L'écriture collective d'un roman ou d'une nouvelle

L'écriture collective d'un roman ou d'une nouvelle - Arts & Lecture - Discussions

Marsh Posté le 15-09-2005 à 20:33:07    

Beaucoup d'entre nous rêvent d'écrire. Certains y arrivent, d'autres non. C'est pour cela que ce sujet a été créé. Pour permettre à chacun d'exprimer l'écrivain qui est en nous.  
Le principe est simple: je donne une phrase de départ, un autre écrit la suite, et ainsi de suite. Une condition essentielle: réécrire tout le passage puis ajouter le sien. Si le roman (ou la nouvelle) avance bien, on réécrira seulement quelques phrases pour s'y retrouver.  
Le premier passage posté (course contre la montre) gagnera.  
Les passages ne doivent pas être trop longs. Je fixe la limite à 3 paragraphes. On peut écrire le nombre de passages que l'on veut, pourvu qu'il soit le premier.  
Dernière chose: il faut évidemment que le passage soit cohérent avec le reste, sinon...
A vos claviers!
Première phrase: "La porte s'ouvrit lentement, dans un grincement angoissant. Pas de bruit. Derrière la porte, le noir complet. Les ténèbres. Rassemblant tout mon courage, je fis quelques pas, poussa légèrement la porte et entra. Mes yeux eurent du mal à bien y voir, mais quand ils s'habituèrent, je vis..."
 
A vous la suite


Message édité par Profil supprimé le 17-09-2005 à 20:37:38
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Marsh Posté le 15-09-2005 à 20:33:07   

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Marsh Posté le 16-09-2005 à 10:59:44    

... mon prof de français prostré contre un pan de mur. Il avait les poings serrés et tenait entre ses machoires la vieille cravache de jockey qu'utilisait jadis sa mère pour "affiner" son éducation. Il se balançait légèrement, d'avant en arrière, comme un fanatique religieux plongé dans l'étude de ses saints textes. Il n'y avait que ça pour le calmer quand j'oubliais les "i" à la fin des verbes du premier groupe conjugués à la première personne du passé simple...


Message édité par Sebmtp le 16-09-2005 à 14:23:53
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Marsh Posté le 16-09-2005 à 11:00:38    

[:rofl]

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Marsh Posté le 16-09-2005 à 17:14:25    

Ouais, pourquoi pas?
Et ensuite ?

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Marsh Posté le 16-09-2005 à 17:45:20    


[:al_bundy]
 
Quelle signification pouvait bien avoir ce souvenir surgi de mon passé ? Et pourquoi me retrouvais-je, maintenant, dans la cave de mon esprit, confronté à ce traumatisme d’adolescent ?
Je tourna la tête pour découvrir d’autres silhouettes, d’autres visages, errant dans ce lieu où je les avais moi-même enfermés.
Mes détracteurs.
Je secoua la tête.
Argh ! Encore ce « i » manquant ! Même mes pensées se formulaient avec cette faute, cet oubli, ce petit néant.
Je me retrouva soudain montant un escalier. L’escalier qui menait au grenier.
A chaque pas, chaque marche qui me rapprochait de ma muse et des visages de ceux qui me donnent de la force, mon bien-être grandissait, ma confiance revenait.
J’aimais cette sensation. Je la connaissais bien.
Pourtant, arrivé devant la porte du grenier, l’impression que ce détour par la cave m’avait fait du bien me saisit.
J’hésita.
Merde !
La lumière semblait irradier des contours de la porte.  Des effluves printanières me parvenaient. L’envie de l’abandon monta en moi.
Je tenda timidement la main vers la poignée.

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Marsh Posté le 16-09-2005 à 18:02:02    

La porte s'ouvrit lentement, dans un grincement sinistre (encore et toujours ce grincement). Mais il me faisait du bien. Quand j'ouvris, la lumière pénétra littéralement mon esprit, et me pétrifia. Devant moi, une forme humaine se profilait. Elle ressemblait à quelque chose ou à quelqu'un que je connaissais. Qui m'était familier. Mais quoi? La lumière diminuait, m'offrant la perspective de découvrir qui (ou quoi) se cachait derrière cette forme.  
La forme portait une robe en dentelles roses. J'arrivais maintenant à voir le bas du visage. Des cheveux longs et blonds qui tombaient jusqu'aux épaules. Mais quelque chose m'inquiétait. Je voyais un sourire, mais pas un de ces sourires qui réconfortent, ou qui sont signe de bonne nouvelle. Non, ce sourire était narquois, méchant et m'angoissais fortement. Puis, je vis enfin le visage entier et je fus horrifié. Car ce visage...  

