roman herois fantasy écrit par un jeune de 15 ans - Arts & Lecture - Discussions
Marsh Posté le 14-03-2006 à 08:24:28
Franchement, je n'ai même pas voulu lire un seul mot de ton récit. Ta présentation ne donne pas du tout envie de te lire car tu te fait passer dès la première ligne pour une personne orgueilleuse et fière. Tu n'avais pas besoin de nous dire ton age, tu aurais pu te contenter de balancer ton oeuvre et nous laisser juger... Bon courage quand même.
Marsh Posté le 14-03-2006 à 09:06:23
+1 avec ce qui a été dit plus haut.
En dehors de cela, j'ai un peu lu, et je trouve que tu fais des répétitions dans certaines de tes phrases, cela ne ressemble pas à un texte, mais plus à un amoncellement de phrases.
Ceci dit, courage pour la suite.
Marsh Posté le 14-03-2006 à 09:22:05
J'ai lu les 3 premieres phrases. Ça m'a suffi pour y trouver le defaut typique aux premiers essais d'un ecrivain en herbe: une accumulation d'adjectifs descriptifs pas tous tres utiles.
Citation : Lair était frais et humide. Lobscurité envahissait presque entièrement le ciel dazur. Le vent, plus vigoureux que jamais, faisait sagiter les hautes herbes qui recouraient limmense plaine. Quelques minutes plus tard la nuit atteint son apogée et les étoiles scintillaient vivement, tapissant ainsi le ciel sibyllin. |
Il faudra apprendre a élaguer afin de rendre son texte lisible. Un bon tiers d'adjectifs en trop. La mise en épithéte de immense n'a pas lieu d'être et fait ampoulé.
D'autre part, avant de proposer ton texte ici, le moins que tu pourrais faire, c'est de le passer a un correcteur ortho/grammatical puis de le relire attentivement. Ainsi, la faute recouraient, pour recouvraient, aurait été détectée (et je parle pas de l'emploi totallement faux de limpide a la fin de l'introduction...). Enfin, dernier point, une nuit n'a pas d'apogée, mais bon, a la limite, ca pourrait passer comme une licence poétique.
Si je regarde la derniere ligne du texte:
Citation : Que ton cur vaillant ne tombe jamais sous lemprise du Mal, car même dans un rais de lumière, lespoir qui sy cache sera toujours vainqueur. A présent va et combat ! |
Encore une faute qu'un correcteur ortho n'aurait pas laissé passer (et je parle pas des impératifs sans s ) . Bon ben ça ne m'incite guère a lire l'ensemble.
A+,
Marsh Posté le 14-03-2006 à 09:24:47
j'ai lu un bout, j'ai souvent l'impression que certains mots sont la parce qu'ils claquent bien plus que pour servir ton texte ou ta description
Marsh Posté le 14-03-2006 à 10:27:38
Je suis d'accord avec certains membres sur l'aspect souvent négligé de l'orthographe, notamment pour ce qui est du mauvais usage de l'impératif: il n'y a pas de "s" : "[...] entoure toi de tes plus proches amis" pour les verbes du 1er groupe, seulement pour ceux du 2ème et 3ème groupe ! Fais attention aussi à la ponctuation: il manque des virgules.
Sinon, je ne rejoins pas tout le monde sur le fait que se sentir fier est nécessairement une marque d'orgueil ! A mon sens, dad075 évoque son jeune âge, afin d'obtenir l'indulgence du lecteur.
Dans tous les cas, je te félicite pour ton initiative: j'ai 30 ans et je reste admiratif quand un jeune de ton âge s'applique à l'écriture. C'est une bonne chose ! Dernier conseil: travaille un peu plus le style.
Bon courage
Marsh Posté le 14-03-2006 à 10:43:21
dad075
Tout d'abord je rejoins les précédents commentaires sur ta manière de présenter tes écrits. Ton âge importe peu.
Après avoir lu ton prologue et un peu du reste, je dois avouer que je considère ce récit comme une sorte de course effrénée à l'adjectif qui rend la lecture particulièrement lassante.
Peut-être ne suis pas amateur de ce type de livre, cependant, il y a des expressions étranges, qui sont matière à répétition qui plus est :
Citation : Subitement lair sétait transformé en un chant glacial frigorifiant tout ce qui se trouvait sur son passage. Un vent violent sabattait sur toute la plaine, sengouffrant à lest dans les hautes montagnes qui bordaient lhorizon. |
et des incohérences assez extraordinaire
Citation : Lun assit tout au fond, était silencieusement installé dans un gigantesque fauteuil de marbre, |
J'imagine mal un petit campement avec ce type de fauteuil...
Enfin je ne vais pas tourner autour du pot : ça fait rédaction d'un bon niveau de quatrième.
