou bien c'est peut être tout ça qui travaillait dans sa tête le jour du GP et qu'il n'a pas conduit à son habitude, étant préocupé par tout ça... Enfin bon ça va diverger là |
On sait tjrs pas trop non plus pourquoi il s'est planté
bref, oui on diverge la
Marsh Posté le 14-05-2003 à 01:21:32
DrKarma a écrit : joli. |
ça change des mails ki veulent me grandir ma verge de 3" ...
Marsh Posté le 14-05-2003 à 01:33:04
f@bek a écrit : |
moi ils me proposent que 1"
nan c'est joli mais bon... les chaines sa suxxe
Marsh Posté le 14-05-2003 à 01:34:58
Celle dans le Taupik Blagues est pas mal dans le genre: envoyez-là à 5 000 000 de personnes et le reste
Marsh Posté le 14-05-2003 à 01:38:59
ReplyMarsh Posté le 14-05-2003 à 02:11:32
COmment ca fait longtemps que je l avais pas entendu cette histoire c est clair que c est jolie et ca circule toujours par courrier c est comme le truc avec les chats ds les bocaux Mais a chaque fois on a de la peine et tout puis je ferme le mail et je retourne à mes conneries habituels Avouez que c est pareil pour vous
Marsh Posté le 14-05-2003 à 02:18:35
chkevchkoutte a écrit : Avouez que c est pareil pour vous |
non, ca a radicalement changé ma vie, je vends des chats en bocal et je construis des murs le long des hopitaux
Marsh Posté le 14-05-2003 à 07:03:44
zion a écrit : |
Marsh Posté le 14-05-2003 à 08:46:43
zion a écrit : |
Marsh Posté le 14-05-2003 à 08:56:39
Citation : |
Citation : |
Marsh Posté le 14-05-2003 à 11:33:15
K@Zouille a écrit : [quote] |
c'est n'importe quoi
Marsh Posté le 14-05-2003 à 11:37:35
franchement je trouve ça hyper léger
ce genre de poésie digne d'un témoin de jeovah précheur poète et attendri, ca me touche vraiment po
Marsh Posté le 14-05-2003 à 00:18:24
A lire jusqu'au bout, c'est extrêmement sérieux et ca donne à réfléchir!
Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital.
L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons, son lit était à coté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre devait passer ses journées couché sur le dos.
Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et de leurs familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits ou ils avaient été en vacances.
Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.
L'homme dans l'autre lit commença à vivre pendant ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.
De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac, les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux en modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel, de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner.
Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre coté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.
Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.
Les jours et les semaines passèrent.
Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.
Dès qu'il sentit que le moment était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à coté de la fenêtre.
L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul.
Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors.
Enfin, il aurait la joie de voir par lui-m> ême ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit.
Or, tout ce qu'il vit, fut un mur !
L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui
avait dépeint une toute autre réalité.
L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur.
Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager, commenta-t-elle.
Epilogue:
Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves.
La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé.
Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.
Aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi on l'appelle présent.
L'origine de ce message est inconnue, mais il porte-bonheur à chaque personne qui le transmet ..
a l'instant par mail, vous en pensez quoi ?
d'autre l'on recu ?
Message édité par _Niala_ le 14-05-2003 à 00:20:43
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Quake III Musika - Un coup de blues ?