avis sur une nouvelle - Arts & Lecture - Discussions
Marsh Posté le 29-05-2004 à 14:13:35
bah personne ne me donne d'avis sur ma nouvelle ? snif...
si vous avez pas le temps de lire, faites-le une prochaine fois merci
Marsh Posté le 29-05-2004 à 14:18:33
qu'est ce que c'est saoulant ces jeremiades de crise d'adolescence qui se prolonge
Marsh Posté le 29-05-2004 à 14:23:05
ReplyMarsh Posté le 29-05-2004 à 14:26:39
Je trouve ça sympa moi
Ca pourrait être un peu plus long mais si c'est un début ça promet
Marsh Posté le 29-05-2004 à 14:32:39
Xamoth a écrit : j'ai pas trop compris au milieu. |
En gros, elle chiale parce que son méchant patron lui a demandé d'être à l'heure au boulot
Marsh Posté le 29-05-2004 à 14:32:40
philibear a écrit : qu'est ce que c'est saoulant ces jeremiades de crise d'adolescence qui se prolonge |
ha ha... je vois ce que tu veux dire
mais je m'identifies pas dans cette personne, j'ai juste essayé de me mettre dans la peau de quelqu'un qui voulais se suicider...
et non, c'est juste un récit court, je penses pas rajouter une suite... enfin voyons, vous n'avez pas compris la fin ? comment pourrais-je faire une suite après ça ? ^^
Marsh Posté le 29-05-2004 à 14:40:56
La suite tu peux la faire sur ogrish.
Marsh Posté le 29-05-2004 à 14:41:25
Marl Borrow a écrit : La suite tu peux la faire sur ogrish. |
Marsh Posté le 29-05-2004 à 14:56:25
bon, je vais mettre une autre nouvelle plus longue que j'ai faite aussi...
donner moi votre avis... ^^
.....................Khanaan........................
Dans le ciel bas et lourd dune nuit dautomne, des myriades détoiles constellaient silencieusement. Seul un vent frais qui traversait les arbres frissonnant qui bordent la frontière Noire venait briser le silence pesant.
Chunk frissonna
« cest pour cette nuit ». La courageuse communauté de Khan avais décidée de migrer au delà de la frontière noire gardée par les féroces gardiens
« Ils sont calme ce soir » chuchota Chunk, comme si il avait peur quils puissent lentendre.
Après un long murmure, une ombre se détacha du groupe, et sélança sur la longue et cruelle frontière. Cétait Nix qui sélançait en éclaireur. La peur au ventre, son cur palpita furieusement tandis quil passait la première zone sombre. Chunk qui le suivait des yeux le vit sarrêter sur la zone claire
Il sembla se reposer un moment, puis repris sa course acharnée sur la seconde zone sombre. Cest alors que Chunk vit au loin des gardiens sapprocher, provoquant ainsi une accélération forcée du pauvre Nix qui nétait plus quune petite ombre au loin
lun des gardiens plus rapide que les autres, fonça directement sur nix. Il neut heureusement pas le temps de le réduire en morceau, car Nix sous leffet de la peur, avait eu le temps de sauter dans les taillis de lautre coté de la frontière
Enfin cest ce que pu percevoir Chunk et ses compagnons.
« il est passé ? » demanda Gasp, tout frétillant, les yeux pétillant.
« bien sûr quil est passé, il a su déjouer les gardiens !! »
La réussite de nix avait provoqué un vent denthousiasme dans la communauté, qui ne comptait pas moins de vingt membres. Ils avaient fuis la ville car la vie y était devenue infernale. Les rues nétaient plus sûres, et nombre dentre eux finissaient tués, exterminés cruellement. Les plus malchanceux se retrouvaient derrière des barreaux, à subire d'attroces expériences scientifiques.
Ainsi était-il crucial pour eux de traverser cette frontière car selon les dires, lon ne manquais de rien de lautre coté.
Nix ne réapparaissant pas, les membres commencèrent à simpatienter.