Cela-dit, comme tu le dis si bien dans le début de ton post, j'espère que tu fais plus que tes 15 ans et que tu sauras prendre nos remarques acerbes avec tout le recul nécessaire à une conclusion constructive, sans te braquer.
Bravo pour cet essai et le courage de nous faire lire ton ouvrage
Marsh Posté le 14-03-2006 à 10:46:49
Finalement, en étudiant tout cela de plus près, ça il y a de fort relents de Seigneur des Anneaux
je continue de lire...
Citation : Vous ne dormez pas, vous ne buvez pas et de plus vous manquez de sommeil ! |
Une canne ne traînasse pas sur le sol, au pire traîne-t'elle un peu...
Spoiler : je mène une lutte acharnée depuis bien fort longtemps. |
Apparemment la menace vient des hommes de l'Est et finalement il envoit son fils contre cette armée alors qu'il avoue ensuite avoir le plus confiance en sont homme de main qu'il envoie sur les armées du Sud et de l'Ouest. Ça n'a pas de sens.
Citation : son esprit percevait vaguement une odeur pourtant inodore, une image invisible et un son inaudible. |
Ha oui quand même...
Citation : Isole toi un moment dans la forêt ou dans un endroit calme. Cela te laissera le temps de méditer un petit moment |
Faudrait savoir.
Bref tout ça manque cruellement de structure.
Marsh Posté le 14-03-2006 à 20:24:26
merci pour vos conseils ne vous inquietez pas je ne les prends pas mal car elle me font progresser
Marsh Posté le 14-03-2006 à 20:43:16
Citation : Que ton cur vaillant ne tombe jamais sous lemprise du Mal, car même dans un rais de lumière, lespoir qui sy cache sera toujours vainqueur. |
Jean Claude Vandamme ?
Il y'a une petite faute dans le tître, il me semble. Pas "herois" mais heroine.
Marsh Posté le 20-10-2007 à 23:25:55
Solys
Va tu m’expliquer pourquoi tu refuse demanda Solys sur un ton calme et passiant ?
-Sa va faire cent fois que je te le dit
- Dersan ,Dersan dit Solys sur le point d’éclater de rage , nous sommes obligés de trouver un prénom qui nous
Plait à tous les deux
-c’est très dur de trouvée un prénom avec toi répondit-il en se levant du fauteuil sur lequel il était assis, pour aller
Chercher à boire dans le frigo
-Avec toi aussi, Dersan c’est très dur c’est même impossible tu est aussi têtu qu’une mule parler avec toi c’est
Comme parler à un mur et encore je suis certaine que le mur m’écouterais lui dit-elle en accentuant légèrement le
« Lui »
- alors considère moi comme un mur. Un petit sourire s’afficha sur le visage sombre de Dersan et Solys crut apercevoir une lueur d’amusement dans ses yeux ,elle en avait marre de Dersan cela faisait bientôt dix ans que Dersan et elle était ensemble mais depuis deux mois il était devenu insupportable ,elle en pouvait plus elle était fatigue .
Se quel craignait le plus aller arrive son fils ne s’appellerait pas comme elle le voudrais, il fallait quel réfléchis
Et pour sa elle avait besoins de respirer, de prendre l’air elle passa devant Dersan sans même lui adresser un regard et elle sortit dehors.
¤
moi j'ai 14 ans je suis très très très très nul en orthographe et en ponctuation desoler si je vous embete
Marsh Posté le 20-10-2007 à 23:27:30
ReplyMarsh Posté le 20-10-2007 à 23:37:29
ton premier problème, c'est quand même de te faire comprendre, alors outre le fait de nous expliquer le pourquoi su comment que tu postes ici, il faudrait veiller à soigner ton orthographe, c'est toujours plus agréable à lire.
Et puis bon, remonter un post mort depuis un an et demi
Marsh Posté le 06-11-2007 à 23:08:34
vicmckay a écrit : ton premier problème, c'est quand même de te faire comprendre, alors outre le fait de nous expliquer le pourquoi su comment que tu postes ici, il faudrait veiller à soigner ton orthographe, c'est toujours plus agréable à lire. |
p*tain de n00b que je suis... j'ai lu les premiers posts pendants 5 min avant de lire les dates.
+1 pour le qu'est-ce-que-ton-post-vient-faire-ici... et en plus, à ton âge j'étais couché à cette heure.
Marsh Posté le 06-11-2007 à 23:18:37
C'est bourré de fautes... Il faut continuer à travailler à l'école, écrire pour toi c'est très bien, mais avant de présenter tes oeuvres au public, et donc à la critique, tu serais fort avisé de te relire, te faire relire, et de te faire lire par tes amis, pour voir si ça les emmerde vraiment, ou seulement un peu...
