Ben on était pas 22 à la fontaine ST MICHEL

Ben on était pas 22 à la fontaine ST MICHEL - Achats & Ventes

Marsh Posté le 29-06-2001 à 15:16:26    

mais jusqu'à 4 HFR'IENS hier soir à la Gare de LYON et on a bu un bon coup à la santé de HFR.
 
Bonjour le troc et la bonne humeur ;)

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Marsh Posté le 29-06-2001 à 15:16:26   

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Marsh Posté le 29-06-2001 à 15:16:59    

:hello: Rol !
 :hello: Edma !


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"Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît."
Reply

Marsh Posté le 29-06-2001 à 15:19:34    

:cry:
on netait pa invité
:cry:


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Je suis un bordel :o
Reply

Marsh Posté le 29-06-2001 à 15:33:43    

Z'avez des photos ???

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Marsh Posté le 29-06-2001 à 15:37:02    

De quoi avez-vous parlé ?

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Marsh Posté le 29-06-2001 à 15:41:14    

_ftbx_ a écrit a écrit :

Z'avez des photos ???  




lundi normalement:(


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90-60-90 -Guish c un homme humain, un vrai-
Reply

Marsh Posté le 29-06-2001 à 15:44:18    

ah nom de diou les copains sont là!!!!!!!!!!!!
Les photos on peut pas y avait deux vieux de chez vieux alors çà craint  :D  :D  :D  :D  :D  :D  
Bien sûr je dis pas lesquels y se reconnaîtront.
GUYTARR c'était entre <hommes> alors je pouvais pas inviter DALIDA.Mais toi prochaine fois qu'il y a une émeute tu viens.
Mais j'ai un scoop  ya une LAN PARTY qui se prépare en Juillet à PARIS tiens au pif pas loin de NATION :crazy: .
çà doit être saignant...
PICHA j'ai <préparé> ma wife çà doit doit coller .
Prépares les allemandes (enfin les bières)

Reply

Marsh Posté le 29-06-2001 à 15:51:50    

GLIP on a pas parlé de wifes on matait comme des malades (avé la chaleur les filles çà provoq'ait sec) en même temps que le patron du bar où on épongeait (bonjour les corrections du bac hein  vous voyez qui je vise :D ).M'enfin le patron a essayé d'escroquer EDMA de 50 balles raté.
Un oeil où vous savez mais l'autre sur l'addition.
Je le prends comme comptable
 
De quoi on a parlé:
Devines????????? MATOS ! ya pu de barrières d'âges ou d'origine tous barjots jeunes vieux en fauteil en gouttes à gouttes ou en pampers.

Reply

Marsh Posté le 29-06-2001 à 15:55:07    

roltanguy a écrit a écrit :

ah nom de diou les copains sont là!!!!!!!!!!!!
Les photos on peut pas y avait deux vieux de chez vieux alors çà craint  :D  :D  :D  :D  :D  :D  
Bien sûr je dis pas lesquels y se reconnaîtront.
GUYTARR c'était entre <hommes> alors je pouvais pas inviter DALIDA.Mais toi prochaine fois qu'il y a une émeute tu viens.
Mais j'ai un scoop  ya une LAN PARTY qui se prépare en Juillet à PARIS tiens au pif pas loin de NATION :crazy: .
çà doit être saignant...
PICHA j'ai <préparé> ma wife çà doit doit coller .
Prépares les allemandes (enfin les bières)  




 
Mais moi je me suis arrêter à dungeon master et super sprint sur atari pour les jeux, je suis pa un B.O.S.S:cry:
 
Enfin why not!
 
Dalida est va se fachée :fou:  
 
 
:lol: :D


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90-60-90 -Guish c un homme humain, un vrai-
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Marsh Posté le 29-06-2001 à 16:42:09    

roltanguy a écrit a écrit :

Mais j'ai un scoop  ya une LAN PARTY qui se prépare en Juillet à PARIS tiens au pif pas loin de NATION :crazy:


Tu peux en dire plus ?

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Marsh Posté le 29-06-2001 à 16:42:09   

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Marsh Posté le 29-06-2001 à 16:52:37    

LE TEMPS PERDU ET RETROUVE OU  
DALIDA
POUR TOUJOURS!  
 
 
Dalida “in paradisco” conquiert l’Amérique.  
 
A l’Olympia: Dalida l’inaccessible amour de “Bambino”.  
 
 
Dans le film “Le 6ème Jour”.  
 
Dalida: le temps du bonheur avec Lucien Morisse.  
 