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Marsh Posté le 16-09-2005 à 19:45:29    

…était parfait. Le genre de perfection que l’on sait anormale et qui glace le sang.
Je connaissais bien cette femme. Elle avait béni mes rêves maintes fois et avait bercé mes chagrins. Elle avait toujours été source de réconfort et d’inspiration. Pourtant, à cet instant, elle m’apparut différente, dangereuse, insatisfaisante…
Percevant mon trouble, l’expression de celle que je considérais depuis toujours comme ma muse s’adoucit. Mais son regard mauvais revint vite quand elle m’invectiva :
- Je sais à quoi tu penses petit ingrat ! Mais je te préviens : si tu redescends chercher tes « i », tu perdras tout ce qu’il y a ici ! S’exclama t-elle en ouvrant les bras.
Derrière elle, le grenier qui me paraissait aussi grand qu’une vallée, regorgeait de tout ce que j’aimais. Des amantes, des amis, de la nourriture, des jeux… des oreilles et des yeux déjà conquis. Le soleil brillait dans le ciel. Il n’y avait pas de toit dans la pièce. Il n’y en avait pas besoin. Il ne pleuvait jamais dans le grenier de mon esprit.
Pourtant, le tonnerre gronda.
Il y a vraiment quelque chose qui cloche, songea-je.

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Marsh Posté le 16-09-2005 à 20:02:08    

Un bruit sourd semblait venir de la petite porte du fond. Un tambour funeste, lent et obsédant. Cette porte, un simple pan de bois, un placard oublié, celui des phobies refoulées et des peurs innommables. La poignée s'agita brusquement de mouvements frénétiques, quelqu'un ou quelque chose voulait entrer, venir et me prendre.
Un terrible sentiment d'impuissance cisailla mon estomac. Mes jambes puis mon corps tout entier se figèrent dans une tension d'horreur.
Non, pas ça, ce n'est pas possible, comment serait-ce possible ?
Le visage de la douce femme commença à s'étioler et toutes les choses agréables qui peuplaient ce grenier commencèrent à s'évanouir dans des volutes diaphanes...


Message édité par everso le 16-09-2005 à 20:06:34
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Marsh Posté le 16-09-2005 à 20:40:39    

Ca part super bien!

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Marsh Posté le 17-09-2005 à 00:40:13    

Ca oui, ça part bien.  
Mais où ? ça c'est un mystère ...  :)

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Marsh Posté le 17-09-2005 à 00:40:13   

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Marsh Posté le 17-09-2005 à 10:33:29    

A mesure que tout s’évaporait devant mes yeux, la porte du fond se rapprochait de moi. Elle n’aurait pas dû se trouver là. Elle aurait dû être à la cave, où à un endroit encore bien plus profondément enfoui. Tout allait de travers.
Dans le confort de mon inconscient, cette petite porte avait toujours symbolisé le côté délicieux de la peur. Celle qui fait frémir les enfants d’excitation, celle dont on se sert pour rendre les filles plus câlines…
Mais à mesure que les tremblements de la porte s’intensifiaient et que la poignée continuait sa frénétique oscillation, une certitude s’ancra en moi : Ce qui est derrière n’a aucune intention de me faire un câlin.
Le vide avait maintenant remplacé la vallée. Mon paradis intérieur s’était volatilisé. Mon havre n’était plus.
La porte flottait devant moi, hystérique.
Elle était à cinq mètres.
Je n’avais plus rien à faire ici. Je décida de ne pas attendre qu’elle s’ouvre.

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Marsh Posté le 17-09-2005 à 11:01:28    

Citation :

Sujet : L'écriture collectif d'un roman ou d'une nouvelle


 
Ca commence fort  [:psychokwak]


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Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. J.-B. Bossuet
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Marsh Posté le 17-09-2005 à 11:21:07    

oui bon ça se corrige les fotes ..  :o  
c'est une écriture créatif. :p

Reply

Marsh Posté le 17-09-2005 à 12:02:55    

Citation :

Sujet : L'écriture collectif d'un roman ou d'une nouvelle
Ca commence fort  [:psychokwak]


 
 