Marsh Posté le 06-11-2007 à 23:21:56
youna and jinnas1 a écrit : aider moi a m'ameliorer et je n'est pas de probleme |
lis des bouquins (plein, de toutes sortes), mange du Bescherelle (plein) et lis... encore et encore. Regarde des flims (plein, de toutes sortes), les infos, des docus... toussa quoi
et continue d'écrire. Tu vas forcément finir par trouver un truc qui te plaît et te pousse à écrire.
Marsh Posté le 10-11-2007 à 12:56:42
Avant de commencer à écrire un roman, commence par des nouvelles, plus courtes et plus facilement maîtrisables.
Rien ne t'empêches de reprendre les mêmes personnages sur plusieurs nouvelles, et de constituer ainsi un récit dans son intégralité.
Mais avant tout, prend le temps de définir les personnages, le monde, l'histoire qui vont servir de base à ton récit !
Rien de plus énervant que de voir des dates flotter, des personnages changer sans raison ou des lieux bouger ou avoir une histoire changeante ! !
Rien de plus désolant que de voir un premier ensemble de chapitres dévoiler toute l'histoire et être suivis de chapitres creux, destinés à meubler le récit !
Prends le temps de mettre à plat ton récit, même de façon grossière avant de commencer à écrire chapitre après chapitre !
Cela te permettra de répartir au mieux les événements, les découvertes . . . et de captiver tes lecteurs
Et surtout, n'oublies pas de passer un coup de correcteur orthographique et de faire lire à tes bons amis, quitte à reprendre leurs suggestions !
Marsh Posté le 10-11-2007 à 16:24:12
"Comment ecrire de la fantasy et de la science fiction" par orson scott card
http://www.bragelonne.fr/livre.php?num_isbn=2915549877
Marsh Posté le 10-12-2007 à 16:32:31
Citation : - Par tous les dieux, quest-ce dont cela ?! Sexclama til. |
Je pense qu'ils devraient t'engager chez Kaamelot.
Marsh Posté le 10-12-2007 à 16:40:40
ReplyMarsh Posté le 10-12-2007 à 18:19:10
tu me fais penser à moi, quand j'ai fumé un arbre, et que je m'imagine penser à un truc que toooooout l'monde va trouver génial ...à qui persoooonne n'a jamais pensé...
la différence est que je me réveille le lendemain...
cela dis persiste, ta prof de français va kiffer .
Marsh Posté le 19-12-2007 à 15:16:34
Coucou mon amis j'ai 14 ans mais moi comparez à toi je fait tros de lacunes et c'est horrible pas vrais borabora
Marsh Posté le 19-12-2007 à 15:16:50
Solys
Vas tu m’expliquer pourquoi tu refuses ? demanda Solys d’un ton calme et patient.
-Ca va faire cent fois que je te le dis.
- Dersan, Dersan dit Solys sur le point d’éclater de rage, nous sommes obligés de trouver un prénom qui nous plait à tous les deux.
-C’est très dur de trouver un prénom avec toi… répondit-il en se levant du fauteuil sur lequel il était assis, pour aller chercher à boire dans le frigo.
-Avec toi aussi, Dersan c’est très dur c’est même impossible tu est aussi têtu qu’une mule, parler avec toi c’est comme parler à un mur, et encore je suis certaine que le mur m’écouterais lui, dit-elle en accentuant légèrement le « Lui ».
- Alors considères moi comme un mur. Un petit sourire s’afficha sur le visage sombre de Dersan et Solys crut apercevoir une lueur d’amusement dans ses yeux, elle en avait marre de Dersan cela faisait bientôt dix ans que Dersan et elle était ensemble mais depuis deux mois il était devenu insupportable, elle en pouvait plus elle était fatiguée.
Ce qu’elle craignait le plus allait arriver, son fils ne s’appellerait pas comme elle le voudrait, il fallait qu’elle réfléchisse.
Et pour ça elle avait besoin de respirer, de prendre l’air, elle passa devant Dersan sans même lui adresser, un regard et elle sortit prendre l’air, elle s’assit sur un banc et regarda les gens marchait.
Sur leur visage d’ange, ils semblaient errent un démon aux plus profond de leur corps.
Mais au plus profond d’eux on pouvait entendre, un rire froid et puissant Solys n’était guère intimidé par ces rires, elle les entendaient à chaque fois qu’elle regardée quelqu’un.
Jusque à maintenant le rire le plus cruel qu’elle ait entendu, était celui de Dersan.
Mais depuis que sont fils était née, Dersan n’était qu’un souffle de souris à coter de Lynx,Lynx le nom qu’il devait absolument porter.
Lynx n’avait pas un rire comme les autres personnes, sont rire était démoniaque et effrayent ; Dans chaque personnes, Solys voyait deux personnalités une bonne et une mauvaise.