« Il profite sûrement déjà des plaisir du nouveau monde » dit lun.
« De tout façon, il est inutile que nous attendions plus longtemps » dit lautre
« allons y avant que des gardiens ne reviennent »
Ainsi, dun commun accord, tous sélancèrent, petit comme grands. Ils se mirent à traverser la première zone sombre. Elle était sèche, blessante. Ils sentaient de la chaleur émaner du sol, une chaleur conservée la journée, et qui séchappait le soir.
La communauté arriva alors dans la zone claire, qui sembla tout dun coup plus fraîche et douce, quand soudain, un frisson parcourut le groupe. Une légère tension se fit sentir dans le sol. Tous se regardèrent, et lurent la peur dans les yeux de chacun. Cette peur saccrut quand un bruit sourd se rapprocha du lointain. Personne ne bougea, figé par ce bruit qui allait en samplifiant. « Les gardiens sont de retour !! » Cria lun. La panique traversa les rangs. Les uns sélancèrent de lavant dans la seconde zone noire, alors que dautres revinrent sur leurs pas. Krunk, lui, eut le réflexe de rester sur la zone claire, et tout alla très vite. Un bruit infernal et des éclairs jaillirent de tout cotés. Il se recroquevilla sui lui même, et sentis tout dun coup un liquide tiède gicler sur lui. Tout de suite après, le bruit qui deux seconde auparavant était insoutenable, alla se perdre dans le lointain. Il ouvrit ses yeux
Son dos était recouvert de sang. De grandes trainées de sang sétalaient des deux cotés de la zone claire. Les gardiens avaient traînés ses compagnons sur des mètres, repeignant les zones sombre dun rouge sang. Il ne restait plus rien deux que ces mares dhémoglobines. Ils étaient trois rescapés du carnages. Chunk alla relever ses deux compagnons de leurs prostrations, car ils navaient bougés depuis lapparition des gardiens.
Il fallait partir, ne pas rester là. Il le savait, ils allaient revenir. « vite les taillis de lautre coté de frontière, cest notre seule chance de nous cacher ! Nous naurons pas de deuxième chance. Ayant repris leurs esprit, ils galopèrent, haletant dans la seconde zone sombre. Ils passèrent avec dégoût dans le sang de leurs frères. De fraîches bourrasques de vents fouettèrent leurs corps crispés et meurtris
Leurs gorges se nouèrent, leurs curs sursautèrent, un gardiens chargeait !
Son hurlement déchira le silence de la nuit. Les poils de nos amis se dressèrent, tétanisés par la puissance du gardien. Chunk repris ses esprit juste à temps, et dans un dernier effort parcourut le peu de distance qui le séparait des taillis salvateurs.
Il ne se retourna pas, il ne vit pas ses compagnons se faire happer avec violence, et le sang gicler de chaque parties de leurs corps. Il ne perçut quun craquement sourd et le bruit de tonnerre que fit le gardien en séloignant.
Tout alors se déroula très vite, La peur lavait fait sauter dans les taillis, mais il neut pas la réception escomptée. Il sentit le vent siffler dans ses oreilles, le ciel tomba. Il lui sembla défier la gravité. Dinterminable secondes et le silence avant le choc. Le trou noir. La fraîcheur de la nuit le fit frissonner, il retrouva ses sens. Il remarqua quil était affalé sur quelque chose de mou. Il fut écuré quand il reconnut le corps de Nix étendu sous lui, sanglant. Chunk perdait du sang, une douleur sur son coté mélangée dune sensation de douce chaleur le lui disait. Au fur et à mesure que le temps passait, un flaque de sang noir épais coulait sur le corps de Nix.
Le Silence, rien que le silence dune fraîche nuit dautomne. Il sentit son coté sengourdir, son corps perdait sa matière vitale. Il devint froid. Les reflets argentés des étoiles baignèrent le corps de Nix dune lumière diffuse et blanche, qui prenais maintenant des airs de linceuls. Puis, une grande ombre sétendis sur le sol, des nuages savançaient dans le ciel, cachant de la sorte la lueur des astres. Il ny eu plus quune seule étincelle de lumière dans la nuit, une dernière larme qui coulais de lil de Chunk qui ne se rouvrirais jamais plus.