 
 
 
Oui, ce sont les performances qu’ont réalisées les Editions Vade Retro en collaboration avec l’Orlando Productions, en publiant leur album “DALIDA” signé Camilio Daccache et Isabelle Salmon. Déjà, l’année dernière, ils avaient sorti dans la même collection une très belle intégrale sur Sylvie Vartan. Aussi, est-ce à eux qu’est revenu le privilège de réaliser cette laborieuse et superbe compilation. Du reste, Orlando, le frère de Dalida, n’aurait pu avoir la main plus heureuse en leur confiant les archives personnelles de la vedette et en les autorisant à publier plus de 350 photos, pour la plupart inédites, afin de ressusciter de la façon la plus spectaculaire, les épisodes marquants de cette vie vécue à l’échelle de la passion que Dalida a menée “à sa manière...” comme du reste elle l’a chanté elle-même! Quant à Daccache et Salmon, ils étaient les plus qualifiés à l’égard des nostalgiques des années “Dalida” pour composer ce livre-hommage qui retrace, fidèlement, l’itinéraire de la star, l’une des plus adulées et des plus populaires figures de ces trente dernières années... Cette fois, ils ont frappé dans le mille!
 
 
Luigi Tengo, celui pour qui elle a voulu  
mourir en 1967.  
 
L’album “Dalida” qui vient de paraître.
 
 
 
Le départ de Dalida, toujours couverte de fleurs - mais cette fois sans bravos!  
 
LE PHÉNOMÈNE DALIDA  
Voilà plus de dix ans que Dalida nous a quittés. On feuillette aujourd’hui cet album avec nostalgie, désespoir et tendresse, parce qu’on l’y retrouve plus vivante que jamais et on retrace non sans émotion, à travers ces images évocatrices l’itinéraire de cette jeune femme qui, à partir d’une jeunesse obscure au bord du Nil, s’est s’envolée en emportant pour tout bagage le titre de Miss Egypte et sa voix, au rendez-vous de la gloire. Une gloire que la France confirmera en premier - et qui sera successivement confirmée en Allemagne, Italie, Grèce, New-York, au Brésil, au Japon, au Portugal, au Liban et en Jordanie. Puis, ce retour triomphal au Caire pour tourner le film de Youssef Chahine “Le 6ème Jour” et reboire l’eau du Nil - ce Nil qui condamne ces riverains inconstants, à revenir un jour ou l’autre se désaltérer sur ses bords. On a parlé d’un phénomène Dalida: est-ce exact? Question sans réponse, d’autant plus que jusqu’aujourd’hui on n’a pas élucidé les raisons mystérieuses de son suicide. Toujours est-il qu’il s’agit d’une vie assumée jusqu’au bout avec bonheur et avec colère - le bonheur fou, la colère grave - d’une femme qui a connu tous les visages de l’amour, la peau douce du bonheur, l’infinie solitude et l’infinie tendresse - une femme à part entière, intransigeante, exclusive, à savoir: Dalida! Etrange destinée que celle de Yolanda Gigliotti qui, une fois les premières marches de la gloire investies, pouvait se permettre toutes les espérances - et qui, effectivement, les a toutes réalisées - mais n’a pas su résister aux maléfices de cette voie dorée et scintillante semée de lauriers et d’écueils que constitue le show-business et qui finit par engloutir ses adeptes, trop sensibles ou trop téméraires, qui se hasardent dans les remous de ses eaux troubles. Une vie apparemment réussie et merveilleuse à tous égards, mais placée sous l’aile sinistre de la mort. Oui, cette jeune femme belle, séduisante et audacieuse apparaît, avec le recul, comme une héroïne de tragédie grecque, car la mort va opérer autour d’elle des coupes sombres: deux suicides, celui des deux hommes qui l’ont aimée; pour ensuite s’occuper d’elle, deux autres suicides: le premier raté et le second réussi, hélas!
 