Cher Dersan la mauvaise personne avait une influence sur la bonne, mais cher Lynx les deux personnes avait ne influence chacun sur l’autre.
Les deux personnes se respectent cela faisait un telle cahot dans le corps de Lynx, que la première fois qu’elle le toucha elle failli tomber dans les pommes.
Il ressemblait à un démon dans le corps d’un ange.
Elle ferma les yeux, doucement, tout doucement.
1
. Il faisait doux l’air été léger le soleil était en train de se lever les oiseaux chanter des mélodies magnifique
Le matin était un des seul moment de la journée ou les voitures et les klaxons n’avait pas leur places dans se monde .Si en tendaient l’oreille ont pouvait entendre une cascade coulée.
De temps en temps les arbres bouger laissant entendre un langage inconnu .Le ciel avais un ton orange et rose .Une jument hennisse sans doute pour appelait son poulain.
Les premier réverbère s’éteignent laissant place à une rue sombre presque sans vie. Les oiseaux qui chantent avais enfin change de mélodie c’elle ci ressemblé plus à un chant surnaturelle qu’a une mélodie.
Un chien aboyer après une poule il voulait sans doute lui tordre le cou .Une grand mère était assise devant sa fenêtre elle regardait sans doute les derniers instants de sa vie défile devant elle, elle souriait montrant à la vie qu’elle été prête, prête à faire son voyage mortuaire, prête à faire cadeaux de sont corps a la mort c’est vrais son maris été mort a 45 ans d’un concert elle en avait 97 elle en avait passait du temps seul sa fille avais déménager au Canada et son fils c’étais fais écrase par une voiture et elle c’étais disputer avec sa sœur .Ainsi mourir ne lui faisait pas peur ,elle pourrait de nouveau voir son maris . La grand mère éclatas de rires puis posa sa main sur la vitre elle ne bougea plus le froid commencer à l’envahir tout ses soucis disparurent même les plus petit qu’il soit laissant place a un corps remplie de bonheur.
Un bonheur qu’aucun être humain ne connaîtra jusqu'à sa mort .Les yeux et les lèvres de la mamie ne bougeaient plus, sa main qui était contre la vitre glissa la mamie avait enfin eu ce qu’elle voulait la mort. Elle avait pas eu un vie facile alors elle espère avoir une mort facile la mamie mourut sans peur ni crainte d’aller en enfer, car l’enfer n’exister pas plus que dieu existe sa maison s’assombrit puis les oiseaux chantèrent du mieux qu’il purent pour faire honneur à la grand-mère .
Il eu un trouble comme un flash, une maison, un couteau du sang un cadavre par terre un cris froid et désolant, un cris de haine, puis un autre flash ; Le corps de la Grand-mère fut découvert un ans plus tard par les voisins qui s’étonnent de ne plus l’entendre parlait toute seule, il eu du brouillard, des étoiles et puis il eu du silence, un silence de mort, aucune respiration aucun mouvements de cœur.
Tout devint blancs, puis noirs, il eu des fleurs couleur sang, couleur mort et desepoir.
Mais dans cette ambiance de mort, une petite fille rie, un rire forcé qui n’était pas naturel mais elle rie certes, mais froidement.
Un petit enfant s’approcha de la fille qui rie, celle- cis dit :
-La vie na plus de valeur, les règles ont était violait, part tous, les hommes sont perdus, alors je ris de les voir ainsi ils croient en la vie mais elle est morte depuis le commencement, alors que reste t-il ?
Le petit enfant hocha la tête et hocha les épaules et alors il dit
- je ne sais pas, nous-mêmes
- Non cracha t-elle il reste que la mort. Elle avait soufflé ses derniers mots.
2
-je ne comprends pas, le commencement de quoi, de la terre ?
- de la vie, elle est morte depuis le commencement de la vie
- la vie est morte depuis le commencement de la vie ? Le garçon fronça les sourcils, il comprenait les paroles de la jeune fille mais pas le sens. Mais toi aussi tu est humaine dit il avec sa vois fleurette
- non. Elle avait dit ses mots distinctement.
-Pardon demanda t-il en ouvrant grand les yeux, tu est humaine. En disant ces mots un petit sourire de tristesse s’afficha sur son visage d’un air de dire « elle s’arrange pas »
- Je ne suis pas humaine, je suis la terre, je suis la mer, je suis les cieux le vent et le soleil je suis tous se qui entoure ce vaste monde, je suis la terre.
- mais tu n’es pas la terre, tu as du sang …
- Tous sa c’est des détails dit elle en lui coupant la parole
- Non dit il d’une voix d’homme tu t’est égarer, c’est tu mon prénom ?