Un grand vent froid venant du nord annonçant la venue de lhiver, filtra à travers la barrière de sécurité dune nationale, et effleura dans un ravin en contrebas, les corps inertes de deux souris grises enlacée, teintée dun sang ocre
Marsh Posté le 30-05-2004 à 23:20:27
c'est lourd, prévisible et insupportablement parsemé de fautes d'orthographe
Marsh Posté le 31-05-2004 à 00:00:27
Tout ça pour dire qu'une femme à réussit à sauter par dessus un petit muret, elle a même pas du sauter, enfantin...
Marsh Posté le 31-05-2004 à 00:28:28
atropos a écrit : Je trouve ça sympa moi |
Arf.
Un copieur ! Otez-moi cet avatar que je ne saurais voir !
Marsh Posté le 31-05-2004 à 20:30:03
Grenouille Bleue a écrit : Arf. |
même pas vrai
Tu serais pas sur la couronne de cuivre toi ? c'est mon avatar là-bas aussi
Au fait j'ai lu le roman que tu postes ici : superbe
Marsh Posté le 31-05-2004 à 20:59:53
WildRider a écrit : Tout ça pour dire qu'une femme à réussit à sauter par dessus un petit muret, elle a même pas du sauter, enfantin... |
Ha ha... réfléchis un peu avant de poster ? d'une part tu poste comme ça sans dire de quelle nouvelle tu parles ( parce que y'en a deux si tu n'avais pas remarqué )... et selon ce que tu dis tu réponds au post précédent qui lui parlais de la deuxième nouvelle alors que toi tu sembles parler de la première ! ... et ces critiques sont infondée. pour ce qui est de la fin tragique de la fille dans la première nouvelle... si tu lis bien la dernière phrase tu sauras qu'elle s'est suicidée... D'une autre part la phrase " Tout ça pour dire qu'une femme à réussit à sauter par dessus un petit muret " Je crois que tu pourrais avoir un peu de respect pour le travail que j'ai fait... tu as pas bien ciblé le fond de l'histoire (la critique de la société)... c'est comme si tu disais en parlant de tolkien " tout ça pour que q'un type jette une bague dans la lave d'un volcan "... tu vois ou je veux en venir ?
Marsh Posté le 31-05-2004 à 23:03:56
oui mais ton style et ton intrigue restent médiores ....
Marsh Posté le 01-06-2004 à 20:13:51
" médiocres " et pas " médiores " ... relis un peu tes posts au lieu de critiquer mon orthographe !
et pour ce qui est de ce que tu as dis ( lourd prévisible ... ) tu pourrais un peu plus t'expliquer ? Comment as-tu-pu deviner que c'était des souris ? ...
J'avoues que j'ai fait trop de phrases courtes, ce qui rend le tout un peu lourd... mais je ne penses pas qu'elle soit aussi inintéressante.
veuillez argumenter un peu plus svp, j'ai l'impression que les gens vont sur les forum pour se défouler sur les autres parfois.
Tantôt on est aimé, tantôt on est critiqué froidement...
Marsh Posté le 02-06-2004 à 18:40:36
j'ai retouché un petit peu la première nouvelle ( bien que je n'aie pas encore vérifié les fautes ) je voudrais avoir ton avis
" lecentredumonde " sur ce style médiocre que j'use dans cette nouvelle... argumente, prends des exemples merci !
Marsh Posté le 03-06-2004 à 13:36:33
je trouve que la 1ere nouvelle est bien faite car le vocabulaire assez riche notament les expression et les comparaison sont pa mal.
La deuxieme je l'ai pa encore lu.
Marsh Posté le 29-05-2004 à 12:54:15
......une new petite histoire sortie de mon imagination... mais j'y ai mis toutes mes tripes...