 
C'est ce que je me sus dt auss.
Et en plus, ça enchane, et pus ça rebondt.
Bzarre ce topc.
[:alandon]

Reply

Marsh Posté le 17-09-2005 à 20:32:11    

Désolé pour la faute d'orthographe au titre (écriture COLLECTIVE d'un roman ou d'une nouvelle). Je ne m'en suis aperçu qu'après.  
Je n'ose mettre quelque chose. J'attends la suite d'everso ou de sebmtp, ou d'autres encore

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Marsh Posté le 17-09-2005 à 20:34:59    


Et bien pour corriger le titre tu cliques sur : http://forum-images.hardware.fr/themes_static/images_forum/1/edit.gif au dessus de ton premier post et tu peux ainsi changer le titre.
De la même manière tu peux corriger n'importe lequel de tes post si tu t'aperçois que tu as fais une erreur ou oublié quelque chose.


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Quiconque sacrifie sa liberté pour plus de sécurité ne mérite ni l'un ni l'autre, et n'aura aucun des deux. - Sur internet si le service semble gratuit, c'est que le produit, c'est vous.
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Marsh Posté le 17-09-2005 à 20:38:44    

Sympa pour l'aide. Mon sujet retrouve un tantinet de crédibilité.

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Marsh Posté le 17-09-2005 à 20:40:08    

Je pris donc mes jambes à mon cou et me jeta dans l'escalier... La précipitation aidant, je glissa sur une marche et alla m'étaler 2m plus bas. En me relevant, mon ancienne blessure à la cheville droite se réveilla et me renvoya au sol. J'essaya par conséquent de ramper vers la sortie, n'osant pas regarder derrière moi...


Message édité par Brad Pitt le 17-09-2005 à 20:40:54

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Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. J.-B. Bossuet
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Marsh Posté le 17-09-2005 à 20:43:00    

jetai, glissai, allai, essayai :o
www.leconjugueur.com


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Quiconque sacrifie sa liberté pour plus de sécurité ne mérite ni l'un ni l'autre, et n'aura aucun des deux. - Sur internet si le service semble gratuit, c'est que le produit, c'est vous.
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Marsh Posté le 17-09-2005 à 20:46:29    

Les fautes d'orthographes doivent être corrigées. Sinon, pas de dessert! Et tu files dans ta chambre!

Reply

Marsh Posté le 17-09-2005 à 21:07:08    

Nicky_rr a écrit :

jetai, glissai, allai, essayai :o
www.leconjugueur.com


Pauvre gland que tu es... Relis le topic depuis le début et tu verras que c'est volontaire  :sarcastic:  
 
J'ai toujours été nul en grammaire mais excellent en conjugaison :o


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Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. J.-B. Bossuet
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Marsh Posté le 17-09-2005 à 21:12:03    

Excuse, je n'ai pas trop lu car ça a l'air d'être le bordel pour suivre ce qui se passe, je comptais le faire un jour où j'aurais le temps... :whistle:
 
mea culpa :jap:


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Marsh Posté le 20-09-2005 à 09:00:24    

Hello,
Très occupé...
Skybabybel, faut pas nous attendre... ose.
A bientôt
 :hello:  

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Marsh Posté le 20-09-2005 à 21:20:12    

Plus je rampais, plus la porte me semblait s'éloigner. La chose qui m'avait suivi était proche, quelques pas au plus.
Je ne savais plus quoi faire, la terreur m'étreignait.
"iiiiii .. iiiiiii .. iiiiiii" entendis-je au dessus de ma tête.
Dans un sursaut d'instinct je decidai de me retourner.
Cette chose était monstrueuse, sa seule vue me révulsa : mes chairs se tordaient du supplice qu'infligeaient des convulsions de terreur...
 
(à toi skybabybel ;)  ou un autre bien sur.  )

Reply

Marsh Posté le 22-09-2005 à 19:03:08    

Je ne pourrai la décrire précisément. La terreur m'étreignait comme un étau se refermant doucement sur ma gorge, et l'obscurité la cachait. Tout ce que je vis fut une masse énorme, noire et visqueuse. Je vis également briller des griffes longues comme des couteaux et tranchantes comme des lames de rasoir.
J'en fis la douloureuse expérience quand elle me donna un coup d'un de ces poignards, qui m'entailla très sérieusement la peau. Une douleur fulgurante m'envahit jusqu'au plus profond de mes os. J'avais mal mais j'eus le temps de la voir se jeter sur moi et de peser de tout son poids sur mon pauvre petit corps.  
Je vis des crocs plus féroces que celles de loups, des griffes dont le boucher aurait été content d'utiliser, et je vis des yeux rouges qui me pénétraient l'esprit et pouvaient lire toutes mes pensées. Ses yeux me glacaient le sang...  