- tu t’appel … Azair, prince Azair
- te souviens tu de ton prénom ? Elle fixa Azair dans les yeux puis elle les ferma et elle dit :
- Annah ! Oui je m’appel Annah
-pfff c’est le nom que on ta donner
Marsh Posté le 19-12-2007 à 15:17:34
17 ans + tard
LE PEUPLE DE L’EAU
Depuis tout petit déjà Jinko rêvait de quittait sa terre natale, mais jamais il en avait eu le courage Craignant la réaction des shraniens. Mais quand lynx était arrivé dans shrana, et que il fut accusé d’être la réincarnation du mal il fut immédiatement mis à mort. Ils s’étaient enfuis vers les mers infranchissables, mais les mers étaient énervées et elles décidèrent de tuer les deux fuyards.
Jinko et Lynx tombèrent dans l’eau glacer ,Jinko avait ouvèrent les yeux et regardait Lynx tomber dans le fond noirs des mers , bientôt celui-là disparut ,Jinko était sur le bord de l’évanouissement il essayer en vain de remonté à la surface de l’eau mais quelque chose l’en empêcha, l’esprit des mers se tenais devant lui ,cette esprit était laid, mais avais une certaine beauté il ressemblait vaguement à un humain mais il avait un visage plus large ,ses trait de visage était mou, si mou que on aurait dit qu’il était élastique ses oreilles était longues semblables à celles des lapins mais en moins pointue, et de sa bouche sortait deux dents pointu qui rappelait les canines des loups mais de tailles différentes , il était grand et il portait un casque sur sa tête .
Jinko le regarda longtemps et il s’évanoui.
Le soleil était chauds, trop chaud, le vent manquait et le chants des oiseaux était différent de ce de shrana, trop surréaliste songea Jinko ; il avait trahis sont pays et il allait aller en enfer, bien qu’il n’y croie pas, ce qui l’étonna le plus se fut le tapis de mousses et de lichen sur lequel il était coucher, alors doucement, tout doucement il ouvrit un œil puis l’autre, il sursauta en voyant un homme penché vers lui, alors il demanda
-Je suis mort ?
- Tu as faillis répondit l’homme que Jinko baptisa sourire hideux.
-Où suis-je ?
-Tu est chez le peuple de l’eau, comment t’appel tu demanda t’il avec une politesse inébranlable
Il hésita à répondre maintenant à l’heure qu’il est shrana devaient le rechercher pour complicité d’évasion, soudain il réalisa, Lynx ou était t-il l’avait t-ils sauvent de leur noyade périlleuse ? D’un coup il se leva, mais il retomba vite car il avait peut de force, sourire hideux le regardait avec un air mélancolique
-Je balbuta t-il je m’appel Jinko et je me suis échouer avec mon compagnon L… lytael mieux valait mentir sur le nom de lynx car lui Jinko n’était pas connus mais Lynx était un nom malsain et maudit et il craignait la réaction du peuple de l’eau
-Je n’est trouver que toi en pêchant du poisson.
Jinko en avait mal au ventre il était mort, bien qu’il n’est voyager que quelque temps avec lui il éprouver une certaine honte.
- Tu ne me demandes pas mon prénom ? A quoi pense tu ?
- Comment fait tu pour pêcher sur les mers ? et quel est ton nom ?
- Je m’appel Sardâkah, mais mon surnom est sourire radieux, les mers ne sont pas agiter pour le peuple de l’eau elle paraisse molles un peut comme le dieu de ses mers. En disant ses mots il regarda Jinko d’un œil perçant, mais Jinko l’ignora Lynx était sans doute mort
Marsh Posté le 19-12-2007 à 20:55:16
youna and jinnas1 a écrit : Depuis tout petit déjà Jinko rêvait de quittait .... |
je suis pas allé plus loin
Marsh Posté le 20-12-2007 à 17:56:53
^^ dsl pas corriger voili la correction
le peuple de l'eau
Depuis tout petit déjà Jinko rêvait de quitter sa terre natale, mais jamais il n'en avait eu l'occasion. Craignant la réaction des shraniens. Mais quand Lynx était arrivé dans Shrana, et qu’il fut accusé d'être la réincarnation du mal, il fut immédiatement mis à mort. Ils s'étaient enfuis vers les mers infranchissables, mais les mers étaient énervées et elles décidèrent de tuer les deux fuyards.
Jinko et Lynx tombèrent dans l'eau glacée, Jinko avait ouvert les yeux et regardait Lynx tomber dans le fond noir des mers, bientôt celui-ci disparut, Jinko était sur le bord de l'évanouissement. Il essayait en vain de remonter à la surface de l'eau mais quelque chose l'en empêcha, l'esprit des mers se tenait devant lui, cette esprit était laid, mais avait une certaine beauté. Il ressemblait vaguement à un humain mais il avait un visage plus large, les traits de son visage était mous, si mou qu’on aurait dit qu'il était élastique. Ses oreilles était longues, semblables à celles des lapins mais en moins pointues, et de sa bouche sortait deux dents pointues qui rappelaient les canines des loups mais de tailles différentes. Il était grand et il portait un casque sur sa tête.