Une larme coula le long de sa joue, telle une fine goutte de miel sous les rayons du soleil qui se couchait. Les immeubles environnant, qui avant l'oppressaient par leur taille et leur forme, étaient maintenant si petit et insignifiant. Un frisson parcourut son corps qui, recroquevillé contre le métal gris de la porte de sécurité se dessinait à travers sa fine robe de soie irradiée d'une couleur jaune orangée. Une couleur qui ne pouvait être décrite par de simples mots, car c'est cette unique couleur qui fait bondir les coeurs et remplir d'une douce mélancholie le voyageur qui parcourt le monde en quête de doux horizons. Celui-ci d'horizon s'était enflammé, baignant toute parcelle de Terre d'une aura presque magique. Elle se leva doucement. Son visage exprimait une longue souffrance car les larmes semblaient avoir creusé un sillage, dans sa peau douce et tendre. Elle n'était pas de celles qui rejettent l'amour, mais de celle qui auraient trop donné en retour. Pour cela fallait il qu'elle en ai reçut un jour, mais les Hommes sont bien cruels quand ils s'agit d'amour. Son visage s'était vu de nombreuses heures détesté et haï devant la glace froide et cruelle qui ne pouvait mentir: elle n'avait rien d'attirant si on ne jugeais que de ce qui frappe les yeux. La beauté comme un bijoux, un métal précieux, n'avais su trouver de place dans l'écrin de sa vie.
Ah ! Si seulement les pensées et les curs pouvaient se matérialiser, elle aurait été la plus jolie des fleurs. Car le sien de cur était plein d'amour et de fidélité, des choses que beaucoup de gens "bien fait" ne pouvaient se vanter d'avoir.
Elle se tenait à présent devant le muret de béton, contemplant ce qui pouvait être une caricature du cur humain. De nombreuses maisons les unes à coté ou au dessus des autres, Séparant ainsi chaque petite vie humaine de celles qui lenvironnaient. A cet instant, elle rêva d'une vie où les murs seraient abolis, les apparences obsolètes. Un monde dans lequel chaque humain pourrait travailler sans le stress d'un horaire à soutenir, d'une production à respecter, d'une vie précieuse à user. Le travail ? un problème ? Non, car c'est une chose vitale. Mais être humilié par des êtres supérieurs qui ne font pas la moitié de ce que leurs employés font ? Est-ce encore du travail ?
Pourquoi l'humilité n'était-elle pas une des lois à respecter dans les constitutions de tout les pays ? se dit-elle.
Son coeur était prêt à craquer. Sa respiration s'accéléra... De longues traînées sombre apparurent dans son dos: de la sueur coulait sur le tissu qui collait à sa peau. Elle était là, nue, sous ce léger voile au sommet d'un gratte ciel, contemplant le vide qu'elle dominait. Son corps se secoua alors que son visage se couvrit de larmes. Ses pleurs se perdirent dans le vide sans écho. Encore une fois, personne nentendit ses plaintes, et ne sut dans quelle détresse elle se trouvait.
La haine qu'elle aurait cru voir s'amplifier et embraser son coeur, s'estompa . Elle se sentit presque en paix, comme si dans ces larmes qui coulèrent sétait trouvé son malheur, et que maintenant son coeur en était vidé.
Sous ses yeux miroitaient encore quelques larmes qui n'avaient pu éclore. Ses joues rougies par les pleurs sirritèrent légèrement sous les rayons du soleil. Ce dernier, sembla sanimer, projetant ses faisceaux de lumière haut dans le ciel, léchant le dessous des nuages qui prirent alors une couleur rougeoyante.
Il y eut un grand silence... le bruit feutré des ses jambes qui effleurèrent le muret... Plus aucun liens ne la retenait maintenant... Elle ne se sentait déjà plus de ce monde...
Le soleil disparût à lhorizon, occultant toute la ville. Un grand vent froid sabattit alors sur limmeuble, dont la porte de secours sur le toit resta close.
Message édité par nimrod le 03-06-2004 à 18:50:36