DALIDA VICTIME DU STAR-SYSTEM?  
Née en Egypte en 1933, partie à la conquête de Paris, elle y rencontre Lucien Morisse, alors directeur des programmes Europe NÞ1 et l’épouse. Elle avait rencontré en même temps Eddy Barclay, toujours en quête de nouveau et Bruno Coquatrix, patron de l’Olympia. Ces trois hommes joueront un rôle essentiel dans sa carrière professionnelle. De nombreux autres le feront dans sa carrière amoureuse dont Jean Sobieski, Luigi Tengo, François Naudy, Gianni Esposito et Arnaud Desjardins qui lui révèle - en n’étant pas aussi sage - les chemins de la sagesse qui les conduiront tous deux jusqu’au Tibet. Mais Luigi Tengo se suicide en 1966 et Lucien Morisse en 1970. Dalida portait-elle malheur? Aussi, les détracteurs ne manquaient-ils pas comme les adorateurs, il faut le reconnaître. Et lorsqu’en mars 1967 la nouvelle de sa tentative de suicide éclate comme une bombe, on se perd en conjectures. Mais un homme est en mesure à présent d’élucider le mystère qui pesait sur ce douloureux épisode justifiant la version selon laquelle l’acte de désespoir de Dalida était prémédité. Cet homme s’appelle Christian de la Mazière et cela s’est passé le 16 février 1967 lors de la projection en privé du film “Palmarès des Chansons de Dalida”. Une fois la séance terminée, Dalida s’était penchée sur lui en murmurant: “Je sors très contente d’une telle émission. Je laisse un bon souvenir”. A ce moment-là, son interlocuteur n’avait pas fait attention à la nature de cette réflexion, inaperçue dans le brouhaha de la soirée... Quoique la veille ou la surveille, on avait constaté à la télévision qu’elle avait maigri et avait beaucoup insisté pour chanter “Ciao amore, ciao...” la chanson fatale! Elle rentre alors à Paris après avoir embrassé les siens et les amis, s’inscrit au “Prince de Galles” sous son nom de jeune fille et, une fois dans sa chambre, elle met sur la porte l’écriteau “Prière ne pas déranger”. On connaît la suite... Mais cette femme avait des ressources insoupçonnées. Imprévisible; étonnante Dalida! Et on assiste à un nouveau départ en flèche pour retrouver la gloire qui lui est devenue si familière et de nouveau se couvrir de bravos, comme d’un bouclier contre ses démons intérieurs - après qu’elle les eût conjurés, du moins le croyait-elle - suite à son long périple en Inde. Et c’est Dalida retrouvée...
 
À LA CONQUÊTE DE L’AMÉRIQUE  
La tournée triomphale aux USA, en particulier à New-York en fait la coqueluche des Américains, après avoir investi le Carnegie Hall où le public l’acclame et l’adopte. Une pluie de propositions, après ce show à l’américaine qu’elle a présenté tambour battant, l’attendent et elle ne sait plus où donner de la tête. Dalida semble avoir retrouvé son dynamisme. Elle se lance dans le disco avec sa frénésie coutumière. Elle danse et fait danser toutes les discothèques en Amérique; d’abord puis, en Europe. Et bien entendu pour “l’innamorata” les idylles reprennent, se succèdent et son nom brille de plus en plus haut au firmament des étoiles. Consacrée grande chanteuse, que nul des nouveaux venus dans le show-biz ne peut concurrencer, on considère, et sur cela l’opinion publique et ses fans sont d’accord, que Dalida a finalement retrouvé son équilibre. C’est un retour aux sources inattendu qu’elle réalise en revenant en Egypte tourner pour Youssef Chahine “Le 6ème Jour” et un véritable triomphe que lui réserve le Caire. Le personnage de cette femme accablée qu’elle incarne, a-t-il rejailli sur son ego? Sur sa personnalité? Pellicules extra-sensible - le défaut de la cuirasse de Dalida. Ce plongeon dans le passé l’a ébranlée. Réinstallée à Paris, elle se déclare déphasée, incapable de se réadapter à la vie trépidante et mondaine de la grande métropole. Et le 3 mai 1987, on découvre son corps déjà froid à son domicile de la Butte Montmartre: Dalida avait avalé un cocktail de barbituriques comptant cette fois sur l’isolement du long week-end du 1er mai pour REUSSIR SA SORTIE! Les 140 pages de ce round-up détaillent le conte de fée d’une petite fille devenue une étoile adulée, magnifiée et fragile, mais toujours grande dame. Du quartier de Choubra au Caire, à Montmartre, en traversant les acclamations de tant de pays et de tant de gens, elle a bu, sans qu’elle le sut, l’ivresse de tous les alcools qui vous mettent en route pour “l’ailleurs”, ce pays de rêve que l’on croit entrevoir à certains moments dans la vie et où l’on n’arrive jamais! Quelle oraison funèbre plus belle que celle de Frédéric Mitterrand pouvait-on faire en hommage à cette reine de la chanson qui disparaissait si brutalement: “Il paraît qu’au “sixième jour” des malheurs de l’Egypte, les hommes qui ont beaucoup lutté trouvent un regain de force pour affronter une vie nouvelle. Nul ne saura jamais si Dalida s’est finalement endormie avant qu’il ne survienne ou si, au contraire, elle l’a suivi, là où elle voulait qu’il la conduise: vers la paix qu’elle souhaitait pour les hommes qu’elle aimait, celle qu’elle n’a jamais connue - en la méritant toujours, et qu’elle nous laisse en des millions de chansons, sans rien demander en retour - comme d’habitude!”  
 