Jinko le regarda longtemps et il s'évanouit.
Le soleil était chaud, trop chaud, le vent manquait et le chant des oiseaux était différent de ceux de Shrana, trop surréaliste songea Jinko; il avait trahi son pays et il allait aller en enfer, bien qu'il n'y croit pas. Ce qui l'étonna le plus, se fut le tapis de mousses et de lichen sur lequel il était couché. Alors, doucement, tout doucement, il ouvrit un œil puis l'autre, il sursauta en voyant un homme penché vers lui, alors il lui demanda :
- Je suis mort ?
- Tu as failli, répondit l'homme que Jinko baptisa sourire hideux.
- Où suis-je ?
- Tu es chez le peuple de l'eau, comment t'appelles tu ? demanda-t-il avec une politesse inébranlable.
Il hésita à répondre. À l'heure qu'il est, Shrana devait le rechercher pour complicité d'évasion. Soudain il réalisa : Lynx l'avait-il sauvé de leur noyade périlleuse ? D'un coup il se leva, mais il retomba vite car il avait peut de force, sourire hideux le regardait avec un air mélancolique.
-Je… balbutia-t-il. Je m'appelle Jinko et j’ai échoué avec mon compagnon L... Lytael. Mieux valait mentir sur le nom de Lynx car lui, Jinko, n'était pas connu mais Lynx était un nom malsain et maudit et il craignait la réaction du peuple de l'eau
-Je n'est trouvé que toi en pêchant du poisson.
Jinko en avait mal au ventre, il était mort bien qu'il n'ait voyagé que quelque temps avec lui, il éprouvait une certaine honte.
- Tu ne me demandes pas mon prénom ? A quoi penses-tu ?
- Comment fais-tu pour pêcher sur les mers ? Et quel est ton nom ?
- Je m'appelle Sardâkah, mais mon surnom est sourire radieux. Les mers ne sont pas agitées pour le peuple de l'eau : elles paraissent molles, un peu comme le dieu de ses mers. En disant ses mots, il regarda Jinko d'un œil perçant, mais Jinko l'ignora, Lynx était sans doute mort.
Marsh Posté le 14-03-2006 à 06:52:50
Bonjour tout le monde, je me présente : je me donnes David. Bon Voila l'année dernière j'ai commencé par écrire un roman alors que j'avais 14ans ( si vous vous fiez à mon âge vous le regretterez), et aujourd'hui j'ai 15ans et j'aimerais vous présenter ce fabuleux roman rempli de fantasy de peur , d'intrigue... Bien évidemment j'ai put proteger mon oeuvre : je me suis envoyé en recommandé une envellope à moi-même contenant mon histoire sans l'ouvrir avec cachet de la post ect...
Avant de tenter de faire publier ce livre je voudrais l'avi des internautes alors je vais souvent vous présenter les chapitres. Pour commencer je préfère vous envoyer l'introduction et le premier chapire sinon vous ne pourriez pas encore bien juger mon oeuvre sur quelques lignes.
Bon sinon ya mon skyblog ou je diffuse aussi l'histoire : www.dadou075.skyblog.com
Merci de juger mon oeuvre : voici l'introduction
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Prologue
LES TENEBRES
Lair était frais et humide. Lobscurité envahissait presque entièrement le ciel dazur. Le vent, plus vigoureux que jamais, faisait sagiter les hautes herbes qui recouraient limmense plaine. Quelques minutes plus tard la nuit atteint son apogée et les étoiles scintillaient vivement, tapissant ainsi le ciel sibyllin.
Au centre de la grande étendue, luisaient des lumières de chandelles qui éclairaient vivement les centaines de campements établis dans la plaine depuis plus dune semaine.
A lextérieur de leurs tentes, des hommes étaient réunis autour dun gigantesque feu qui sélevait très haut dans le ciel. Tous festoyaient, buvaient ; sagitant gaiement dans tous les sens tandis que certains rassemblés dans un coin, bavardaient joyeusement en entonnant de tant à autre des airs reposants.
Les festivités se prolongèrent ainsi tout au long de la nuit. Chacun put manger à sa faim, boire à sa guise et trinquer à volonté, tous les curs étaient emplis dallégresse.
Personne ne fut assez limpide pour sapercevoir quau fur à mesure que le temps passait des étoiles déclinaient dans le ciel, laissant libre cour à la venue dune brume ténébreuse qui se répandait dans toute la plaine et peu à peu, le mal commença par sétendre à linsu des regards.