Reply

Marsh Posté le 25-09-2005 à 12:46:19    

Au moment précis où j’atteignis le paroxysme de la terreur, à ce moment où la volonté de vivre est balayée par la certitude de la fin, ce moment où le renoncement vous envahit et où le coup de grâce semble l’issue inéluctable, tout se figea.
Sauf moi.
Une seconde passa. Puis deux, puis cinq. Rien ne bougeait.
Incrédule, encore en apnée, je commençai à ramper hors de portée de mon assaillant. Je regardai à droite et à gauche. J’étais à l’étage.
Pas un mouvement, pas un son. Le « cri » strident de la créature me revint en tête.
J’ai retrouvé mes « i ». Vérifiai-je. C’est cette chose qui me les a ramenés.
Elle était sortie du grenier à mes trousses, mais la porte par où elle était passée était bien une porte de cave, la porte de ma cave.
Pourtant, j’étais certain que mon esprit, même à ses heures les plus noires et les plus torturées, n’aurait jamais pu engendrer cette chose.
Pouvait-elle venir de l’extérieur ? Cet endroit était-il seulement mon esprit ?
Qu’est ce que je foutais là ?!
Tout ceci n’avait pas de sens.
Je venais de frôler une mort atroce mais y avoir survécu ne faisait que me plonger dans une situation encore plus angoissante. Mon cœur battait dans ma poitrine comme un alien arrivé à maturité. Maîtrisant avec difficulté un début de panique, je me forçai à l’analyse.
Où étais-je avant de me retrouver face à la porte d’en bas ?
Je me souviens que, ce matin, j’avais commencé par…
 

Reply

Marsh Posté le 31-10-2005 à 14:56:32    

... Par me lever. Les rayons du soleil m'avaient ébloui, illuminant mon visage rose. J'étais descendu et avais pris seul mon petit-déjeuner. Ma mère était tombé dans une de ses innombrables dépressions, j'avais un père absent qui se noyait dans l'alcool et le boulot. Tous les deux refusaient la mort de mon frère aîné. Une soirée entre amis qui avait mal tournée :une bouteille de scotch sifflée à lui seul, un camionneur passablement fatiguée; il n'en avait pas fallu plus pour que Jérôme soit téléscopé dans le phare avant gauche du camion. Il était mort sur le coup, mais je pense que ma mère et mon père l'avait accommpagné également en apprenant la nouvelle.
Après le petit-déjeuner, j'étais remonté m'habiller et j'avais entendu un gémissement venant de la chambre de mes parents. J'étais entré tranquillement, m'attendant à écouter ma mère se plaindre pendant cinq longues minutes du soleil qui lui provoquait des allergies, de la TV qui était constamment mal réglée, de la couverture qui la grattait... La routine, quoi. Et bien sûr, en bon fils attentionné, j'allais exécuter tous ses désirs.  
J'étais presque prêt à bailler en repensant à cela quand j'étais entré. Je m'attendais à voir une femme noyée sous un flot de couvertures, les mains tremblantes, le visage hésitant entre un rouge qui prouvait qu'elle crevait de chaud et un blanc cadavérique qui trahirait une nouvelle rechute psychologique. Mais en fait, je découvris...
[J'espère que ce topic va redémarrer. A vous de jouer!]      

Reply

Marsh Posté le 03-11-2005 à 18:07:46    

Quelqu'un aurait-il une proposition?


Message édité par Profil supprimé le 03-11-2005 à 18:14:18
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Marsh Posté le 06-11-2005 à 19:09:54    

Brad Pitt a écrit :

Pauvre gland que tu es... Relis le topic depuis le début et tu verras que c'est volontaire  :sarcastic:  
 
J'ai toujours été nul en grammaire mais excellent en conjugaison :o


 
perso j ava(is) ! compris tt de suite! mais je ne sais pas si l editeur du premier topic a compris l allusion depuis le depart :p  


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clairounette
Reply

Marsh Posté le 06-11-2005 à 20:30:54    

Ca peut arriver à tout le monde. C'est vrai que l'histoire est un peu tordue

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Marsh Posté le    

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