 
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Marsh Posté le 29-06-2001 à 17:01:25    

Les roses blanches, une à une, tombent sur l'acajou verni du cercueil. Une foule immense, qui contient dificilement son émotion, est venue accompagner Dalida jusqu'à sa dernière demeure, dans ce si joli cimetière de Montmartre... Un soleil froid perce les nuages, fait ciller les yeux qui déjà avaient du mal à retenir leurs larmes... C'est à une voisine chérie et respectée que les Parisiens ont tenu à rendre un ultime hommage. Des femmes s'accrochent aux grilles, des adolescents ont apporté de modestes bouquets. Il y a très peu, trop peu de bruit soudain dans ce cimetière digne d'un décor de cinéma. Les voix pures de quarante et un Petits Chanteurs à la croix de bois s'élèvent vers les cieux. Les adolescents entonnent " le Chant des adieux". Dalida dont le drame secret était de n'avoir pas eu d'enfant. part pour son dernier voyage bercée par une musique cristalline, fredonnée par des chérubins. " Yolanda au revoir... Dalida merci" Claude Manceron, chargé de mission à la présidence de la République, vieux complice de la star défunte, a su trouver les mots justes.  
 Ils expriment mieux que tout la carrière fulgurante de la petite
Cairote, le vide laissé par l'amie. Paris, pour les obsèques de celle qu'elle avait adoptée si chaudement, s'était ruée pour envahir les abords de l'église de la Madeleine. Comme pour les cérémonies officielles, on avait dressé des barrières métalliques, "à cause du monde" Ils étaient des milliers, arrivés   "bien à l'heure" de peur de manquer le dernier rendez-vous de leur idole bien-aimée. Pas de crise d'hystérie, pas d'étalage, pas de chagrin bruyant. "C'était une vraie dame, elle n'aurait pas aimé qu'on se donne en spectacle", murmure Jeanine, venue tout exprès de Nancy. Elle s'est installée tout prés des haut-parleurs qui diffusent sur le parvis homélie et musique d'adieu. Même pudeur, même réserve dans la nef, où quatre cents privilégiés ont pu s'installer sur les chaises de velours rouge.  
 Orlando, le frère, Luigi, le jeune neveu,  ont du mal a ne pas éclater en sanglots...Les grandes portes se sont ouvertes pour livrer passage à une lumière dorée qui nimbe le catafalque bientôt disparu sous un monceau de fleurs d'un blanc pur — la couleur préférée de la chanteuse. Les grandes douleurs sauront rester muettes, dignes. Il y a là les amis célèbres, Alain Delon visage bouleversé, Guy Lux, atterré. Jacques Attalli et les autres, regard et larmes dissimulés par des lunettes noires. Et aussi les humbles amis de la star, ses voisins, ceux de sa rue et de son quartier qui se désolent de " n'avoir pas su, pas pu empêcher..." Ciao Bambina, ciao., les grandes orgues de l'église résonnent de cette musique que l'on qualifiait autrefois, avant la mort de celle que l'on enterre, de légère...
 
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Marsh Posté le 29-06-2001 à 17:03:02    

Comme Olimou (au fait, t'as essayé Another World), je suis également intéressé par le LAN près de Nation. Peux-tu préciser les points suivants : cartes réseau (noname ou 3COM), BNC ou RJ45, faut-il apporter son hub, combien de personnes ?

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Marsh Posté le 29-06-2001 à 17:13:41    

Je peux pas en dire plus c'est pas moi qui organise mais malins comme vous êtes en relisant le post çà doit pas être dur de trouver.Donc allumez le  :pt1cable:  
Je lui laisse l'honneur de l'annoncer si çà se réalise.
Détail si je viens (et j'en ai l'intention ) je joke pas je drink :D

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Marsh Posté le 29-06-2001 à 17:15:20    

Il se barre en vacances ce soir ou demain matin alors fissa les gars. :hello:

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Marsh Posté le 12-07-2001 à 19:02:14    

Salut à tous
 
La carte à Roltanguy Nickel, mais le logiciel Vidéo concerné par l'utilisation de cette carte(2940UW), déconne toujours autant. Je la remettrai p'tre en vente à mon retour de vacances.
 
Pour les photos Dalida, désolé mais les vieux n'ont pas voulu faire de l'ombre aux jeunots :p  :p  
 
Et puis,.... bonnes vacances à tous que vous restiez rivés à votre clavier souris sans fil ou non.  
moi je vais crapahuter tranquille dans les Alpes puis faire un p'tit tour à Gênes où je pense prendre bien du plaisir, et terminer par la sensuelle Andalousie.
 
Bisous à tous

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