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Bon voila. je vous balance juste à la suite le 1er chapitre
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UN CHOIX INATTENDU
Une fois que la fête se fut estompée, les hommes regagnèrent leurs tentes et huit gardes se postèrent tout autour du campement. Désormais, la douce odeur du vin avait disparue. Subitement lair sétait transformé en un chant glacial frigorifiant tout ce qui se trouvait sur son passage. Un vent violent sabattait sur toute la plaine, sengouffrant à lest dans les hautes montagnes qui bordaient lhorizon.
Et les étoiles ne cessaient de séteindre dans le noir plusieurs heures passèrent alors que laube, toujours tardive, continuait de se cacher dans les ténèbres.
Au milieu du campement, une tente continuait de briller sous léclat des lueurs de quelques dernières bougies. A lintérieur sy tenaient deux hommes :
Lun assit tout au fond, était silencieusement installé dans un gigantesque fauteuil de marbre, perché au sommet dune impressionnante pile de coussins. Il pressait contre sa poitrine un petit coffret de bois garnis de magnifiques pierres turquoise, reflétant léclat des bougies. Lhomme était vêtu dune large tunique couleur beige. Une dizaine de bagues ornaient ses doigts. A son coup : pendait un nombre considérable de chaîne en or. Le vieil homme avait de petits yeux bleus avec de lourdes paupières repliées sur elle-même et possédait de longs cheveux gris. Il avait lair épuisé, extenué par les dur moments quils avait vécu : son visage était pâle et couvert de rides, et son regard était vide. Il concentrait un surcroît de forces pour maintenir au mieux que possible le coffret de bois entre ses bras.
Non loin de lui, un homme à forte carrure aux longs cheveux bruns scrutait lentrée en se déplaçant de long en large. Il portait un manteau et une épaisse paire de bottes ; à sa ceinture était nouée une longue épée. A plusieurs reprises il se retourna pour examiner létat de son supérieur qui semblait le préoccuper. Les plis sur son visage trahissaient des signes dangoisse mêlés à de lépuisement et par ailleurs un sentiment de faiblesse, compte tenu de la situation il souhaitait pouvoir venir en aide au vieil homme souffrant au fond de la pièce.
Brusquement après un mur instant de réflexion, lindividu aux cheveux bruns se décida dun pas vifs et se dirigea au fond de la tente. Il appliqua délicatement sa grosse main velue sur le front du vieil homme à bout de forces et poussa un énorme soupir dahurissement. Après quoi ; il ramassa un récipient posé près de son maître quil examina avec déception : le bol débordait dun substance visqueuse affreusement blafarde, qui à première vue semblait être un mélange de boue et de plantes hachée.
Il sapprocha lentement de loreille de son maître, contre laquelle il murmura des paroles incompréhensibles pour essayer de provoquer son attention. Aussitôt le regard vide du vieil homme saffola ; sa tête sagitait dans tous les sens ; ses narines se gonflèrent et il marmotta un long soupir de jurons
Il lui fallut un court instant dentendement pour enfin sexprimer à voix haute :
- Par tous les dieux, quest-ce dont cela ?! Sexclama til.
Plus rassuré, lhomme aux cheveux brun répondit :
- Maître, cela fait maintenant deux jours et deux nuits que je contemple votre posture de revenant. Vous ne dormez pas, vous ne buvez pas et de plus vous manquez de sommeil !
Lhomme serra plus fermement le bol quil tenait dans les mains, et le brandit en direction de son maître.
- Regardez, vous navez même pas daigné effleurer votre remède !
Le vieil homme descendit de son fauteuil avec précaution, agrippant toujours dune main le coffret en bois. Il ramassa doucement une fine canne qui traînassait sur le sol et commença à faire les cent pas à lintérieur de la tente. Le regard surpris de lhomme brun épiait sa course. Son pas était lourd et difficile. Il sarrêta près du meuble ou étaient posés les bougies, celles-ci étant presque entièrement consumées, se racla la gorge et dit :
- Tu ne croyais tout de même pas que jallais avaler ce breuvage infect, qui seul par son aspect répugnant et son odeur nauséabonde me dégoûte. Ecoutes-moi attentivement Meriden : je suis vieux, malade, à bout de force et je ne sais toujours pas si je serais en mesure dassurer la lourde tâche quil ma été confié
Le jeune homme avait violement jeté le nectar qui clapotait entre ses mains et sécria :
- Mais tout le monde compte sur vous maître, vos hommes vous vénèrent à tel point quil vous suivraient jusquau bout du monde ! Nous avons remporté des batailles pour obtenir le coffret que vous tenez si ardemment entre vos bras. Mais la guerre nest pas finie, les hommes de lest sont près à vous suivre ! Sans vous nous sommes perdus, votre présence nous est éperdument indispensable.
- Je suis persuadé, reprit le vieil homme, que dautres personnes fortes et courageuses pourraient très bien combattre à ma place le Mal contre lequel je mène une lutte acharnée depuis bien fort longtemps. Vois-tu, quand un homme est satisfait de sa récolte, il a droit au repos. Jestimes que jais accompli ma tâche et quil est temps pour moi de me retirer de la course.
Lhomme aux cheveux brun, encore plus en exaspéré sécria dans un dernier espoir :
- Maître, pensez à tout ce que vous avez accompli dans le passé ! Qui dautre aurait pu à par vous, et qui pourra après vous. Des vies se sont envolées comme le vent emporte les feuilles pour obtenir ce coffret, pour obtenir ce quil contient
- Jai déjà pris ma décision et je suis ferme sur ce point. Tu prendras le commandement de mes armées au sud et à louest et mon fils mènera celles de lest. Tu es la seule personne en qui jai réellement confiance, cest donc sur toi que je déverse ce lourd fardeau entre tes mains surs et saines.
Pendant un court instant lhomme aux cheveux bruns demeura la tête recroquevillée. Son maître vint lui passer un bras autour des épaules comme un père apporte de la chaleur à son fils. Ils perduraient ainsi un long moment avant que le vieil homme ne reprenne dune voix apaisante :
- Jai du méditer de la sorte consciencieusement avant den arriver à un tel choix, chose que je te demandes daccepter. Je sens ma fin proche Meriden, lombre de la mort me traque sans relâche depuis que jescorte ce coffret et je ne regrette pas davoir accepter cette tâche accablante.
- Etes-vous sur davoir prit la bonne décision maître, en êtes-vous persuadé ?
- Jen suis convaincu.
- Alors que votre volonté soit exaucée et sachez je vous servirais jusquà la mort, enchaîna solennellement Meriden.
Le vieil homme retourna sasseoir, toujours dune démarche posée avec cette fois plus de difficulté. Une fois installé il invita Meriden dun signe de la main et celui-ci sempressa obéir. Le vieil homme tendit le petit coffre quil tenait auparavant dans ses bras et dit :
- Ceci est à toi maintenant et surtout prend en soin. Tu sais ce quil renferme, prévint le vieil homme, et tu sais également quil ne devrait en aucun cas être détenu entre de mauvaises mains : sinon le monde courrait à sa perte Je nais plus rien à faire car ma mission est désormais tiennes, ce coffre doit revenir à lAlliance et elle seule sera en mesure de juger quoi en faire.
Meriden reçut le coffret entre ses bras : il ne simaginait pas à quel point cette chose était lourde. Lénergie qui en émanait lenvoûtai et troublai ses pensée : son esprit percevait vaguement une odeur pourtant inodore, une image invisible et un son inaudible. Soudain des clichés défilèrent dans sa tête lui évoquant vaguement datroces souvenirs obscurs qui nétait pas les siens, ou du moins quil ne se souvenait pas davoir jamais vécu ; se mains frémissaient. Troublé, dans un sursaut inattendu il faillit faire tomber le coffret mais se rattrapa de justesse. Le vieil homme ne semblait pas du tout surpris par la réaction de Meriden :
- Ne ten fais pas tu viens seulement de ressentir une part de « son » énergie, dit-il, tu devrais ty habituer au fil du temps, les réactions varient en fonction des personnes.
- A présent que dois-je faire ? Questionna Meriden, quelle tâche dois-je accomplir ?
- Isole toi un moment dans la forêt ou dans un endroit calme. Cela te laissera le temps de méditer un petit moment avant de tengager dans une traversée de tous les périls, car il faut que tu sois près aussi bien physiquement que mentalement.
Soudain le vieil homme se leva de son fauteuil avec force, comme si son corps avait recouvré toute vitalité.
- La route qui tattend est longue et périlleuse, et je ne serais peut-être plus de ce monde pour te porter secours. Tu affronteras les pires dangers et tu connaîtras le mal sous son état pur, en taventurant aux confins ce monde obscur. Seul, tu ne vaincras : entoures toi de tes plus proches amis et nest confiance quen toi. Mais prends garde, le mal peut être si proche que ton cur désemparé na de refuge quun reflet trompeur. Ne renonces jamais même quand tu sens que le mort est proche, car un homme na de valeur que lorsquil est convaincu quil a lutté aussi longtemps quil a pu. Et pour finir, je te le dis haut et fort ainsi les dieux en sont témoin :
Que ton cur vaillant ne tombe jamais sous lemprise du Mal, car même dans un rais de lumière, lespoir qui sy cache sera toujours vainqueur. A présent va et combat !
bon cé tou pour l'instant alors qu'en pensez vous?!!!!